A votre télécommande !
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| HongKong Cinemagic Forum > Quartier Libre > A Voir à La Tv |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 01 Novembre 2005 22h19 |
| Un petit topic pour signaler des émissions ou films sur l'Asie en général A votre télécommande ! |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 01 Novembre 2005 22h24 |
| Mercredi 2 Nov 2005 sur ARTE : 21h35 : reportage "Japon : le retour du nationalisme" 22h40 "L'empire de la passion" de Nagisa Oshima 1978, VO * Jeudi 3 Nov 2005 sur ARTE 23h05 : Tracks Un sujet sur "L'épouvante made in Asia" * Vendredi 4 Nov 2005 sur ARTE 22h10 : Thema : "Amour et mort au pays des Geishas" avec 23h25 "La véritable histoire d'Abe Sada" de Noburo Tanaka, 1975 VF suivi de la rediffusion de "L'empire de la passion" à 0h45  |
| Ecrit par: Annabelle Mardi 01 Novembre 2005 22h37 |
| Trés trés bonne idée Je ne vais plus avoir besoin d'acheter le programme télé  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 01 Novembre 2005 22h42 | ||
je compte aussi sur votre participation !  |
| Ecrit par: Annabelle Mardi 01 Novembre 2005 22h48 | ||||
Ce qui veut dire que je vais encore être obligée d'acheter le programme.  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 01 Novembre 2005 23h01 |
| Mis à part le prog mensuel de canal, ça fait belle lurette que je n'achète plus de prog TV, je regarde par contre le prog en ligne de télépoche qui me dit si oui ou non j'aurai râté qqchose. Mais en général, excepté le bon film de C+ et qq trucs ici et là, ça fait belle lurette qu'on ne râte plus rien.... http://telepoche.guidetele.com/frameset.html?url=http%3A//telepoche.guidetele.com/ |
| Ecrit par: ~Ash~ Mardi 01 Novembre 2005 23h08 | ||
Damned, j'ai raté "Ma femme s'apelle Maurice" ce soir!  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 01 Novembre 2005 23h29 | ||||
t'as effectivement râté qqchose si tu as nanardeur comme certains d'entres nous ici bas !!!   c'est de la bombe atomique, hiroshima et nagazaki c'est rien du tt à côté de ça !!! |
| Ecrit par: ~Ash~ Mardi 01 Novembre 2005 23h39 | ||||||
J'suis hardcore moi, j'ai même la cassette!  Rien de tèl pour les longues soirées d'hiver... "Maurice Lappin, avec deux P, comme un lapin" |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 01 Novembre 2005 23h47 |
continuez à polluer ce topic et il finira à la poubelle  |
| Ecrit par: ~Ash~ Mardi 01 Novembre 2005 23h56 |
| Bon alors pour participer: Ong Bak sur Canal Plus le 02 Novembre 2005 à 02H00, 14 Novembre 2005 à 02H20, et 29 Novembre 2005 à 15H45. C'bien comme ça?  |
| Ecrit par: Junta Mercredi 02 Novembre 2005 09h17 | ||
Moi je me suis retenu !!! Même si hier soir j'avais bien envie de parler des 2 mémés envoyées dans une cité dans Vis ma Vie (je ne regarde jamais cette émission hein, c'est du hasard si je suis tombé dessus !!!! -c'était juste après le match de Lyon-  ) |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 02 Novembre 2005 10h37 |
| Y'a aussi le Tour du Monde en 80 jours qui passe en ce moment à Canal + avec Jackie Chan, Sammo Hung, Ken Lo, Karen Mok, Maggie Q et Daniel Wu. |
| Ecrit par: Junta Mercredi 02 Novembre 2005 16h28 |
| comment il se ratrappe le JL |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 02 Novembre 2005 18h35 |
| Tiens, y'a aussi le Kill Bill (sans Boule) sur canal + avec bien évidemment Gordon Liu en Pei Mei et Yuen Woo-ping aux combats. |
| Ecrit par: jack Mercredi 02 Novembre 2005 19h41 |
| Samedi 5 novembre : Arte à 0h25 : Cet Hiver, doc de Zhong Hua dans une caserne chinoise suivi de Tracks : L'épouvante made in Asia, les décalés du palais de Tokyo... Mercredi 9 novembre : Arte à 22h35 : L'Ile, essai de Kim Ki Duk (Corée du Sud)  |
| Ecrit par: Annabelle Mercredi 02 Novembre 2005 19h58 |
| En fait, "L'Empire de la passion" et "L'île" font partie du cycle Cinéma Erotique Asiatique (en novembre sur Arte) Mercredi 2 novembre 2005 à 22h40 L'empire de la passion Vendredi 4 novembre 2005 à 22h10 Amour et mort au pays des geishas THEMA Mercredi 9 novembre 2005 à 22.35 L'île Mercredi 16 novembre 2005 à 23h25 Audition |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 02 Novembre 2005 20h03 |
c'est érotique Audition ?   |
| Ecrit par: Annabelle Mercredi 02 Novembre 2005 20h08 | ||
Résumé provenant du site d'Arte : Le veuf Aoyama veut se remarier et s’éprend de la mytérieuse Asami, mais la romance bascule dans un cauchemar sanglant. Audition déconcerte par un mélange des codes, ne dévoilant qu’insensiblement un univers sadomaso ultraviolent. Apparemment les films programmés proposent un érotisme sadomasochiste...  |
| Ecrit par: jack Mercredi 02 Novembre 2005 21h37 |
| c ni l'un ni l'autre Audition !! |
| Ecrit par: Junta Jeudi 03 Novembre 2005 10h56 |
on s'en fout c'est quel style, le plus important c'est de voir un Miike sur Arte  |
| Ecrit par: tao pai pai Jeudi 03 Novembre 2005 17h35 |
J'ai raté l'empire de la passion  C'était hier  |
| Ecrit par: Annabelle Jeudi 03 Novembre 2005 17h44 | ||
Pourtant le topic a été lancé le 1er novembre ! Il y a une rediffusion : Vendredi 4 Nov 2005 22h10 : Thema : "Amour et mort au pays des Geishas" avec 23h25 "La véritable histoire d'Abe Sada" de Noburo Tanaka, 1975 VF suivi de la rediffusion de "L'empire de la passion" à 0h45. Tu n'as plus d'excuse. |
| Ecrit par: poulemouillée Vendredi 04 Novembre 2005 10h52 |
j'ai pas la télé...  j'ai toujours pas vu l'ile ni audition ... |
| Ecrit par: tao pai pai Vendredi 04 Novembre 2005 12h05 | ||||
Ah merci beaucoup  Ce soir, je mets mon magnéto en marche , eh hop , je prends tout |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 27 Novembre 2005 14h13 |
| Le making of de Seven Swords est passé à Canal + ce samedi 26 novembre à 11h45, et il repassera mardi à 10h30. (je ne l'ai pas vu donc je ne sais pas ce que l'on pouvait y voir, seul Webdev en a vu qq bribes) Je signale enfin qu'on verra un reportage sur le film toujours sur canal + dimanche prochain dans le mag (en clair) "L'hebdo du cinéma" à 11h45. Voilà voilà. |
| Ecrit par: hellrick Mardi 29 Novembre 2005 11h25 |
| Pour ceux qui ont la chaine belge Plug TV diffusion ce soir du Justicier de Shanghai. Surement coupé avec des pubs au milieu mais pour ceux qu'on pas le dvd (il y en a sur ce forum? ) c'est déjà ça, c'est déjà ça |
| Ecrit par: dao Mercredi 30 Novembre 2005 23h32 |
| Argh ! Quelqu'un aurait-il enregistré "Life show" passé sur arte ce mercredi (30 novembre). Je serais preneur... |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 01 Décembre 2005 09h27 | ||
arhhh, je l'ai raté aussi ! vu au cinéma dans un festival l'an dernier un film gentil adapté d'un roman de Chi Li ( dont bcp d'écrits sont traduits en français ) de belles images sur Chongqing... espérons qu'il repassera une seconde fois ! sinon, on peut le trouver en All Zone chez Musica |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 01 Décembre 2005 09h28 |
| Carnet de route : sida en Chine (Anne Loussouarn et Antoine Roux). Trois ans déjà que la journaliste Anne Loussouarn a révélé le scandale : en Chine, dans les années 90, un commerce du sang, effectué dans de mauvaises conditions d'hygiène, a contaminé près d'un million de villageois. Pire, les malades étaient contraints au silence et laissés sans assistance médicale. Aujourd'hui, après la mobilisation des médias et la pression internationale, la situation sur le terrain a-t-elle évolué ? Pour s'en assurer, la journaliste est retournée dans la province du Henan et a retrouvé certains de ses interlocuteurs. Tous le reconnaissent : les autorités chinoises ont surtout mené, depuis trois ans, une « politique de façade ». Résultat : beaucoup de malades continuent d' « attendre la mort » chez eux, sans soin efficace. Quant au circuit du sang, il n'est toujours pas fiable. Glaçant. * Jeudi 1 décembre, 20H45 sur France 2 |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 04 Décembre 2005 11h47 | ||
Je rappelle à tous que ça se passe dans qq minutes.... |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Dimanche 04 Décembre 2005 12h16 |
| Raaaaah j'étais devant la télé, g même pas zappé sur la 4 et chuis parti devant l'ordi, et là 12h11, je tombe sur ton message, je cours devant la télé et j'ai pû voir seulement 3minutes du doc Avant s'était le making of de breaking news, ensuite celui de seven swords, et là c le doc de seven swords, décidemment j'ai pas de bol avec canal plus. |
| Ecrit par: akpstyl Mardi 06 Décembre 2005 01h49 |
| Jeudi soir : pour une poignée de dollars sur france 3 |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 06 Décembre 2005 09h20 | ||
bon il faut vraiment chercher le lien avec l'Asie : c'est un remake non autorisé de Yojimbo de Kurosawa, si ma mémoire est bonne |
| Ecrit par: akpstyl Mardi 06 Décembre 2005 18h48 | ||||
T'as tout compris... ...bon comme ya un topic "votre top western" je me suis permis quoi !! |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 06 Décembre 2005 18h58 | ||||||
Finalement, t'as raison, on est dans la section "Quartier livre", et en plus, le titre du topic ne fait pas mention de programme d'origine asiatique... |
| Ecrit par: Annabelle Mardi 06 Décembre 2005 19h09 | ||
Ben, au début c'était écrit :
Mais bon il y a quand même un lien avec Kurosawa... |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 06 Décembre 2005 19h38 | ||||
J'ai eu la flegme de revenir à l'intro de mon propre topic... Si vraiment y'a des films à ne pas râter, les modos du forum porront les ajouter dans le calendrier, et comme vous avez peut-être remarqué, il existe un nouveau cadre en haut à droite dans la page d'accueil du hkcinemagic.com qui est justement destiné à ce genre de choses : les événements à ne pas râter dans l'actualité récente (sortie DVD, diffusion d'un film, festival ou tout autre choses qui a un lien avec le site). Pendant que je suis dans les nouveautés, il existe aussi une page récap qui répertorie toutes les fonctionnalités du site, je vais d'ailleurs faire un topic spécial à ce sujet demain pdt que je préparerai le nouvel édito que je compte mettre en ligne mercredi aussi. |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 07 Décembre 2005 00h23 |
| La clinique du docteur Mao doc. sur Arte mercredi 7 décembre à 20h15 |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 23 Décembre 2005 22h43 |
| Canal nous gâte en ce moment : - soirée Bollywood le vendredi 30 janvier avec Coup de foudre à Bollywood suivi surtout du magnifique La Famille Indienne (K3G) - Le secret des poignards volants le vendredi 13 janvier 2006 - soirée Wong Kar-wai sur Canal + Bleu le samedi 14 janvier 2006 avec 2046 + Chungking Express Que du bon quoi ! merci qui ? merci canal !! |
| Ecrit par: tao pai pai Samedi 24 Décembre 2005 09h47 |
| Avec ça ils pourraient t'offrir 6 mois d'abonnement gratis |
| Ecrit par: akpstyl Lundi 26 Décembre 2005 19h02 |
| Sur ciné auteur "elle s'appelait scorpion" |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 30 Décembre 2005 18h41 | ||
UP pour les amateurs de Bollywood |
| Ecrit par: ah_thomas Mardi 03 Janvier 2006 09h06 |
| N'oubliez pas http://forum.hkcinemagic.com/index.php?act=calendar&code=showevent&eventid=127 vendredi 13 sur C+  |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 13 Janvier 2006 18h53 | ||
Up pour le rappeler à tout le monde |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 14 Janvier 2006 19h48 |
| Ce samedi, pour celles et ceux qui ont Canal + Cinéma : Soirée WKW à partir de 20h50 - 2046 + - Chungking Express |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 14 Janvier 2006 19h50 |
| Ce samedi à 0H30 sur France 3 : Un documentaire intitulé "Grandeur et décadence d'un héros de Mme Mao" C'est l'histoire d'un chanteur d'opéra révolutionnaire zélé pendant les années la Bande des 4, aujourd'hui ouvrier du bâtiment aux USA... |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 14 Janvier 2006 19h57 |
| Cinéma de minuit France 3 Dima 15 jan 0H10 FORFAITURE version Marcel l'Herbier une curiosité de cinéma : l'acteur japonais Sessue Hayakawa reprend son propre rôle de prince asiatique cruel qu'il avait campé dans l'original réalisé par Cecil B De Mille Histoire : une Française rejoint son mari ingénieur en mission en Mongolie. Le prince mongol tombe sous son charm... |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 14 Janvier 2006 20h03 |
| "Pékin Express" : Un jeu d'aventures pas très con parait-il diffusé sur M6 le Dimanche à 17h45 Le principe : 10 équipes de 2 membres s'engagent à faire Paris-Pékin avec un budget de 1 euro par personne et par jour... |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 14 Janvier 2006 20h07 |
| "Dessous des cartes" Arte Mercredi 18 janvier, 22H25 émission consacrée à Zheng He, l'eunuque des Ming, grand navigateur, qui aurait découvert l'Amérique avant tt le monde |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 14 Janvier 2006 20h08 |
| "Time and Tide" de Tsui Hark Mercredi 18 janvier 20H45 sur Cinecinema Frisson |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 01 Février 2006 09h38 |
| "Le chant de la fidèle Chunhyang" de IM Kwon Taek Corée du Sud 2000 ARTE mercredi 1er février 2006 22h30  |
| Ecrit par: P'tit Panda Lundi 06 Février 2006 09h15 |
| Mercredi 8 février 2006 ARTE 22h30 "Ivre de Femmes et de Peintures" de IM Kwon Taek Corée 2002   |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 16 Février 2006 14h14 |
| A ne pas rater : l'excellent "Blind Shaft" de Li Yang ARTE Lundi 20 février 20H40 rediffusion : Vendredi 24 fév à 1H20 du matin  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 16 Février 2006 14h17 |
| "Balzac et la petite tailleuse chinoise" Film de Dai Sijie FRANCE 3 Jeudi 23 février 23H50  |
| Ecrit par: akpstyl Vendredi 24 Février 2006 11h23 |
| Sur ciné auteur : "la rage du tigre" de chang cheh (polémique de la semaine )"le tatouage" de masumura !!! |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 21 Mars 2006 15h52 |
| Mardi 21 mars 2006 à 22h55 sur ARTE : Le dernier témoin Le dernier témoin" À Séoul, un policier tente d’élucider un double meurtre. Pour retrouver l’assassin, il est obligé de fouiller dans le passé de son pays. Une étonnante fiction coréenne, entre polar urbain et mélodrame historique. Le détective Oh enquête sur le meurtre de deux anciens membres de la police militaire chargés de la chasse aux communistes durant la guerre de Corée. Au cours de ses investigations, il plonge dans le passé plus ou moins glorieux de plusieurs personnes. Parmi elles, un homme et une femme qui se sont aimés cinquante ans auparavant mais qui ont été séparés par l’Histoire… Retour du refoulé Le dernier témoin est à la fois une fresque historique et un polar contemporain. Les crimes du présent en font ressurgir d’autres, bien plus graves, perpétrés au nom des idéologies. Tout a commencé en 1952 sur l’île de Geoje, dans un camp de prisonniers nord-coréens. L’enquête de l’agent Oh le conduit à fouiller dans ce passé trouble, brutal. Mais le film reste neutre : les fuyards communistes sont aussi violents que ceux qui les poursuivent. La compassion est reportée sur les personnages de Son Jihae et Hwang-suk, victimes d’une tragédie dans laquelle ils ont été entraînés malgré eux. L’agent Oh, turbulent mais au fond flic exemplaire, est le spectateur d’une crise qui couve depuis cinquante ans. Le passé ne sera enterré qu’à la fin du film, avec la mort des vieux amants. Cette excellente fiction s’appuie sur un scénario efficace. Les recettes du film d’action et du mélodrame sont mises au service d’une interrogation sur la société coréenne et l’histoire récente du pays. À noter également : des reconstitutions soignées et une très belle réalisation. Le dernier témoin (Heugsuseon) Téléfilm de Bae Chang-ho (Corée du Sud, 2001, 1h44mn, VOSTF) Scénario : Bae Chang-Ho, d’après le roman de Kim Seong Jong Avec : Lee Jung-Jae (l’agent Oh), Ahn Sung-Ki (Hwang-suk), Lee Mi-Yoen (Son Ji-hae), Jung Jun-ho (Han Dong-Ju), Lee Ki-Yeong (Jang Dal-Su) Image : Kim Yun-Su Montage : Kim Hyun Musique : Choi Kyoung-Sik Production : Taewon Entertainment, Cinema Service, NNP Capital, SBS ARTE FRANCE (Rediffusion du 16 novembre 2004)   |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 21 Mars 2006 15h56 |
| jeudi, 23 mars 2006 à 00:25 sur ARTE The crazy family (Japon, 1984, 102mn) ZDF Réalisateur: Sogo Ishii Auteur: Norio Kaminami, Sogo Ishii Image: Masaaki Tamura Montage: Junichi Kikuchi Production: Directors Company, Art Theatre Guild Producteur: Kazuhiko Hasegawa, Toyoji Yamane, Shiro Sasaki, Banmei Takahashi Avec: Katsuya Kobayashi, Mitsuko Baisho, Yoshiki Arizono, Youki Kudoh , Hitoshi Ueki Une satire provocatrice et sauvage de la famille japonaise et de ses rêves dérisoires, signée par le réalisateur punk Sogo Ishii. Le film de chevet de Takashi Miike (Audition). ZDF © AsianFilmNetwork Dans la famille Kobayashi, le père Katsuhiko se consacre à son travail, la mère Saeko occupe parfaitement sa place de femme au foyer, la fille Erika prend des cours de chant et le fils Masaki prépare ses examens. Tout va bien, d'autant que les Kobayashi réalisent leur rêve : emménager dans une maison moderne en banlieue. Cette petite musique du bonheur tourne court quand arrive le grand-père, Yasukune. Katsuhiko entreprend alors de creuser le sol de la cuisine pour lui faire une chambre, Saeko se met à faire des strip-teases, Masaki tente par tous les moyens de rester éveillé pour étudier et Erika ne maîtrise plus sa sexualité naissante... LES PETITS PLUS Giro-ninjo Les drames familiaux qui reposent sur le conflit entre le devoir et l'inclination personnelle, ou giro-ninjo, constituent au Japon un véritable genre. Chez Ozu, il revenait au spectateur d'en décoder les rouages symboliques. Sogo Ishii, lui, réalisateur de Crazy thunder road et d'Angel dust, cultive l'art de l'explosion et du grand guignol. La petite maison de banlieue des Kobayashi se transforme en un champ de bataille où éclatent les tensions suscitées par le travail, la soumission, la sévérité de l'école, la soif de reconnaissance, le patriotisme... On se bat à coups de battes de base-ball, de couteaux, de sabres ou de marteaux-piqueurs ! Jouant sur des oppositions très nettes entre les tableaux vivants et les scènes de violence, entre la tranquillité et le mouvement, Sogo Ishii fait naître la folie du quotidien. À travers ce film imprévisible, il livre un portrait insolent de la famille et, par extension, une satire provocatrice du Japon au milieu des années 80. Depuis son passage remarqué au festival de Berlin, en 1984, cette oeuvre miroir a ouvert de nouvelles voies au giro-ninjo. Depuis, tout un pan du cinéma japonais contemporain ne cesse de l'explorer, de l'interroger et de le réinventer, de Hayao Miyazaki (Le voyage de Chihiro) à Takashi Miike (Visitor Q), de Hirokazu Kore Eda (Nobody knows) à Katsuhito Ishii (The taste of tea).  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 21 Mars 2006 16h00 |
| Tampopo vendredi, 24 mars 2006 à 23:15 sur ARTE Rediffusions : 04.04.2006 à 15:00 09.04.2006 à 00:20 09.04.2006 à 00:20 (Japon, 1987, 109mn) ARTE F Réalisateur: Juzo Itami Musique: Kuhiniko Murai Montage: Akira Suzuki Avec: Nobuko Miyamoto (Tampopo, "Mme Pissenlit)), Tsutomu Yamazaki (Goro), Ken Watanabe (Gun), Rikiya Yasuoka (Pisken) Une jeune femme décide de devenir la reine du bouillon de nouilles. Une comédie hilarante, variation amoureuse et nippone sur les mille et une manières de manger. À déguster absolument. ZDF Tampopo ("Fleur de pissenlit") tient courageusement une médiocre gargote de soupe aux nouilles (ramen) dans un quartier populaire de Tokyo. Un jour, Goro, un routier à la dégaine de cow-boy, lui dit que ses nouilles "manquent de corps et de tripes". Elle le convainc de lui enseigner l'art de cuisiner un bon bouillon. Commence alors une longue et douloureuse ascèse à la recherche de la soupe aux no uilles absolue... LES PETITS PLUS Western-nouille À partir des aventures de Tampopo - qui, à force de persévérance et d'obstination, va s'imposer comme la reine de la nouille -, Juzo Itami nous invite à découvrir les relations extraordinaires que les Japonais entretiennent avec la nourriture. Aussi vrai que le bouillon est l'âme des nouilles, la nourriture et le sexe sont les deux grandes passions des Japonais. Les séquences s'enchaînent, hilarantes, bourrées de références cinématographiques qui vont du western au thriller en passant par le film érotique, le mélodrame et même la comédie musicale ! Le public japonais a fait un triomphe à ce film qui se plaît à ironiser sur les moeurs culinaires du pays tout en plaçant le bouillon de nouilles au niveau des plus grandes valeurs de l'existence.  |
| Ecrit par: Toto le hero Mardi 21 Mars 2006 21h03 | ||
GirI ninjo....voila ce qui arrive quand on veut a tout prix coller un mot japonais dans sa (bonne) critique  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 21 Mars 2006 21h23 | ||||
Plains-toi à Arte |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 21 Mars 2006 22h37 |
| Ils auraient pu faire ça un peu plus tot... mais tant pis, ça fait tellement longtemps que je voulais revoir cet excellent film, ça doit bien faire au moins 10 ans je parie, donc vais essayer de ne pas le louper (ou faudrait vraiment que je répare ce satané scope....). |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 23 Mars 2006 02h03 |
| Jeudi, 30 mars 2006 à 20:40 sur ARTE Rediffusions : 03.04.2006 à 15:00 Le festin chinois (Hong-Kong, 1995, 107mn) ARTE F Réalisateur: Hark Tsui Auteur: Philip Cheng, Man Fai Ng, Hark Tsui Image: Peter Pau Musique: Lowell Lo Montage: Marco Mak Production: Film Workshop Ltd Producteur: Raymond Wong Avec: Kenny Bee , Leslie Cheung , Man Cheuk Chiu , Fan Yik-man, Ho Ka-kui , Peter Lai , Shun Lau , Law Kar-ying , Suk Kwan Ni , Peter Pau , Yut Fei Wong , Xin Xin Xiong, Anita Yuen Un régal comique où les gentils et les méchants se battent à coups de mets raffinés... Tsui Hark nous en met plein la vue. Mieux qu'un festin, un banquet impérial ! ARTE F Au Siu-Fung est le patron du Quing et Han, l'un des meilleurs restaurants de Hong Kong. Un jour, Wong Wing, un mafieux qui veut mettre le business de la restauration en coupe réglée, vient le provoquer en duel. Un duel culinaire, arbitré par un jury d'experts : le traditionnel "festin impérial". Au Siu-Fung relève le défi mais, lâché par son personnel, il a une attaque. Sa fille Au Ka-Wai et le jeune voyou Chiu, apprenti cuistot au Quing et Han, décident de l'aider. Il leur faut trouver un cuisinier qui connaisse les secrets du festin. Sur le conseil d'un jeune chef prodige, Lung Kwun-Bo, ils se mettent en quête de Kit, maître de l'art culinaire tombé dans la débine quand sa femme l'a quitté, cinq ans auparavant... LES PETITS PLUS Patte d'ours et cervelle de singe Relation à la nourriture, philosophie et moeurs culinaires : Le festin chinois est à la Chine ce que Tampopo est au Japon, mais dans un tout autre style. Car il est réalisé par le cinéaste hongkongais Tsui Hark, celui qui a revivifié le film de genre, sabre ou kung-fu, qui a fait renaître les mythes chinois à l'écran et qui a fondé en 1984 sa société de production, Film Workshop Ltd. Scénariste, réalisateur et producteur boulimique, il applique ici, après avoir exercé ses talents dans le polar ou l'épopée historique, son éblouissante maîtrise visuelle à un duel... culinaire. Sa virtuosité fait merveille. Les woks flambent, les crabes agitent leurs pinces, les poissons géants sèment la zizanie. Des cuisiniers karatéka tranchent le chou chinois à la vitesse de la lumière et sculptent le fromage de soja avec la délicatesse d'un Rodin. C'est très beau et ça a l'air très bon (même la patte d'ours et la cervelle de singe au menu du festin impérial). Parmi les acteurs, il y a bien sûr Leslie Cheung, mais il faut attribuer une mention spéciale à Anita Yuen et à Kenny Bee, tordants dans leurs numéros comiques. Quelques blagues purement chinoises nous échappent sans doute au passage, mais cela ne nous empêche pas une seconde de goûter avec bonheur ce petit régal de cinéma.   |
| Ecrit par: Jean-Louis Samedi 25 Mars 2006 23h16 |
| Le Festin Chinois passe dans une thématique "Spéciale Chine", il y aura donc diverses émissions à ce sujet de fin mars à début mai avec une programmation spéciale qui vous attend sur ARTE : documentaires, reportages, film... http://www.arte-tv.com/fr/connaissance-decouverte/chine/262344.html Avec pour commencer : * Les Naxis, le 27 et le 28 mars à 19h00 * Le festin chinois, le 30 mars à 20h40 * Le maître de Wudangshan - Taoïsme et arts martiaux, le 8 avril à 12h00 * Le meilleur vin de Chine, le 9 avril à 22h30 |
| Ecrit par: David-Olivier Dimanche 26 Mars 2006 08h15 |
| dommage qu'Arte ne repasse pas Chicken and Duck Talk ! |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 26 Mars 2006 08h57 | ||
avec tous les Mister Boo en prime, ce serait le top... |
| Ecrit par: Pti denis Dimanche 26 Mars 2006 10h28 |
| Et tout les King Hu |
| Ecrit par: Jean-Louis Jeudi 30 Mars 2006 21h39 |
| Le Festin Chinois vient de se terminer, tant pis pour ceux qui ont oublié... |
| Ecrit par: Ktee Jeudi 30 Mars 2006 22h01 |
| je l'ai trouvé très bien ce film! et un de plus dans ma collection !! |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 09 Avril 2006 21h50 |
| Fengjie, la ville engloutie lundi, 10 avril 2006 à 22:20 sur ARTE Rediffusions : 13.04.2006 à 15:10 (Chine, 2004, 98mn) ARTE F Réalisateur: Li Yifan, Yan Yü Dans le chaos des destructions et des relogements, chronique du quotidien à Fengjie avant la montée des eaux du barrage des Trois Gorges. Un beau film, mélange de réalisme social et de poésie. ARTE F Des berges escarpées du Yang-tseu-kiang, de larges escaliers montent vers la ville millénaire de Fengjie. Non loin des quais, M. et Mme Xiang tiennent une modeste pension où logent des débardeurs. Déjà âgés, Haiyu et Gulzen Xiang vont pourtant devoir reconstruire leur vie ailleurs. Après la mise en service du barrage des Trois Gorges, les eaux du fleuve engloutiront leur maison et la moitié de la ville. Les habitants sont censés être indemnisés et relogés. Mais ce qu'ils peuvent espérer obtenir est bien maigre... s'ils obtiennent quelque chose ! Dans le bureau du maire de Fengjie, M. Xiang tente de défendre sa cause. Rien à faire. Sa maison ayant été construite illégalement, il ne recevra aucune compensation. Plus haut dans la vallée, la nouvelle ville sort de terre. Les habitants sont loin d'être tous relogés. Malgré tout, en bas, les destructions commencent, à l'explosif pour les grands immeubles, à la force des bras pour le reste. Entre révolte et fatalisme, chacun réagit comme il peut. Certains refusent de quitter leurs maisons, d'autres s'en prennent aux cadres locaux. La population boycotte largement une réunion de tirage au sort des logements. M. Xiang, lui, cherche un nouvel emplacement pour sa pension... sous les piles d'un gigantesque pont ! Sa femme, elle, a baissé les bras... LES PETITS PLUS Injustice de toutes parts "Nos amis nous suggéraient de faire un film sur la beauté et l'atmosphère de Fengjie, 'la ville des poètes', l'emblème de l'âge d'or de la culture chinoise classique. Certes, la poésie est la clé de notre travail. Mais une fois là-bas, nous n'étions plus très sûrs de savoir comment elle pourrait rendre compte de la douleur d'un vétéran, de la vie misérable des dockers traités comme des chiens. Tous n'avaient qu'une obsession : leur maison. Ce n'était de toutes parts que pauvreté et chômage, injustice sociale et droits civils oubliés." Li Yifan et Yan Yü ont filmé pendant plusieurs mois le quotidien des habitants de Fengjie, un quotidien fait de confrontations, de négociations, de destructions. Le sentiment d'impuissance et le désespoir sont palpables. Haiyu Xiang pleure en silence quand il comprend que ses efforts pour trouver une maison, ou ne serait-ce qu'un bout de terrain, sont vains. La situation des habitants de Fengjie est tout simplement révoltante. On est d'ailleurs surpris par leur relative sérénité car, malgré quelques disputes, bagarres et crises de nerfs, tout se passe plutôt dans le calme. Le documentaire, construit autour de quelques personnages clés, est aussi une plongée hallucinante dans cette ville en plein chambardement. Nuages de poussière, montagnes de débris, entrelacs de ferraille... la poésie du chaos.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 09 Avril 2006 21h53 |
| Les forçats du boum chinois Jeudi, 13 avril 2006 à 22:35 sur ARTE Rediffusions : 20.04.2006 à 01:45 20.04.2006 à 01:45 Les forçats du boum chinois (Chine, Allemagne, 2005, 54mn) ZDF Réalisateur: Christoph Tubbenthal Rencontre avec des paysans chinois venus à Shanghai pour travailler sur les chantiers, dans des conditions extrêmement précaires. Un tableau saisissant d'une Chine à deux vitesses, entre ruralité archaïque et cités futuristes asservissantes. L'ONU estime à 150 millions le nombre de travailleurs itinérants qui sillonnent la Chine en quête de nouveaux moyens de subsistance. Parmi eux, des cohortes de riziculteurs pauvres venus du nord du pays sont venus à Shanghai. En plein boum immobilier, la ville a besoin de bras pour ses chantiers de construction. Trimant comme des esclaves sept jours sur sept, à raison de seize heures par jour, ces ouvriers gagnent environ 150 euros par mois, ne bénéficient d'aucune couverture sociale et sont logés dans des baraques en carton à la lisière des chantiers. Leur rêve : gagner assez d'argent pour offrir une formation à leurs enfants et faire venir auprès d'eux leurs familles. Le réalisateur a suivi plusieurs de ces ouvriers, sur les chantiers et dans leur quotidien, et aussi lors d'un bref séjour dans leur village d'origine, où ils sont repartis à l'occasion de la grande fête du printemps. À travers leurs portraits, on mesure peu à peu le contraste saisissant qui sépare la Chine rurale, où les habitants vivent encore souvent comme au Moyen Âge, et les mégalopoles futuristes qui avalent les hommes pour nourrir leur développement exponentiel.  |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 09 Avril 2006 22h05 |
| Hier, c'était un reportage sur une école Shaolin féminine, j'ai vu la fin entre et après Stargate, ça avait l'air pas mal. |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 27 Avril 2006 18h23 |
| France 3 Jeudi 27 avril 20H55 Tigre et Dragon  |
| Ecrit par: fada Mardi 09 Mai 2006 13h05 |
| Bon film mais le doublage gâche tout. |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Mai 2006 14h30 |
| Jeudi 11 mai - 20h55 FRANCE 2 "Envoyé Spécial" Les marcheuses de Belleville Un reportage de Patricia WONG, Ivan CERIEIX, Eléonore MANEGLIER Enquête On les appelle les "marcheuses" : soucieuses de ne pas attirer l'attention de la police, elles font le trottoir mine de rien, avec l'air de se promener. Parfois à deux, bras dessus, bras dessous, mais souvent seules, elles arpentent les rues de Paris en se faisant le plus discrètes possibles, sans rien de sexy dans le vêtement, ni de racoleur dans l'allure. Les prostituées chinoises sont les dernières arrivées, parmi les milliers de migrants, victimes ou bénéficiaires de l'immense vague déclenchée depuis la politique d'ouverture - commerciale et frontalière - de l'ancienne République maoïste. Les premières prostituées chinoises sont apparues dans le quartier de Belleville (20ème arrondissement), il y a sept ou huit ans. En 2003, elles n'étaient pas plus de 100, selon les estimations des services de la préfecture de police. Mais aujourd'hui, on pense qu'elles sont plusieurs centaines mais c'est très difficile à dire car le turnover est important. Il y a toujours des nouvelles têtes et d'autres qu'on ne revoit plus. Une étude, publiée en mars par le Bureau international du travail (BIT), sur Le trafic et l'exploitation des immigrants chinois en France, notent que c'est, à partir de 1997, que le phénomène s'est développé, avec l'arrivée en France des émigrées du Dongbei (ex-Mandchourie). Dans cette région de la Chine du Nord, des millions de salariés des usines d'Etat, des femmes le plus souvent, se sont retrouvés au chômage, victimes de la restructuration de l'industrie. Parmi les arpenteuses de Belleville, beaucoup, dans une autre vie, ont été cadres ou employées. La plupart ont laissé en Chine leurs enfants dont elles veulent payer les études. Ne parlant pas le français et venant d'un pays où tout se monnaie et s'achète, elles sont une proie facile pour les arnaqueurs aux petits pieds comme pour les mafieux patentés. Ce réseau peu connu sur Paris, se propage et personne n’en parle. Qui sont réellement ces femmes ? Que cherchent-elles ? Pourquoi venir en France ? De Belleville à Shenyang, la capitale du DongBei en Chine, Patricia Wong, jeune journaliste chinoise installée en France depuis deux ans, a enquêté pendant plusieurs mois sur ces prostituées d'un autre type. Discrètes, insaisissables, la plupart ont la cinquantaine, n'ont pas de souteneur et ne ressemblent en rien aux autres prostituées parisiennes. |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 19 Mai 2006 21h19 |
| lundi, 22 mai 2006 à 20:40 sur ARTE IN THE MOOD FOR LOVE Réalisé par Wong Kar-wai Scénario de Wong Kar-wai Image : Christopher Doyle, Mark Li Ping-Bing Décors et costumes : William Chang Suk-Ping Musique : Michael Galasso, Nat King Cole, Shigeru Umebayashi Production : Block 2 Pictures Inc., Paradis Films (France - Hong-Kong - Thaïlande, 2000, 98mn) Coproduction: ARD, ARTE FRANCE Le nouveau film de Wong Kar-wai, 2046, coproduit par Orly Films/Paradis Films, ARTE France Cinéma, ARTE/ZDF, France 3 Cinéma et Classic SRL vient d'être sélectionné en compétition officielle au Festival de Cannes 2004. Prix d'interprétation masculine (Tony leung) et Prix de la commission supérieure technique, Cannes 2000 Rediffusion le 18 mai à 15.15 Avec : Maggie Cheung (Su Li-Zhen), Tony Leung Chiu-Wai (Chow Mo-Wan), Rebecca Pan (Mme Suen), Lai Chen (M. Ho), Siu Ping-Iam (Ah-Ping), Chin Tsi-Ang (Amah) Éclairages inspirés de Chris Doyle, alchimie du couple Maggie Cheung-Tony Leung... In the mood for love, somptueux mélodrame, témoigne du génie créatif de Wong Kar-wai, l'un des cinéastes hongkongais les plus doués de sa génération. ARTE F Hong Kong, 1962. Chow Mo-Wan, journaliste, emménage dans l'appartement voisin de celui de Su Li-Zhen, secrétaire d'un homme d'affaires. À la suite de troublantes coïncidences, Chow et Su découvrent que leurs conjoints respectifs, constamment en déplacements professionnels, ont une liaison. Se rapprochant peu à peu, les deux délaissés cherchent à comprendre les raisons de leur infortune et endossent alors chacun le rôle du conjoint de l'autre... LES PETITS PLUS Brève rencontre Il y a d'abord la grâce de la mise en scène, ensorcelante, ponctuée par un thème musical obsédant, dominée par des tons rouge-brun. Noyés dans des volutes de fumée de cigarettes, les deux magnifiques interprètes - Maggie Cheung et Tony Leung, sacrés super-stars en Asie - campent des figures tragiques inoubliables. Ils sont les protagonistes d'une histoire d'occasion manquée comme il y en a souvent chez Wong Kar-wai, d'une brève et intense rencontre condamnée d'avance. Leurs époux et épouse adultères respectifs n'apparaissent jamais à l'image, comme si le cinéaste se désintéressait d'emblée du banal récit d'une tromperie conjugale pour se concentrer sur Chow et Su, dont la solitude semble décuplée. Histoire de faux-semblants et de demi-vérités, In the mood for love est une oeuvre en trompe l'oeil, où seule la relation amoureuse entre les deux protagonistes garde toute sa pureté. La manière qu'a le cinéaste de filmer leurs frôlements dans l'escalier de l'immeuble ou leurs regards qui se croisent est bouleversante. Jamais des ralentis, immortalisant la brièveté de l'instant, n'ont été aussi subtilement utilisés. Chaque apparition de Maggie Cheung, dont les changements de robes étincelantes rythment la marche du temps, est un moment magique, un bonheur cinématographique.  |
| Ecrit par: Jean-Louis Samedi 20 Mai 2006 15h00 |
| Shaolin Soccer la semaine d'après toujours le dimanche soir sur ARTE. PS : y'a aussi Old Boy sur Canal + à la même heure... |
| Ecrit par: tao pai pai Mardi 23 Mai 2006 07h10 |
| Pour revenir sur In the Mood for Love, deuxième fois que je vois ce film, ok pour dire que Tony Leung et Maggie Cheung sont 2 superbes acteurs, ok pour dire que les musiques et les images (couleurs / décors/ costumes) sont sublimes. Néanmoins je trouve ce film trop mou voire soporiphique. Manque cruel de rythme et de dénouement dans l'histoire. Fin décevante. C'est un avis personnel bien sûr, mais je tenais à le souligné. |
| Ecrit par: Ktee Mardi 23 Mai 2006 11h07 |
| c'est la deuxième fois que je le regarde aussi (d'ailleurs je l'ai mieux apprécié cette fois). Mais c'est vrai que je trouve que le bruit fait autour de ce film n'en valait pas la peine , et je pense que WKW a fait de meilleurs films , c'est dommage que le grand public n'est fait sa connaissance qu'avec ce film ci. autant je trouve que Maggie Cheung est vraiment bien, autant je trouve que tony Leung est (pardon Tony, )fade! et ne meritait pas un prix pour ça, il a fait bien mieux ailleurs !( à moins que ce prix soit pour le recompenser pour tous les rôles qu'il avait déjà fait ?) |
| Ecrit par: Pti denis Mardi 23 Mai 2006 12h45 | ||
Tu le connais par coeur Shaolin soccer alors tu vas me faire le plaisir de matter Old boy!!! |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Mai 2006 21h15 |
| samedi, 27 mai 2006 à 22:25 sur ARTE Papillon noir, danse Dunhuang et ballet classique (Allemagne, Hongrie, Taiwan, 2005, 52mn) ZDF Sur fond de solitude, un portrait du danseur d'origine taïwanaise Shih-Hsien Chuang, gracieux papillon noir aux yeux de la réalisatrice Helma Sanders-Brahms. Shih-Hsien Chuang a reçu dès sa plus tendre enfance, à Taiwan, une éducation orientée vers la danse. Dans l'école dirigée par sa mère, il apprend les rudiments de la danse chinoise en compagnie de petites filles, avant de découvrir, jeune homme, le ballet classique européen. Pour échapper au service militaire, il préfère quitter son pays et parcourir le monde. Puis il est engagé par l'Opéra national de Budapest. Lorsque Helma Sanders-Brahms (réalisatrice, entre autres, d'Allemagne, mère blafarde) rencontre le jeune danseur pour la première fois, elle pense à un papillon noir - car son île natale est connue comme le paradis des papillons. Une impression qui n'émane pas seulement de la couleur de ses cheveux, de la finesse de son personnage ou de la grâce de ses gestes. Shih-Hsien Chuang lui apparaît nimbé de mystère, d'une solitude que sa prévenance et sa constante amabilité ne parviennent pas à effacer. Le retour à Taiwan lui est toujours interdit, et sa terre natale lui manque cruellement. Par le biais d'allers-retours entre l'Europe et Taiwan, ce documentaire peint avec sensibilité la figure d'un jeune artiste déraciné, condamné à vivre en nomade, matériellement et peut-être aussi intérieurement, dont le seul point de repère est la relation avec ses parents, par-delà océans et continents. Mais il tente d'atteindre également la quintessence de la danse classique, extrême-orientale et européenne, les deux univers où Shih-Hsien Chuang se sent pleinement chez lui.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Mai 2006 21h18 |
| ARTE dimanche, 28 mai 2006 à 20:55 Rediffusions : 30.05.2006 à 14:55 11.06.2006 à 00:05 Shaolin soccer (Hong-Kong, 2002, 85mn) ARTE F Réalisateur: Stephen Chow Image: Kwong Ting Wo, Kwen Pak-huen Montage: Kai Kit-Wai Production: Star Overseas, Universe Producteur: Yeung Kwok-fai Musicien: Raymond Wong Avec: Stephen Chow (Sing), Vicki Zhao Wei (Mui), Ng Man Tat (Fung), Cecilia Cheung, Karen Mok Où un moine shaolin invente sur le terrain l'art martial du ballon rond. Un réjouissant film d'action qui jongle sans complexe avec tous les genres du 7e art hongkongais. ARTE F Un moine shaolin, prosélyte champion de kung-fu, rencontre un ex-joueur de foot sur la touche qui lui apprend, ainsi qu'à ses cinq frères, les règles du soccer - en anglais, le football. La fine équipe de kung-foot s'engage dans un tournoi, espérant remporter un trophée d'un million de dollars. LES PETITS PLUS Pas qu'avec les pieds Ce réjouissant ovni cinématographique, de et avec Stephen Chow, mélange les genres sans aucun état d'âme : comédie, kung-fu et romance, tous les coups sont permis, et pas qu'avec les pieds. Mené à un train d'enfer et sans aucun souci de vraisemblance, Shaolin soccer constitue, en dépit de ses virevoltantes scènes de combat, une parenthèse de douce naïveté dans un monde de brutes.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Mai 2006 21h23 |
| ARTE lundi, 29 mai 2006 à 20:40 Rediffusions : 06.06.2006 à 15:00 09.06.2006 à 00:30 Un Américain bien tranquille (Etats-Unis, 1958, 99mn) ARD Réalisateur: Joseph L. Mankiewicz Auteur: Joseph L. Mankiewicz Image: Robert Krasker Musique: Mario Nascimbene Montage: William Hornbeck Production: Figaro Films Producteur: Joseph L. Mankiewicz Avec: Audie Murphy, Michael Redgrave, Claude Dauphin, Giorgia Moll , Bruce Cabot , Fred Sadoff , Kerima, Richard Loo , Peter Trent , Georges Bréhat , Clinton Anderson Durant la guerre d'Indochine, un jeune Américain débarque à Saïgon et se retrouve au centre d'une intrigue sentimentale explosive. Un film aux dialogues ciselés, signé Mankiewicz et adapté d'un roman prophétique de Graham Greene. ARD / © ARD/Degeto Saïgon, 1952. En pleine guerre d'Indochine, un jeune homme idéaliste, fraîchement débarqué des États-Unis, sympathise avec un journaliste anglais, Thomas Fowler, qui lui présente sa maîtresse, la belle Phuong. Il en tombe aussitôt amoureux et s'en ouvre à son rival. Voyant que Fowler ne parvient pas à obtenir le divorce, Phuong finit par le quitter. Jaloux, ce dernier se met à espionner le jeune Américain...   |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Mai 2006 21h28 |
| ARTE mercredi, 31 mai 2006 à 17:20 Les grands ports (Allemagne, 2005, 43mn) NDR Réalisateur: Sophie Kill Ce soir, pleins feux sur le port de Shanghai et son développement effréné, qui pourrait le porter au premier rang mondial d'ici à quinze ans. NDR © ma.ja.de Film (3) Shanghai Le port de Shanghai, déjà à la troisième place mondiale, a l'ambition de devenir le premier port de la planète d'ici 2020. Son développement effréné attire désormais des cohortes de travailleurs venus des régions les plus pauvres de la Chine. Ils viennent se joindre aux milliers de petits pêcheurs traditionnels vivant toujours dans le port, où leurs cahutes de bois jouxtent les gratte-ciel flambant neufs.  |
| Ecrit par: Jean-Louis Samedi 27 Mai 2006 14h29 |
| A l'occasion de la diffusion de Shaolin Soccer sur ARTE, voici une pub jap tournée par Stephen Chow : http://www.youtube.com/watch?v=CHGYRfyxdTQ&search=stephen%20chow http://www.youtube.com/watch?v=k7dv0ktDC2k&search=stephen%20chow http://www.youtube.com/watch?v=40m3g0vAL-g&search=stephen%20chow http://www.youtube.com/watch?v=dSN628vHhS4&search=stephen%20chow |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 28 Mai 2006 17h41 |
| Yi Yi Dimanche 28 mai à 22h30 sur FRANCE 4 Film de Edward Yang avec Wu Nianzhen, Issey Ogata, Elaine Jin NJ, la quarantaine en est à un stade où il se demande si sa vie aurait pu être différente. La rencontre fortuite avec son amour de jeunesse, Sherry, lui donne envie de repartir à zéro. Car à la maison, les crises se succèdent et sur le plan professionnel, son entreprise de matériel informatique est au bord de la faillite… Le jour du mariage de son beau-frère, NJ apprend que sa belle-mère a été transportée d'urgence à l'hôpital dans le coma. Dans son entreprise, une association avec un célèbre concepteur de logiciels japonais est envisagée, NJ est désigné pour recevoir le futur partenaire, Ota, un homme avec lequel il se lie d'amitié. A la maison, les choses continuent à empirer… YI YI a obtenu ,en 2000, le prix de la mise en scène au Festival de Cannes. Fiche technique : • (1999) • 175' •  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 28 Mai 2006 17h49 |
| FRANCE 3 Lundi 29 mai 20h55 Thaïlande : les royaumes de Siam  De Bangkok, la capitale, au Triangle d'Or, à la frontière du Laos et de la Birmanie, tout au Nord, ce nouvel itinéraire de Faut pas rêver raconte l'histoire des descendants des royaumes de Siam. C'est en 1939 que le Siam a pris officiellement le nom de Thaïlande. Jusquelà, les villes comme Sukhothai, Ayuthaya, Chiang Maï ou Phitsanulok se sont partagé le pouvoir jusqu'au jour où Bangkok s'est imposée comme capitale d'un royaume dont la plus grande fierté est d'avoir toujours été indépendant. Thaï signifie libre, et c'est bien le caractère de ce peuple raffiné et souriant. De l'architecture à la danse, de la cuisine à la vie sauvage, la Thaïlande impose naturellement un art de vivre en toute délicatesse. William Garit * La cuisine des insectes reportage d'Arnaud Blin et Michel Marion production : France 3 - Faut pas rêver  Chez les Occidentaux, les cafards, les vers, les scorpions, les bousiers, les fourmis rouges suscitent généralement le dégoût. Mais pas en Thaïlande. Grillés, bouillis ou sautés, ils constituent, dans ce pays connu pour son raffinement, un mets de choix que l'on déguste souvent en guise d'apéritif. Un succès dû à leur richesse en protéines, calories, vitamines et éléments minéraux même si, en moyenne, ils coûtent deux à trois fois plus cher que la viande de porc. De plus en plus de paysans se tournent vers cette activité qui leur rapporte bien plus que l'agriculture. * Ma vie avec les esprits reportage de Patricia Micallef et Nicolas Vrignon production : France 3 - Faut pas rêver  Au milieu des buildings de verre et d'acier de Bangkok, 12 millions d'habitants s'affairent en permanence. Même s'ils vivent désormais le téléphone collé à l'oreille et l'ordinateur portable sur les genoux, les Thaïlandais n'ont pas oublié que leur pays est celui des esprits. Il y en a pour tout : l'eau, les arbres, la mer, les ancêtres… et il ne viendrait à personne l'idée de passer une journée sans les honorer, leur faire une offrande, leur demander d'exaucer un souhait. Même dans l'agitation de Bangkok, chacun trouve quelques minutes quotidiennes à consacrer aux esprits. * La boxe thaïlandaise reportage de Patricia Micallef et Nicolas Vrignon production : France 3 - Faut pas rêver  Dans ce pays, la boxe thaïlandaise est une vraie passion. Tous les soirs sur les rings, c'est comme une immense communion qui se déroule dans la ferveur, l'argent et la violence. Mais lorsqu'ils ont enfin accès aux plus grandes salles de Bangkok, les boxeurs sont déjà des champions. Pour en arriver là, ils auront dû passer leurs plus jeunes années dans ce que les Thaïs appellent des camps d'entraînement. Il y en a 2 000 disséminés dans tout le pays. 20 000 jeunes y passent leurs jours et leurs nuits, dans les coups et la sueur... à espérer. En attendant de devenir des champions, ils devront se lever à 5 heures tous les matins pour monter sur le ring. Mais pour eux c'est une chance, car dans leur immense majorité, ces jeunes sont issus de familles pauvres. La boxe est leur seule chance de s'en sortir. * L'école des singes reportage de Patricia Micallef et Nicolas Vrignon production : France 3 - Faut pas rêver  En Thaïlande, il faut être doué d'une patience à toute épreuve pour être un bon enseignant car les élèves ne sont pas toujours très attentifs. Et pour cause, ce sont parfois des singes que l'on trouve sur les bancs de l'école ! Depuis 40 ans, Sompong Chumak enseigne à de facétieux macaques à cueillir les noix de coco dans la couronne des arbres, à 25 mètres de haut. Au bout de quelques mois, les singes sauront choisir les noix les plus mûres et les faire tourner entre leurs pattes, afin de les faire tomber… * L'or des hirondelles reportage de Catherine Monfajon et Jean-Jacques Révérend production : VM group avec la participation de France 3 - Faut pas rêver  En Thaïlande, les hirondelles qui vivent le plus souvent sur des îles désertes, apprécient de plus en plus la compagnie des hommes. Des milliers d'entre elles ont envahi la petite ville de Pak Phanang, au bord du Golfe de Siam. Une invasion qui ravit les habitants, car elle peut leur apporter la fortune. Les nids que les hirondelles fabriquent uniquement avec leur salive sont en effet l'un des mets les plus coûteux de la gastronomie chinoise. Un kilo de nids d'hirondelles est vendu plus de 1.500 euros ! La dégustation de ces nids riches en protéines retarderait la sénilité, soulagerait les tumeurs et embellirait la peau… À Pak Phanang, les hirondelles ont commencé par habiter des bâtiments désaffectés. Les habitants n'ont pas hésité à déserter leurs maisons afin de les laisser construire leurs précieux nids en paix… Certains ont même décidé de construire des bâtiments uniquement réservés aux volatiles. * La guerre du bois reportage d'Arnaud Blin et Michel Marion production : France 3 - Faut pas rêver  Durant tout le XXe siècle, l'exploitation forestière a constitué l'une des grandes richesses de la Thaïlande. Une exploitation sans limite qui a eu pour conséquence de ramener les forêts de 90 % à 15% de la superficie du pays. Pour cette raison, en 1989, le gouvernement a interdit toute coupe de bois. Il a également créé des parcs nationaux pour tenter de sauver ce qui restait. Celui de Sallaouine, situé le long de la frontière birmane, est le plus riche en teck. Un bois très recherché pour sa solidité et sa résistance aux insectes certains trafiquants n'hésitent pas à franchir la frontière pour abattre clandestinement ces arbres. * Les croisés safran reportage d'Arnaud Blin et Michel Marion production : France 3 Faut pas rêver  Pendant des siècles, le « Triangle d'Or », zone montagneuse située à la frontière de la Thaïlande et de la Birmanie, a été synonyme d'opium. Mais aujourd'hui, c'est une nouvelle drogue qui y fait des ravages : le « ya ba », des pilules d'amphétamines qui rendent fous ceux qui les consomment. Face à ce fléau, un moine s'est dressé : Krouba. Deux fois par mois, accompagné de petits bonzes, il se rend dans les villages éloignés de tout, persuadé que la parole et la présence sur le terrain sont les meilleures armes pour lutter contre les trafiquants. Même au péril de sa vie. * Les petits princes récit de William Garit Chez les Sham, avoir 8 ans est un événement. Pour cette minorité birmane du nord de la Thaïlande, le passage à l'age adulte est à la fois une fête somptueuse et une initiation bouddhique. Habillés comme des princes, les jeunes garçons sont fêtés pendant 3 jours avant d'être transformés en petits moines.Après la grande fête, l'extrême dénuement succède alors aux fastes de la cérémonie. Les enfants découvrent et partagent pendant plusieurs semaines la vie des bonzes. ** un magazine de Georges Pernoud rédacteur en chef : François Jacquel production : France 3 Unité Thalassa - Faut pas rêver une émission préparée par William Garit réalisée par Jean-François Claire présentée par Laurent Bignolas |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Dimanche 28 Mai 2006 18h20 | ||
Excellente la pub japonnaise |
| Ecrit par: lanjingling Dimanche 28 Mai 2006 22h49 | ||
tres bonne idee, ces liens , stefen chow est vraiment bon. ca m'a donne l'idee de chercher zhao wei sur youtube; ben, ses chansons sont...hm; a part "il y a une jeune fille capricieuse" , mignon & sautillant. |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 02 Juin 2006 16h51 |
| Film sur France 2 dimanche 4 juin 2006 de 20:55 à 22:45 (110 min) Broken Arrow Télérama du 03/06/2006 : Film de John Woo (Broken Arrow, USA, 1996). Scénario : Graham Yost. Image : Peter Levy. Musique : Hans Zimmer. 105 mn. VF. Avec John Travolta : Victor Deakins. Christian Slater : Riley Hale. Samantha Mathis : Terry Carmichael. Le genre : action stylisée. Victor et Riley, deux pilotes d'essai sans peur et sans reproche de l'armée américaine, sont chargés d'une mission ultra-secrète : le pilotage d'un bombardier furtif équipé de deux missiles nucléaires. Alors qu'ils survolent le désert, Victor menace Riley et l'éjecte de l'avion. Le traître veut récupérer les armes pour les vendre au plus offrant... Avec ce film, son deuxième en Amérique, John Woo prouvait qu'il s'était parfaitement adapté au système hollywoodien. Il offrait là une sorte d'épure du film d'action. Dans un décor légendaire de western qu'il réactive à son goût, il déploie une course-poursuite sophistiquée où tous les moyens de locomotion (train, voiture, avion...) sont bons pour faire exploser les limites du genre. Du ciel au sous-sol, l'aire de jeu est vaste, les épreuves variées. Woo multiplie les morceaux de bravoure, stylise l'action, chorégraphie les duels. Assez décoiffant. Jacques Morice Plus d'infos Année : 1996 Titre original : Broken Arrow Durée cinéma : 104 Censure csa : (-12) Accord parental indispensable. Clechaine : 4 1er primetime : OUI Genre : Film d'aventures Stéréo : OUI Nationalité : américain  |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 10 Juin 2006 13h09 |
| ARTE poursuit son cycle du cinéma thailandais avec ces 3 films assez déjantés chacun dans son genre. A voir ! *** Lundi 12 juin 2006 à 20.40 Satreelex, the iron ladies Cycle cinéma thaïlandais L'équipe des Satreelex, composée de gays et de transsexuels, part à la conquête d'un premier titre lors du championnat national de volley-ball... Une comédie thaïe très loufoque. Satreelex, the iron ladies Lundi, 12 juin 2006 à 20:40 (Thailande, 2001, 100mn) Réalisateur: Yongyooth Thongkonthun Auteur: Visuttchai Boonyakarnjawa, Jira Maligool, Youngyooth Thongkonthun Image: Jira Maligool Musique: Amornpong Methakunawut Montage: Sunij Asavinikul Production: Tai Entertainment Avec: Jesdaporn Pholdee, Sahaphap Tor , Ekachai Buranapanit , Giorgio Maiocchi , Chaicharn Nimpulsawasdi , Kokkorn Benjathikoon , Shiriohana Hongsopon , Phomsit Sitthijamroenkhun , Sutthipong Sitthijamroenkhun , Anucha Chatkaew Môn et Tjoung sont homos. Ils cherchent du travail lorsque Tjoung aperçoit un avis de concours pour faire partie de l'équipe masculine de volley-ball de Lamping. Mais quand les deux amis sont sélectionnés, les autres joueurs se rebellent contre la présence de "tantes" et de "folles", et démissionnent. L'entraîneur, M lle Bi, propose aux deux compères de constituer une nouvelle équipe en vue du championnat national... La belle équipe Comme beaucoup de réalisateurs thaïs, Yongyooth Thongkonthun a fait ses premières armes dans le monde de la publicité. Il en est sorti avec les habitudes inhérentes à la profession : rendre l'intrigue si limpide que le happy end transparaît dès le premier clap et remplir toutes les images de paillettes et de sourires. Tout cela pourrait suffire à couler n'importe quel navire... Mais pour ce premier film, le réalisateur fait montre d'une phénoménale énergie à ne tenir qu'une corde, celle de la comédie et du pas sérieux et à la laminer entièrement, tant et si bien qu'en guise de point final, l'émotion gagne. Si le recrutement des joueurs de l'équipe de volley-ball évoque un scénario déjà mis en place dans The blues brothers (et vu mille fois depuis), le casting réussit, avec Nong le soldat surnommé "foufoune blindée", Piya le travesti à l'ambiguïté sexuelle bien réelle, et Wit le jeune futur marié, à rassembler des personnages pittoresques et attachants. L'équipe est appelée Satreelex par l'entraîneur - littéralement "les dames de fer" - parce que ses joueurs sont "toutes dures mais tendres et toutes tendres mais dures". Un programme à pétrir sous toutes ses formes. Inspirée d'une histoire vraie, cette comédie a tenu la tête du box-office en Thaïlande et en Asie face à d'autres équipes de choc, notamment celle de Mission : impossible II constituée par John Woo et celle des X-men.  * Mercredi 14 juin 2006 à 22.45 Les Larmes du tigre Noir Cycle cinéma thaïlandais Profusion de couleurs et de scènes kitsch, esthétique féerique... Les larmes du tigre noir puise dans la tradition du cinéma populaire thaï et nous entraîne dans un univers au confluent des genres. Les larmes du tigre noir Mercredi, 14 juin 2006 à 22:50 (Thailande, 2000, 97mn) ZDF Réalisateur: Wisit Sasanatieng Auteur: Wisit Sasanatieng, Wisit Sasanatieng Image: Nattawut Kittikhun Musique: Amornbhong Methakunavudh Montage: Dusanee Puinongpho Production: Five Star Production Co. Ltd, Film Bangkok, Aichi Arts Center Producteur: Nonzee Nimibutr Avec: Chartchai Ngamsan, Suwinit Panjamawat, Stella Malucchi, Supakorn Kitsuwon , Arawat Ruangvuth , Sombat Metanee , Pairoj Jaisingha , Naiyana Sheewanun , Kanchit Kwanpracha , Chamloen Sridang Il pleut une pluie de cinéma. Une femme vêtue d'une robe rouge marche sur une plate-forme et se dirige vers un petit pavillon de bois. À l'abri, elle tente de saisir un mouchoir caché derrière sa ceinture et laisse s'échapper une photo en noir et blanc sur laquelle on distingue un homme à terre. Un éclair éclabousse la scène d'une violente lumière. L'homme de la photographie, attendu, ne viendra pas... Nous voici en Thaïlande, au siècle dernier. Depuis leur enfance, Rumpoey, une fille de bonne famille, et Dum, un campagnard timide, n'aspirent qu'à vivre une belle histoire d'amour, comme la femme riche et le bûcheron de la légende. Spécialité du chef Parmi les critiques nourries d'incompréhension à propos des Larmes du tigre noir, l'une destinée aux lecteurs de Première notait que "l'intrigue, exagérément niaise, ne sert qu'à enfiler des situations lourdement symboliques à peine dissimulées sous une couche de fausse candeur". Gageons qu'il est plus facile pour un Thaï d'appréhender le très kitsch Fabuleux destin d'Amélie Poulain que pour un Européen de s'abandonner à la légèreté de ce cocktail féerique où le sang et les larmes giclent dans chaque plan. Le premier film de Wisit Sasanatieng est un pastiche des mélodrames bollywoodiens, des westerns mexicains, des publicités asiatiques d'antan, du roman feuilleton... Toutes ces références et images, aussi hybrides soient-elles, sont tout à fait claires pour un oeil occidental. Ce qui fait le sel du film, c'est la naïveté générale et assumée de sa romance en carton pâte fourrée à l'ultraviolence. Comme dans le cinéma de John Woo, où coexistent dans un même plan une colombe et le visage du justicier, ce film aux sources du cinéma populaire thaï relie les antagonismes, le premier et le second degré, le mauvais goût et le savoir-faire, la lourdeur et la mélancolie.  * Lundi 19 juin 2006 à 00.20 Blissfully yours Cycle cinéma thaïlandais Salué par la critique à Cannes, réputé pour son massage X, Blissfully yours est un film étrange, électrique et contemplatif, réalisé par le jeune prodige indépendant du cinéma thaï Apichatpong Weerasethakul. Blissfully yours Lundi, 19 juin 2006 à 00:15 (Thailande, 2002, 124mn) - ARTE F Réalisateur: Apichatpong Weerasethakul Auteur: Apichatpong Weerasethakul Image: Sayombhu Mukdeeprom Montage: Lee Chatametikool Production: Anna Sanders Films, Kick the Machine, La-ong Dao Producteur: Eric Chan, Charles de Meaux Son: Lee Chatametikool, Teekadet Vucharadhanin Avec: Kanokporn Tongaram , Min Oo , Jenjira Jansuda Min, un immigré clandestin birman, a des plaques sur la peau. Dans un dispensaire de Bangkok, il est examiné par une femme médecin. Sa petite amie Roong et une femme plus âgée, Orn, répondent pour lui aux questions de la doctoresse. La consultation terminée, Orn demande à cette dernière un certificat d'aptitude au travail pour Min. Mais elle refuse de le lui délivrer... Massage thaï Pour ceux qui l'ont vu à Cannes en mai 2002, où il était présenté dans la section "Un certain regard", Blissfully yours a été une expérience inoubliable, renversante. Les critiques n'ont pas manqué de souligner l'arrivée tardive du générique de début et de pointer l'érotisme débordant de la deuxième partie, notamment la scène de masturbation de Min. Cette séquence est devenue en quelque sorte "ce dont tout le monde parle" à propos de Blissfully yours. À travers son dispositif (le désir filmé de bout en bout, jusqu'à l'extase, jusqu'au bliss - le bonheur suprême), Apichatpong Weerasethakul, réalisateur et vidéaste, capte un bloc de durée vraie : la quintessence du cinéma. Mais il serait dommage de réduire le film à cette scène. Car pendant tout le film, la caméra et le montage se font oublier et le réalisateur fait vibrer le temps qui passe. Chaque scène nous éclaire sur l'intimité des personnages, qu'il s'agisse de la visite chez le médecin, de l'énigmatique fabrication d'une crème pour la peau, du passage à l'usine de Roong, etc. Épure sur le plan narratif (même si on devine des histoires sous-jacentes), Blissfully yours enchaîne ce qui ressemble à de longs plans séquences, fluides et légers, et contemple les liens qui se créent "naturellement" entre les acteurs. Oscillant entre le documentaire et la fiction, entre l'installation vidéo et le dépliant touristique, ce film étrange invite le spectateur à pénétrer au plus profond d'une forêt colorée (au sens littéral et symbolique) et à faire l'expérience de l'aube/du crépuscule heureux/malheureux du désir.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 13 Juin 2006 15h50 |
| ARTE mardi, 13 juin 2006 à 20:40 Rediffusions : 14.06.2006 à 14:40 La plus grande ville du monde (France, 2006, 40mn) ARTE F Réalisateur: Sophie Lepault Producteur: Doc En Stock Reportage à Chongqing, capitale économique de l'Ouest chinois, une ville-champignon de 30 millions d'habitants qui absorbe chaque année 200 000 nouveaux arrivants. Sophie Lepault est partie à la rencontre de ceux qui participent au formidable essor de Chongqing. Pour M. Wu, vice-maire de la ville, le premier défi est de réussir à développer tous les secteurs en même temps : l'immobilier, mais aussi l'éducation, la recherche, la culture, la santé, la lutte contre la pollution et les inégalités... Les grands projets se multiplient dans toute l'agglomération. C'est un Français, Martin Robain, qui a été choisi pour construire la Cité des sciences. L'architecte assiste avec émotion à la pose de la première pierre, mais constate que les vestiges qu'il souhaitait conserver ont presque tous été rasés... Le documentaire montre combien le secteur privé a supplanté le secteur public, ce qui n'empêche pas de prendre au sérieux l'éducation et la recherche. Le MBA-commerce de l'université de Chongqing, classé parmi les meilleurs troisièmes cycles chinois, est ainsi de plus en plus coté. Surprise à l'université : on croise le ministre américain du Commerce, Carlos Gutierrez, venu proposer aux étudiants un cursus croisé entre les deux pays. Les premiers succès sont déjà là, dont le reportage donne quelques aperçus étonnants : le roi de la moto et de l'automobile chinoise, Yin Mingshan, vient de lancer la minivoiture la moins polluante de Chine ; le professeur Wang est pionnier dans le traitement du cancer par ultrasons ; les ingénieurs de Xinwei préparent une nouvelle norme d'Internet sans fil haut débit. Et l'on constate qu'au-delà de Pékin et de Shanghai, c'est toute la Chine qui bouge.  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 13 Juin 2006 21h41 |
| Ce dernier reportage était vraiment impressionnant. Tout le monde connaissait le boom économique de Shanghai, mais perso, j'ignorais complètement la plus grande mégalopole du monde. Y'avait une phrase qui résumait bien l'ambiance : "On ne veut plus qu'il y ait "made in China", mais "made by China" ". Merci Panda de m'avoir averti de la diffusion de ce doc. PS : on devrait transformer le Panda d'utilité publique, du moins ds ce forum.... |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 13 Juin 2006 22h37 | ||
Merci JL, mais je suis déjà une espèce protégée * J'ai visité Chongqing il y a 10 ans. C'était une ville étrange : assez laide et en même temps, c'était son charme. Une ville nivelée, située au bord du Fleuve Bleu. Cité industrielle et industrieuse, elle était en pleine mutation : plein d'anciens quartiers en démolition. Et le téléphérique d'un autre âge... Le jour de notre arrivée, il n'y avait personne dans la rue : comme dans un film de science-fiction. Il était midi, un jour d'été. On est entré dans un magasin et on a demandé au patron pourquoi il n'y a personne dehors. Il nous répondu qu'on était des tarés : il faisait ce jour-là plus de 40 degrés, le soleil cramait tout. Et chacun de nous, après 3 jours de train depuis Pékin, avait 50 kilos de bagages sur le dos. Trempés de sueur, on avait aussi l'air de douches ambulantes... |
| Ecrit par: lanjingling Mardi 13 Juin 2006 23h49 | ||
le charme de la laideur...dans le genre , je suis assez sensible aux nouveaux territoires de HK , & a shenzhen.  j'avais vu une expo de yang yong , un photographe du sichuan qui vit maintenant a shenzhen & y prend ses photos, & dont le style visuel est assez proche de celui de christopher doyle |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 04 Juillet 2006 14h49 |
| En chantant derrière les paravents France 2 Jeudi 6 juillet 2006 de 0h55 à 2h30 (95') Conte Réalisateur : Ermanno Olmi Acteur : Jun Ichikawa (la veuve Ching), Bud Spencer (le vieux capitaine), Sally Ming Zeo Ni (la confidente), Camillo Grassi (Nostromo), Makoto Kobayashi (l'amiral Ching), Wen Li Guang (le dignitaire impérial), Chen Ruohao (l'émisaire impérial), Davide Dragonetti (le client ignare) Scénario : Ermanno Olmi Musique : Han Yong Décors : Luigi Marchione Image : Fabio Olmi Titre original : Cantando dietro i paraventi Année : 2003 Pays : Italie - France - Grande-Bretagne Film d'Ermanno Olmi (Cantando dietro i paraventi, Italie, 2003). Scénario : E. Olmi. 95 mn. VF. Avec Bud Spencer : le vieux capitaine. Jun Ichikawa : la veuve Ching. Makoto Kobayashi : Ching. Le genre : vérités et mensonges. On est dans un théâtre, « seul lieu capable, dit le narrateur, de saisir le comportement des hommes et la valeur des choses ». Au parterre, une maison de plaisirs où échoue, par hasard, un jeune et timide étudiant en cosmologie. Sur scène, un galion. Il servira de décor multiple au conte raconté par un marin à la réjouissante barbe bifide. L'histoire de la veuve Ching, célèbre héroïne de la Chine du XIXe siècle, devenue corsaire pour venger la mort de son bel amant. C'est du va-et-vient constant entre le carton-pâte et le réalisme (les fleuves chinois sont reconstitués sur un lac du Monténégro) que naît la fascination. On songe à Jean Renoir, à son « petit théâtre » où l'illusion devenait source de vérité. Moment superbe : la voile d'un navire se lève comme un rideau de théâtre. Sur une musique de Stravinsky, des dizaines de cerfs-volants multicolores s'envolent du vaisseau impérial pour se poser sur celui de la femme pirate. Chacun porte les bribes d'un message... Le film est un hymne à la sagesse des prétendus lâches qui ont le courage de préférer la reddition à la mort. Utopiste sans illusions, Erman-no Olmi espère, sans y croire, la venue d'un temps où « les hommes vendront leurs épées pour labourer la terre, où les voix des femmes égaieront les jours en chantant derrière les paravents ». Pierre Murat  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 04 Juillet 2006 14h53 |
| France 3 Vendredi 7 juillet 2006 de 20h55 à 23h00 (125') Showview : 9671945 Thalassa 1T Sous-titre : Couleurs de mer : mer Jaune (2/4) Magazine de la mer Présentateur vedette : Georges Pernoud 1er primetime : OUI Télérama du Samedi 1 juillet 2006 : Proposé et présenté par Georges Pernoud. 125 mn. Rediffusion. Voyage en mer Jaune, à la confluence de trois Etats : la Chine, la Corée du Nord et la Corée du Sud, les relations entre ces trois pays constituant la trame de ce numéro. Parmi les sept sujets, l'histoire de Soon Young Bum sort du lot (Corée : les évadés de la mer Jaune, d'Antoine Mora et Patrick Boileau) : après avoir acheté un vieux rafiot, ce pêcheur nord-coréen a pris, en 2002, la décision de fuir avec vingt membres de sa famille (précaution vitale car le régime de Pyongyang envoie l'entourage des déserteurs dans des camps de travail ou, pire, les exécute directement...). Son odyssée, exceptionnelle, a fait la une des journaux. Aujourd'hui, affolé par la débauche de nourriture, les embouteillages et le luxe qui règnent en Corée du Sud, l'homme reconstruit une nouvelle vie avec sa femme et leurs deux enfants. Toujours lié à la situation désastreuse de la Corée du Nord, Dandong, triste voisine (Stephan Poulle et Olivier Bonnet) : sur les rives chinoises de la petite ville de Dandong, les touristes et surtout les jeunes mariés affluent pour observer à la jumelle... la ville nord-coréenne grise et morne située sur l'autre rive. Voyeurisme, curiosité malsaine, satisfaction d'échapper à cet enfer... un reportage déroutant. Les autres sujets, consacrés à la culture des algues brunes, au retrait de la mer trois jours par an dans la baie de Jindo, à la fabrication industrielle de paquebots, complètent ce panorama de la mer Jaune. Emmanuelle Skyvington |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 07 Juillet 2006 17h31 |
| Danny The Dog ce soir à Canal + |
| Ecrit par: dao Vendredi 14 Juillet 2006 18h41 | ||
Quelqu'un a-t-il eu la bonne idée de l'enregistrer ? |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 29 Août 2006 21h25 |
| Vendredi soir à Canal + : Breaking News Fin septembre : le dernier Ching Siu Tung avec notre bon gros Steven Seagal. |
| Ecrit par: Le singe Mercredi 30 Août 2006 10h36 | ||
Ah ouais, le fameux "chef d'oeuvre de Johnnie To" (dixit je ne sais plus quelle jaquette de DVD français)... Et puis l'autre, là : le grand mou zen à queue d'cheval...  Sympa dans ses débuts mais de plus en plus navrant dans ses frasques de star mystique. Enfin, comme quoi c'est vraiment pot'nawak la TV. heureusement qu'on a nos chers DVD...  +  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Septembre 2006 16h09 |
| ARTE MAO, UNE HISTOIRE Mardi, 5 septembre 2006 à 20:40 "Mao, une histoire" (1 & 2) (124mn) & Mercredi, 6 septembre 2006 à 20:40 "Mao, une histoire chinoise" (3 & 4) (126mn) Présentateur: Hervé Claude 1ère et 2e parties : Il y a trente ans disparaissait Mao. De la Longue Marche au culte posthume, Philip Short et Adrian Maben brossent le portrait de l'homme qui arracha la Chine à sa torpeur moyenâgeuse, mais qui fut aussi l'un des plus grands despotes du XXe siècle. Un documentaire-événement en quatre volets, foisonnant d'archives et de témoignages totalement inédits. 3e et 4e parties : Pourquoi, malgré sa politique répressive, le Grand Timonier suscite-t-il encore le respect des jeunes générations ? Les deux derniers volets d'une fresque documentaire autour de la figure de Mao, réalisée à partir d'images d'archives et de témoignages. Mythe vivant Comment aborder un destin hors du commun, raconter en images qui fut ce personnage dont le portrait éternellement jeune continue de contempler avec sérénité les passants de la place Tienanmen, au-dessus du mausolée où repose sa dépouille ? L'auteur Philip Short et le réalisateur Adrian Maben ont choisi d'exhumer des archives filmées inédites, puisées, entre autres sources, dans les collections du Chinese National Film Archives et dans des fonds privés. Ils sont allés chercher des clichés rares de la jeunesse de Mao, des extraits de fictions, tirés notamment d'une émission diffusée par la télévision chinoise en 1993 pour le centenaire de sa naissance. Dans ce montage d'archives apparaissent aussi les autres personnages clés des années Mao : l'aristocrate Zhou Enlai, fidèle second, le pragmatique Deng Xiaoping, trois fois "purgé", Liu Shaoqi, chef de l'État mort faute de soins dans une cellule sordide pendant la Révolution culturelle. Ce retour en images vers le passé n'aurait pas, à lui seul, permis de découvrir l'homme derrière le dirigeant. C'est pourquoi Adrian Maben a décidé de replacer Mao dans son décor, en filmant aujourd'hui les lieux qu'il a traversés : son village natal, bien sûr, mais également les différents QG où il a résidé pendant les vingt années de guerre civile. Mais la personnalité du Grand Timonier se dévoile surtout dans la parole recueillie auprès de témoins directs ou indirects de l'épopée maoïste. La plupart d'entre eux n'ont jamais été interviewés auparavant. Ce sont ceux et celles qui ont accompagné Mao en politique, comme ses anciens généraux de l'Armée rouge, mais aussi ses intimes, depuis son valet de chambre Zhou Fuming jusqu'à son secrétaire attitré Li Rui en passant par son étonnant "ami américain", Sydney Rittenberg. Surgissent également des anonymes, comme Wen Jinghua et Huang Jiadong, simples paysans, compagnons de lutte de Mao pendant la Longue Marche, qui ne semblent rien regretter des souffrances qu'ils ont endurées pour faire triompher la révolution. Les interventions de l'historien Philip Short, cadré "en direct", viennent ponctuer ce matériau dense. Une passionnante tentative de travailler en images un mythe vivant, de le déconstruire pour le rendre à la postérité. * Dossier spécial sur le site d'ARTE : http://www.arte.tv/fr/histoire-societe/Mao-une-histoire-chinoise/1247306.html   |
| Ecrit par: David-Olivier Vendredi 01 Septembre 2006 16h10 | ||
A noter qu'il sort courant septembre en dvd chez Arte Video (23,99 euros). |
| Ecrit par: Le singe Mardi 05 Septembre 2006 22h17 |
Je sors tout juste de la vision des deux premières parties et je n'ai qu'une impatience : vivement demain soir pour la suite !  Excellent documentaire même si on peut toujours regréter que certains points d'approfondissement puisent manquer sur quelques "détails". En même temps, je me dis qu'il aurait alors fallut au moins 4 ou 5 fois plus d'épisodes pour raconter les choses avec plus de précisions et cela aurait conduit en dehors de la ligne directrice déjà fort large (il n'y s'agit pas seulement de Mao lui-même mais bien de l'histoire de la Chine moderne autour et sous Mao) proposée par cette intense saga magnifiquement illustrée et commentée. Pour approfondir, reste plus qu'à se procurer le bouquin de Philip Short et pourquoi pas aussi "Mao, l'histoire inconnue" de Jung Chang et John Halliday qui semble le compléter... En passant, un p'tit lien vers un article de China Radio Online sur le bouquin de Philip Short : http://fr.chinabroadcast.cn/1/2004/04/19/48@25425.htm (je ne crois pas l'avoir vu le site Arte) présentant notamment la publication de l'ouvrage en Chine. |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 05 Septembre 2006 22h39 |
| Pour les connaisseurs, ils auront reconnu la BO de Swordsman 3 au début du reportage.... PS : au même moment, y'avait La Moustache avec Vincent Lindon sur Canal +, et il se retrouve à HK à la fin du film ! |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 17 Septembre 2006 11h01 |
| Ce matin, vu sur France 5 : TRESORS DE L'HUMANITE LES SPLENDEURS D'ASIE (1/2) Série documentaire en 12 épisodes écrite par Dan Diehl et Mark Donnelly, réalisée par Mark Verkerk et Jan Pieter Stafleu, et coproduite par EMS Productions/Travel Channel/SWR en association avec ZDF, DW et l'UNESCO. Durée : 48'. 1998. Les splendeurs d'Asie (1). Continent aux mille visages, l'Asie est attachée à ses traditions ancestrales et abrite des secrets qui remontent à la nuit des temps. Ce documentaire permet ainsi d'aller à la rencontre de splendeurs asiatiques telles que Pékin et sa Cité Interdite, la Grande Muraille de Chine, ' l'homme de Pékin ', vieux de 400 000 ans, Séoul, capitale de la Corée du Sud... C'est rediffusé je pense. |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 17 Septembre 2006 16h55 |
| France 3, vendredi 22 septembre 20h55, THALASSA, escale à Taiwan Au sommaire: «Carnet de bord à Taïwan». Gros plan sur l'ancienne île de Formose, devenue Taïwan: une petite Chine. - «Chine: le retour à la mer». La Chine est en passe de devenir le premier constructeur naval au monde. - «Japon: l'île de la jeunesse éternelle». Sur Okikamuro, petite île au sud du Japon, tous les habitants sont vieux. La moyenne d'âge est de soixante-quatorze ans. - «Le requin-baleine à Taïwan». Taïwan est le premier producteur et consommateur de viande de requin de la planète et aussi un des seuls endroits au monde où l'on mange le requin-baleine. - «Les poissons-pierres». Dazuo est un petit port différent du reste de la Chine. Ses habitants conservent des coutumes et des traditions fort étranges, notamment une division très stricte du travail.   |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 08h53 |
| ARTE jeudi 21 septembre 2006 à 20:40 Dersou Ouzala Synopsis : 1902. Vladimir Arseniev, un militaire topographe, explore la région d'Ossouri dans la Taïga, en compagnie d’une troupe de soldats. Il y rencontre Dersou Ouzala, un petit homme connaissant la région par coeur, qui devient son guide et le conduit vers des espaces inconnus de lui, à la rencontre des tribus qui s’y sont établies. Le topographe, citadin mais ouvert d’esprit, commence à s’aguerrir. Grâce à Dersou Ouzala, Arseniev apprend à vaincre les obstacles qui se dressent devant lui et une amitié profonde naît entre les deux hommes. Dersou Ouzala D’Akira Kurosawa (Russie, 1974, 2h20) avec M. Bytchkov, Youri Solomine, Maxim Mounzouk jeudi 21 septembre 2006 à 20:40  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 08h57 |
| FRANCE 3 L'EMPIRE DES SENS - Erotique Date : Jeudi 21/09/2006 Horaire : 23H35 Durée : 99 mn Origine : Jap - Fra. (1975)Stéréo. Scénario : Nagisa Oshima. Musique : Minoru Mikki. Réalisation : Nagisa Oshima. Distribution : Eiko Matsuda (Sada Abe), Tatsuya Fuji (Kichizo), Aoi Nakajima (Toku), Taiji Tonoyama (le vieux mendiant). Tokyo, 1936. Kichizo, propriétaire d'une maison close, est intrigué par l'une de ses jeunes servantes, Sada Abe. Il éprouve pour elle un désir qu'il n'a jamais connu jusque-là. L'assentiment de Sada lui permet de satisfaire ses pulsions inextinguibles. Mais, très vite, sa concupiscence a besoin de stimulants autres que ses étreintes avec la jeune femme. Il viole une autre de ses servantes, puis une vieille geisha. Sada, de son côté, s'offre à un vieux mendiant et partage le lit d'un notable masochiste. Kichizo subit sa domination. Leur passion semble n'avoir qu'une seule issue: la mort de l'un des deux.   |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 09h03 |
| ARTE mercredi, 27 septembre 2006 à 22:40 La saison des goyaves (Vietnam, France, 2002, 97mn) ARTE F Réalisateur: Nhat Minh Dang Auteur: Nhat Minh Dang Image: Duc Tung Vu Musique: Huu Phuc Dang Montage: Viet Nga Nguyen, Anh Hoa Tran Production: Les Films D'Ici, Ministry of Culture & Tourism, Studio de la Jeunesse, Vietnam Cinema Office, Youth Studio Producteur: Nhat Minh Dang, Thuy Vinh Nguyen Avec: Lan Huong Nguyen , Thu Thuy Pham , Thi Huong Thao Le , Bai Binh Bui , Khac Lam Pham, Do Hua Le Vietnamien Nhat Minh Dang tend un miroir à son pays, gagné par la fièvre de la modernité, à travers le personnage d'un innocent amoureux de la beauté. Une déambulation pleine de poésie dans le Hanoï d'aujourd'hui. À Hanoï, Hoa, la cinquantaine, gagne sa vie en posant comme modèle dans une école d'art. Autour de lui, la capitale vietnamienne, livrée au nouveau "capitalisme d'État", bouillonne de vie. Hoa, lui, reste figé dans une enfance naïve : à 13 ans, dans le jardin familial, il est tombé d'un goyavier et ne s'en est pas remis. Puis sa famille a été chassée de la maison, attribuée à un cadre du parti communiste désormais enrichi. Amoureux du bel arbre et de ses fruits, Hoa continue de hanter les lieux. La jeune et jolie fille de l'apparatchik, qui commence par le dénoncer à la police, se laisse vite émouvoir par sa gentillesse. À l'école, Hoa rencontre Hue, une ravissante modèle tenaillée par la pauvreté... L'idiot Autour de Hoa, innocent au coeur pur, le Viêt-nam tourbillonne de toute sa brutale modernité. Cet idiot lumineux est le miroir que tend avec une certaine amertume Nhat Minh Dang à son pays et à son époque. "Nous vivons dans un monde qui exige de nous expertise et pragmatisme. Nous y avons appris à nous méfier de notre propre naïveté, à dompter notre sincérité. Et nous avons perdu la sagesse de l'enfance", écrit le cinéaste, dont le précédent film, Nostalgie de la campagne, a été très bien accueilli. Il poursuit en citant l'Évangile selon saint Matthieu, dans lequel Jésus-Christ interdit le royaume de Dieu à qui ne sait pas le recevoir "comme un petit enfant" : "Aujourd'hui, je suis persuadé que nous n'entrerons jamais au royaume de Dieu. C'est notre tragédie." Une tragédie sur laquelle il pose le même regard discret que son héros, si facilement ébloui par la beauté des gens et des choses. Magnifiées par une somptueuse lumière naturelle, ses images nous convient à une déambulation pleine de poésie dans le Hanoï d'aujourd'hui.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 09h09 |
| FRANCE 3 Jeudi 28 septembre 2006, 20h55 Stupeur et tremblements Réalisation Alain Corneau Acteurs Sylvie Testud Kaori Tsuji Bison Katayama Yasunari Kondo Sokyu Fujita ... Scénario Alain Corneau D'après l'oeuvre de Amélie Nothomb  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 09h11 |
| ARTE URGA jeudi, 28 septembre 2006 à 20:40 Rediffusions : 03.10.2006 à 14:55 Urga (France, 1991, 114mn) ARTE F Réalisateur: Nikita Mikhalkov Auteur: Rustam Ibragimbekov, Nikita Mikhalkov Image: Vilen Kalyuta Musique: Eduard Artemyev Montage: Joëlle Hache Production: Aria, CNC, Caméra One, Hachette Première, UGC Images Producteur: Michel Seydoux Avec: Wladimir Gostyukhin, Badema, Babushka, Bayaertu , Larissa Kuznetsova , Jon Bochinski , Wladimir Gostyukhin , Yongyan Bao , Biao Wang , Wurinile, Baoyinhexige , Nikolai Voshchilin, Jinsheng Bao L'urga, c'est le bâton avec lequel les nomades mongols attrapent les chevaux et que les amoureux plantent devant leur yourte pour ne pas être dérangés... C'est aussi un film, beau à couper le souffle, sur la vie d'une famille dans la steppe. Dans l'immense steppe mongole, un cavalier poursuit son épouse dans un rituel de séduction. Gombo, jeune éleveur, habite avec sa famille dans une yourte en pleine steppe. Sa vie, que seul un oncle fantasque vient troubler, s'écoule en parfaite harmonie avec la nature. Il ne va à la ville que pour chercher des préservatifs, car le couple a déjà atteint son quota d'enfants ! Un jour, un chauffeur de camion russe, Sergueï, tombe en panne non loin de la yourte. Gombo lui offre un abri. Entre les deux hommes s'installe une singulière amitié... Fantaisie des steppes La steppe vallonnée à perte de vue, les chevauchées spectaculaires, la course des nuages, la tendresse des visages d'enfants : Urga est une ode à la vie singulière des nomades mongols, bercée par une complainte traditionnelle russe tourbillonnant sous les néons d'un dancing chinois. Avec beaucoup d'humour et de chaleur, Nikita Mikhalkov dépeint la vie quotidienne d'une famille aimante et le choc de la rencontre avec le chauffeur russe, personnage truculent confronté à une réalité dont il ignore tout. Loin de tout paternalisme et de toute complaisance (les difficultés des Mongols ne sont pas occultées), Mikhalkov signe un film plein de fantaisie dans des paysages fabuleux.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 09h15 |
| ARTE Siddhartha vendredi, 29 septembre 2006 à 23:10 Rediffusions : 02.10.2006 à 01:25 Siddhartha (Etats-Unis, 1972, 82mn) HR Réalisateur: Conrad Rooks Avec: Shashi Kapoor, Simi Garewal, Romesh Sharma Un jeune noble errant croise le Bouddha, se perd auprès d'une courtisane puis comprend le sens de la vie. Une adaptation fidèle du livre de Hermann Hesse qui témoigne de la fascination de l'Occident pour l'Inde. Siddhartha, beau jeune homme de famille noble, se montre rétif aux enseignements et aux rites transmis par les brahmanes de sa caste. Avec son ami Govinda, il entre dans une école d'ascèse où il pratique le jeûne et la méditation. Ayant atteint l'âge d'homme, Siddhartha, mû par le besoin de comprendre le sens de l'existence, ressent toujours un trouble intérieur. Les deux amis reprennent leur route et rencontrent Bouddha et ses moines. Govinda se joint à eux mais Siddhartha continue son voyage. Il tombe dans les bras de la courtisane Kamala et se met à travailler auprès d'un marchand afin de satisfaire les exigences de sa maîtresse... Kapoor & Co Conrad Rooks, dont ce fut le deuxième et dernier film, a rencontré de nombreuses difficultés pour réaliser Siddhartha. Le gouvernement indien, blessé dans son nationalisme ombrageux par Calcutta, le documentaire tourné par Louis Malle en 1969, refusait alors d'accorder des visas aux réalisateurs occidentaux. Rooks parvint finalement à convaincre le Premier ministre Indira Gandhi de son amour pour la culture indienne. C'est ainsi qu'il put tourner dans des décors authentiques et, surtout, avec d'excellents comédiens indiens dont Shashi Kapoor, alors une star à peine moins connue que son frère Raj.   |
| Ecrit par: tao pai pai Jeudi 21 Septembre 2006 10h34 |
| Heureusement qu'Arte et Fr3 sont là pour nous passer quelques docus et films sur l'Asie |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 21 Septembre 2006 21h28 | ||
C'est sympa de la part de France 3 de nous présenter ce film, mais ça aurait été plus sympa si les censeurs n'avaient pas raccourci le film ! La durée initiale du film est de 105 minutes. Celle de F3 est de 99-100 min. Vous me direz qu'il n'y a que 5 ou 6 minutes de différence. Mais hélas, sans ces minutes (sans doute concernant les scènes les plus hard du film), ce n'est plus le même film pour moi ! Franchement, couper un petit bout à ce film, c'est nul...  |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 22 Septembre 2006 17h29 |
| Ching Siu Tung sur Canal + ce vendredi soir !!!!!!!!!!!!!! Bon, c'est avec notre bien aimé Steven Seagal, mais ça peut qd même être bien ce Belly of the Beast (Un aller pour l'enfer) |
| Ecrit par: hellrick Mardi 26 Septembre 2006 15h21 |
| Oui c'est pas mal comme "petit actionner sympa", faut pas s'attendre à un grand film mais on ne s'y ennuie pas et c'est assez rythmé pour que le spectateur passe un bon moment très "série B". Parfois on n'en demande pas plus... |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 26 Septembre 2006 16h56 | ||
On y remarque même des scènes chingsiutungesques à la fin du métrage qui fait presque penser à Chinese Ghost Story quand les forces du bien combattent les forces du mal incarnées par un shaman tout droit sorti d'un film à la Mr Vampire ! Je me suis pas ennuyé non plus, et tout comme toi, je n'en demande pas plus de ce genre de produit qui peut bien vite sombrer dans la série Z fauchée et mal foutue. PS : on comprend aussi pourkoi c'est Ching Siu Tung qui a chorégraphié pas mal de polars wooiens... |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 28 Septembre 2006 23h25 |
| ARTE samedi, 30 septembre 2006 à 00:15 Naissance et maternité (Japon, 2005, 60mn) Réalisateur: Naomi Kawase Devenue mère, Naomi Kawase regarde vivre son fils nouveau-né et sa grand-mère nonagénaire. Un nouveau et délicat chapitre des "carnets intimes" de la réalisatrice, qui interroge le monde à travers son propre destin. Le 24 avril 2004 naissait Mitsouki, le premier fils de Naomi Kawase, dans la maison de bois traditionnelle où vit et travaille la réalisatrice, à Nara, l'ancienne capitale impériale du Japon. L'accouchement s'est déroulé comme autrefois, sur un tatami, avec la seule assistance d'une sage-femme. Quand le cordon ombilical a été coupé, Naomi Kawase a pris la caméra et enregistré ce moment symbolique. Puis, au jour le jour, elle a filmé son premier-né et sa grand-mère, 90 ans, qui l'a élevée dans la maison de Nara. Les graines plantées dans le jardin pour honorer la naissance de Mitsouki ont fleuri. Chaque matin, dans les gestes rituels qui font son quotidien, la grand-mère remercie le soleil qui se lève derrière la montagne et salue l'immuable sagesse de la nature... Une tendre intimité, au plus près des corps et des émotions, se dégage des séquences liant l'enfant, la vieille femme et la jeune mère, qui poursuit sa réflexion sur le cycle des existences humaines. Naomi Kawase Née en 1969, diplômée de l'École de photographie d'Osaka, Naomi Kawase a d'abord tourné des courts métrages expérimentaux. Après plusieurs documentaires axés sur sa famille adoptive (ses grands-parents qui l'ont élevée) et sa propre quête d'identité, elle tourne un premier long métrage de fiction, Suzaku, drame familial sur fond de crise économique (Caméra d'or, Cannes 1997). Suivront Les lucioles (2000), Prix de la critique à Locarno, et Shara (2003), en compétition officielle à Cannes. Parallèlement, Naomi Kawase revient au documentaire avec Dans le silence du monde (2000), interrogation sur l'univers et l'existence à travers son propre destin. Parmi ses "carnets intimes" documentaires, ARTE a déjà coproduit et diffusé dans "La lucarne", en 2001, Dans ses bras (1992) et, en 2003, La danse des souvenirs (2002).  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 25 Octobre 2006 12h56 |
| Lundi 30 octobre sur M6 à 22h40 : Le gardien du manuscrit sacré avec notre bon vieux Chow Yun-fat en supermoine à l'épreuve des balles... |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 05 Novembre 2006 20h45 |
| Zhiyong, 16 ans, jeté du neuvième étage sur FRANCE 3 Vendredi 10 novembre - 23h25 Durée : 01h00 - 2005 Documentaire de Rémi Lainé Résumé Noël 2002. Zhiyong, jeune Chinois de 16 ans, débarque à l'aéroport de Roissy via une filière de passeurs clandestins. Mais il est enlevé et séquestré à Belleville par un autre réseau, qui tente de faire payer à nouveau ses parents. Ceux-ci n'en ayant pas les moyens, il est défenestré. La chute de neuf étages le laisse paralysé aux jambes, les médecins doutant fort qu'il puisse un jour remarcher. Le réalisateur a suivi Zhiyong durant trois ans, filmant sa rééducation à Marseille, encadré par l'«Association jeunes errants». Loin, bien loin de sa famille et de sa Chine natale... Avis Ce récit à la fois intime et pudique du parcours de Zhiyong bouleverse et interpelle, tant est manifeste, malgré son sourire, son immense solitude de jeune apatride.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 05 Novembre 2006 22h16 |
| Hier, au milieu du fleuve Bleu sur ARTE lundi, 6 novembre 2006 à 22:15 /105' Une réalisatrice allemande remonte le Yang-tseu-kiang dans le sillage de ses grands-parents, un siècle après eux. Une plongée dépaysante dans une Chine métamorphosée, filmée avec délicatesse. Le 26 octobre 1911, Fritz et Hedwig Weiss, qui se sont mariés en juin à Berlin, arrivent à Yichang, porte d'entrée des spectaculaires gorges du Yang-tseu-kiang. Cela fait un mois qu'ils remontent le "fleuve Bleu", car c'est à l'époque la seule voie pour se rendre au Sichuan, province du centre de la Chine. Ils vont à Chengdu, sa capitale, où Fritz a été nommé consul d'Allemagne. À Yichang, ils troquent leur paquebot contre une jonque qui, hissée par des centaines de haleurs, leur fait remonter les rapides. Après maintes péripéties, ils arrivent à Chongqing, terminus du voyage en bateau, puis à Chengdu en avril 1912, malgré les troubles liés à l'avènement de la république. En 1917, le rapprochement entre la Chine et les alliés oblige les Allemands à quitter le pays. Fritz et Hedwig Weiss ne retourneront jamais en Chine. À cent ans d'intervalle, leur petite-fille, Tamara Wyss, a posé ses pas dans les leurs. En 2002, quelques semaines avant la mise en service du barrage des Trois-Gorges, elle a emprunté leur itinéraire avec, en guise de viatique, leurs photos, leurs lettres et leurs enregistrements sonores (magnifiques chants des haleurs). Elle filme les gens à qui elle montre les photos, les lieux qu'elle met en parallèle avec les descriptions faites par ses grands-parents. Le paysage s'est modifié. Les villes sont méconnaissables. Le pays est balayé par un vent de modernisation. À Chengdu, l'ancienne cité impériale a été détruite pour construire des immeubles. Certaines villes seront bientôt recouvertes par les eaux du barrage - dont on visite au passage le pharaonique chantier. De la Chine de Fritz et Hedwig, il reste les entailles que les cordes des haleurs ont creusées dans les rochers de la rive ; l'escalier millénaire reliant Fengjie à son port ; les souvenirs d'une vieille Chinoise à qui sa mère bandait les pieds...Tamara Wyss pose sur tout cela un regard léger et curieux - manifestement hérité de sa grand-mère, exploratrice intrépide d'il y a un siècle. Son film est un dépaysement où alternent de beaux paysages (malgré tout), des villes aux antipodes des nôtres et des visages souriants. Un fascinant voyage.   |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 05 Novembre 2006 22h23 |
| Jeudi 9 nov 20h50 France 2 Envoyé spécial : Les milliardaires rouges Résumé Si elle reste un bastion du communisme, la Chine compte aujourd'hui 300 000 millionnaires. Parmi eux, Haoming Zang, à la tête d'une prospère entreprise de télécommunications. Ce collectionneur d'art, qui exhibe volontiers ses richesses, va bientôt emménager dans une somptueuse maison de 1 800 m²... Zhao Zang, fils d'un riche promoteur immobilier et membre de la jet-set pekinoise, s'enivre de plaisirs à l'occidentale... Baoquan Zhang, 39 ans, a fait fortune dans l'immobilier et s'est offert, à la campagne, une maison d'architecte de 5 000 m²... * "Les milliardaires rouges" L'an dernier la Chine comptait plus de 300 000 milliardaires, des nouveaux riches, partagés entre communisme et capitalisme... Réalisation : Frédéric DUPUIS durée : 27 minutes résumé Pendant trente ans, Mao, le grand timonier n’a toléré aucune richesse matérielle en Chine. Aujourd’hui, il pourrait se retourner dans sa tombe. L’année dernière, on comptait en Chine plus de 300 000 millionnaires. 12 % de plus que l’année précédente. Mais, dans ce qui reste un des derniers bastions du communisme, la propriété privée est une invention récente. Comment ces nouveaux riches gèrent-ils cette schizophrénie, être communiste et capitaliste à la fois ? Nous suivrons ces milliardaires au jour le jour car aujourd’hui en Chine quand on est riche, on le fait savoir. 4X4 allemand chromé, château à 2 millions de dollars dans des enclaves, pour gens fortunés, surprotégées. Comme leur fortune est arrivée subitement, la majorité ne sait réellement pas quoi faire de son argent. Après le rêve occidental : piscines intérieures, Golfs sur mesure dans le jardin de leur maison de campagne, personnel de maison et gardes du corps, ces milliardaires se posent des questions. Culpabilité ou souvenir récent d’un temps ou tout le monde gagnait 8 euros par jour ? Visite dans une résidence de 170 châteaux en pleine construction dans la banlieue de Pékin, presque les uns sur les autres. Nous suivrons également un milliardaire en vacances à Saint Paul de Vence. Ce qui l’intéresse : l’art contemporain. Il hésite entre un Chagall et un Picasso. De retour en Chine nous le retrouverons dans le chantier de sa nouvelle maison de 1800 m2. Une extension pour pouvoir faire rentrer toute sa collection d’œuvre d’Art. D’autres ont choisi de profiter au jour le jour. Zhao Zhang, fils d’un riche promoteur, fréquente les restaurants branchés et discothèques de la capitale chinoise. Entre deux verres avec des mannequins locaux, il essaie une voiture de sport italienne à plus de cent mille euros. Mais il se souvient, d’il n’y a pas si longtemps, lorsque avec sa famille il vivait dans 5 mètres Carrés, car leur point commun à tous : il y a un peu plus de dix ans, ils étaient tous pauvres. |
| Ecrit par: David-Olivier Lundi 20 Novembre 2006 20h44 |
| High Risk / Haute tension, terreur à Hong Kong de Wong Jing avec Jet Li et Jacky Cheung ce soir 20h45 sur RTL 9. Fiche : http://www.hkcinemagic.com/fr/movie.asp?id=131 |
| Ecrit par: Le singe Lundi 20 Novembre 2006 23h20 | ||
Yeah ! Vu ça en famille et malgré le recadrage odieux en 4/3 et un doublage juste correct (y'a bien pire), ce fut bien sympa de pourvoir faire découvrir cette petite perle de wongjing-erie à la jeune génération |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 22 Novembre 2006 21h05 |
| Week End spécial Chine sur ARTE : - La Nécropole de l'empereur (samedi 25 à 20h40) La province chinoise du Shaanxi est connue pour son impressionnante armée enterrée en terre cuite. Mais elle abrite de nombreux autres sites archéologiques, dont certains largement inexplorés. La nécropole de l'empereur Taizong a été récemment mise au jour. - Les filles aussi font du kung fu (samedi, 25 novembre 2006 à 21:35 ) Depuis sa plus tendre enfance, Guo Jia rêve de pratiquer le kung-fu. Aujourd'hui, elle fréquente la seule école de Chine qui forme les jeunes filles aux arts martiaux, l'école Yongtai, nichée dans une vallée entre les monts sacrés du Songshan. Il y a 1 500 ans, les nonnes guerrières de Yongtai s'initiaient déjà au kung-fu dans le premier monastère bouddhiste réservé aux femmes. Guo Jia débute sa journée à 5.30 par une mise en condition physique. Après le petit-déjeuner, elle fait des exercices d'assouplissement et de combats au sabre, à la lance ou à l'épée. Ensuite, elle suit les cours sco-laires. Guo Jia a un jour de repos hebdomadaire, le dimanche, et une semaine de vacances par an. Elle partage avec dix camarades une chambre sans eau chaude. Mais elle s'estime heureuse. Bientôt, Guo Jia et les soixante-dix filles de l'école Yongtai se mesureront aux élèves d'une autre école d'arts martiaux de la région (la ville voisine de Dengfeng, dite Kung-fu City, en compte quatre-vingts !). Privilège suprême, elles préparent la compétition sous la supervision d'un moine du célèbre monastère Shaolin... Dimanche 26 novembre 2006 soir : La Chine Impériale Entre 221 avant J.-C. et 1912, année où fut proclamée la première république de son histoire, la Chine a été gouvernée par différentes dynasties. "Thema" évoque trois grands moments qui ont marqué la Chine impériale : le règne de Qin Shihuang, le premier empereur, la construction du canal impérial et la guerre de l'opium au XIXème siècle. - La Guerre de l'opium (26 novembre 2006 à 20:40) Comment, au XIXe siècle, les Anglais entraînèrent la Chine dans une guerre qui lui fit perdre la face - et quelques possessions territoriales. Un film à grand spectacle réalisé pour célébrer la souveraineté retrouvée de la Chine sur Hong-Kong. 1838, sous la dynastie des Qing. L'Empire céleste, ou tout au moins la santé de ses sujets, est menacé par le commerce de l'opium qui profite avant tout aux étrangers, particulièrement aux Anglais. L'empereur Daoguang envoie son conseiller Lin Zexu à Canton avec ordre d'interdire la drogue et d'éliminer les fonctionnaires corrompus qui ont favorisé son commerce. La mission semble couronnée de succès : une grande cérémonie rituelle de purification a lieu à Canton, au cours de laquelle Lin Zexu jette dans la mer les cendres des caisses d'opium confisquées. Mais cette cérémonie marque le point de départ de la "première guerre de l'opium", déclenchée deux ans après l'accession au trône de la reine Victoria. Elle se termine par la défaite de l'empereur chinois, contraint de signer le traité de Nankin et d'abandonner l'île de Hong-Kong à l'Empire britannique. - Les mystères du premier empereur (dimanche, 26 novembre 2006 à 22:30) (Allemagne, 2006, 59mn) ZDF Réalisateur: Christian Twente Qin Shihuang, le premier empereur de Chine, fit réaliser une armée en terre cuite pour veiller sur son dernier sommeil. Portrait d'un despote rattrapé par la peur du châtiment populaire. "Apporte-moi la tête d'un ennemi et tu avanceras d'un grade." Avec un tel mot d'ordre, les soldats de Qin Shihuang eurent tôt fait de réduire toute résistance dans l'immense territoire fédéré par leur chef. Ayant uni par la force les sept États indépendants qui constituaient la Chine au IIIe siècle avant notre ère, Qin Shihuang fut déclaré premier empereur de Chine en 221 avant J.-C. On prête aussi à ce despote la construction de la Grande Muraille de Chine, destinée à empêcher tout étranger de pénétrer dans l'empire. Très vite, les populations opprimées vont se retourner contre Qin Shihuang, menacé de toutes parts. À chaque angle de rue, derrière chaque porte, il imagine un ennemi qui veut sa mort. Il se terre dans son palais. Mais même là, il ne se sent plus en sécurité. Est-ce pour cette raison qu'il fait placer, dans l'immense mausolée qu'il a fait construire pour accueillir sa dépouille, sept mille soldats en terre cuite, une armée entière chargée de le protéger ? - Le canal impérial (dimanche, 26 novembre 2006 à 23:30) (Allemagne, 2003, 119mn) Réalisateur: Brugger Peter Voyage sur le canal impérial, vieux de 2 500 ans, à la rencontre des Chinois d'aujourd'hui. En Chine, le canal impérial, construit il y a 2 500 ans, s'étire sur 2 000 kilomètres entre Pékin et Hangzhou. C'est la plus longue voie d'eau artificielle du monde et la plus ancienne qui soit encore navigable sur d'importants tronçons. Autrefois, il permettait à la fois de nourrir Pékin et de gouverner la Chine. Grâce à lui, les empereurs pouvaient se déplacer rapidement vers le sud et conquérir de nouveaux territoires. Aujourd'hui, voyager le long de ce canal est une expérience inoubliable. Tour à tour mouvementé et paisible, le périple de Pékin à Hangzhou nous fait traverser cinq provinces. Une formidable occasion de découvrir le quotidien des Chinois, du moine bouddhiste au marinier, du riziculteur au citadin |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 22 Novembre 2006 21h08 |
Week-end CHINE sur ARTE  samedi, 25 novembre 2006 à 20:40 Rediffusions : 26.11.2006 à 14:00 La nécropole de l'Empereur (Allemagne, Chine, 2005, 52mn) ZDF Réalisateur: Christian Twente La province chinoise du Shaanxi est connue pour son impressionnante armée enterrée en terre cuite. Mais elle abrite de nombreux autres sites archéologiques, dont certains largement inexplorés. La nécropole de l'empereur Taizong a été récemment mise au jour. Le secret du Zhao Ling Taizong, deuxième empereur de la dynastie des Tang, a régné de 626 à 649. De son vivant, il a fait creuser un mausolée dans la roche du plateau de Zhao Ling, dans la vallée de la Wei. Finalement, c'est un véritable palais souterrain qui sera édifié, avec pas moins de quatre cents bâtiments et un chemin de procession long de plusieurs centaines de mètres. Au IXe siècle, des révoltes paysannes précipitent la chute de la dynastie. Des rebelles s'introduisent dans la nécropole et s'émerveillent devant la splendeur du palais. Mais les constructions extérieures sont ensuite détruites et le site sombre dans l'oubli. C'est au professeur Zhang Janlin, de l'Institut archéologique de Xian, que l'on doit la redécouverte récente de la nécropole de Zhao Ling. Il met au jour de nombreuses tombes mais ne parvient pas à accéder au tombeau de l'empereur qui, d'après les témoignages des émeutiers du IXe siècle, se trouve "au bout d'un tunnel de 230 mètres scellé par cinq portes en pierre". L'archéologue chinois lance alors une opération de fouilles internationale. Des géophysiciens autrichiens effectuent des relevés du terrain à l'aide de radars ultraperformants. Puis une équipe de l'Université technique de Darmstadt procède à une reconstitution virtuelle de la nécropole, sur la base des sources historiques disponibles et de ses pro-pres rapports de fouilles. Une enquête digne des meilleurs thrillers s'engage, jusqu'au jour où Zhang Janlin découvre les restes d'un pont de bois qui menait autrefois à une chambre funéraire...  * samedi, 25 novembre 2006 à 21:35 Rediffusions : 26.11.2006 à 14:50 02.12.2006 à 12:50 360° - Géo (France, Allemagne, 2005, 52mn) ARTE Présentateur: Simone von Stosch Réalisateur: Ines Possemeyer Le parcours de Guo Jia, jeune Chinoise qui réalise son rêve : apprendre le kung-fu. Depuis sa plus tendre enfance, Guo Jia rêve de pratiquer le kung-fu. Aujourd'hui, elle fréquente la seule école de Chine qui forme les jeunes filles aux arts martiaux, l'école Yongtai, nichée dans une vallée entre les monts sacrés du Songshan. Il y a 1 500 ans, les nonnes guerrières de Yongtai s'initiaient déjà au kung-fu dans le premier monastère bouddhiste réservé aux femmes. Guo Jia débute sa journée à 5.30 par une mise en condition physique. Après le petit-déjeuner, elle fait des exercices d'assouplissement et de combats au sabre, à la lance ou à l'épée. Ensuite, elle suit les cours sco-laires. Guo Jia a un jour de repos hebdomadaire, le dimanche, et une semaine de vacances par an. Elle partage avec dix camarades une chambre sans eau chaude. Mais elle s'estime heureuse. Bientôt, Guo Jia et les soixante-dix filles de l'école Yongtai se mesureront aux élèves d'une autre école d'arts martiaux de la région (la ville voisine de Dengfeng, dite Kung-fu City, en compte quatre-vingts !). Privilège suprême, elles préparent la compétition sous la supervision d'un moine du célèbre monastère Shaolin...  * samedi, 25 novembre 2006 à 22:30 Rediffusions : pas de rediffusions LE ROSSIGNOL Réalisé par Christian Chaudet Sur un opéra d'Igor Stravinsky, d'après H. C. Andersen Coproduction : ARTE France, Agat Films et Cie, Mikros Image (2005, 48mn) ARTE FRANCE Fipa d'or 2005 (catégorie musique et spectacle) Meilleur film, Vienna TV Awards 2005 Avec : Natalie Dessay, Marie McLaughlin, Violeta Urmana, Vsevolod Grivnov, Albert Schagidullin, Laurent Naouri, Maxime Mikhailov, l'Orchestre et les Choeurs de l'Opéra national de Paris dirigés par James Conlon La musique de Stravinsky, le conte d'Andersen, la voix de Natalie Dessay, des images en 3D... Un objet rare, un film exceptionnel (Fipa d'or 2005) et un très bel hommage à Andersen à l'occasion du bicentenaire de sa naissance. Un petit rossignol gris et insignifiant chante la nuit pour les pêcheurs d'un marais, au pied d'une haute montagne chinoise. Repéré grâce aux webcams du Chambellan, il est ramené sous bonne escorte au palais de Porcelaine, sorte de Cité interdite transformée en plateau de variétés. Mais l'oiseau refuse de devenir un "phénomène de prime time" et il laissera finalement les applaudissements et rires enregistrés à un rossignol mécanique... LES PETITS PLUS Faire voir la musique Il y a tout d'abord l'opéra de Stravinsky. À partir de la musique enregistrée et éditée par EMI Classics avec Natalie Dessay et James Conlon en 1999, Christian Chaudet, formé à la télé de Jean-Christophe Averty, prolonge chaque son avec des images et des décors travaillés en 3D. Ici, point de volonté de sublimer la technique, mais simple et ambitieux souci de "faire voir la musique". "J'ai composé ce film image par image, mesure par mesure, comme si Monsieur Igor Stravinsky m'avait laissé quelques portées supplémentaires pour l'image, au bas de la partition", explique Christian Chaudet, qui se veut passeur de la musique à l'écran et de l'écran au conte. Car le sens profond de cette fable poétique et ironique "travaille" aussi le cinéaste... Récompensé d'un Fipa d'or à Biarritz, ce film est un hommage à la musique, au pouvoir du chant et à la liberté.  ** dimanche, 26 novembre 2006 à 19:00 Wiederholungen : 02.12.2006 um 08:00 Chopin et la mer de Chine (France, 2003, 41mn) ARTE F Réalisateur: Katarzyna W. Chambenoit Interprète: Fou Ts'ong, Lang Lang, Christophe Eschenbach, Lang Guo-Ren À la découverte de la jeune garde du piano chinois en compagnie du maître Fuo Ts'ong. En 2001, le Concours Chopin a été gagné par un Chinois, Yundi Li. Il a été formé au conservatoire de Shenzhen, sorte d'usine à génies qui prépare la nouvelle génération de pianistes chinois. Ces derniers se font souvent remarquer sur les grandes scènes internationales et dans les festivals, comme Lang Lang à La Roque-d'Anthéron. "Maestro" nous fait rencontrer quatre de ces étoiles montantes en compagnie d'un guide d'exception, le pianiste Fuo Ts'ong. Figure emblématique du piano dans son pays, ce musicien chinois a été le premier à être reconnu en Occident et à remporter le Concours Chopin, en 1955.  * dimanche, 26 novembre 2006 à 20:40 Rediffusions : pas de rediffusions La Chine impériale (, 2006, 168mn) SR / ZDF Entre 221 avant J.-C. et 1912, année où fut proclamée la première république de son histoire, la Chine a été gouvernée par différentes dynasties. "Thema" évoque trois grands moments qui ont marqué la Chine impériale : le règne de Qin Shihuang, le premier empereur, la construction du canal impérial et la guerre de l'opium au XIXème siècle.  * dimanche, 26 novembre 2006 à 20:40 Rediffusions : 05.12.2006 à 15:00 La guerre de l'opium (Chine, Etats-Unis, 1997, 105mn, VF) ZDF Comment, au XIXe siècle, les Anglais entraînèrent la Chine dans une guerre qui lui fit perdre la face - et quelques possessions territoriales. Un film à grand spectacle réalisé pour célébrer la souveraineté retrouvée de la Chine sur Hong-Kong. 1838, sous la dynastie des Qing. L'Empire céleste, ou tout au moins la santé de ses sujets, est menacé par le commerce de l'opium qui profite avant tout aux étrangers, particulièrement aux Anglais. L'empereur Daoguang envoie son conseiller Lin Zexu à Canton avec ordre d'interdire la drogue et d'éliminer les fonctionnaires corrompus qui ont favorisé son commerce. La mission semble couronnée de succès : une grande cérémonie rituelle de purification a lieu à Canton, au cours de laquelle Lin Zexu jette dans la mer les cendres des caisses d'opium confisquées. Mais cette cérémonie marque le point de départ de la "première guerre de l'opium", déclenchée deux ans après l'accession au trône de la reine Victoria. Elle se termine par la défaite de l'empereur chinois, contraint de signer le traité de Nankin et d'abandonner l'île de Hong-Kong à l'Empire britannique.  * dimanche, 26 novembre 2006 à 22:30 Rediffusions : pas de rediffusions Les mystères du premier empereur (Allemagne, 2006, 59mn) ZDF Réalisateur: Christian Twente Qin Shihuang, le premier empereur de Chine, fit réaliser une armée en terre cuite pour veiller sur son dernier sommeil. Portrait d'un despote rattrapé par la peur du châtiment populaire. "Apporte-moi la tête d'un ennemi et tu avanceras d'un grade." Avec un tel mot d'ordre, les soldats de Qin Shihuang eurent tôt fait de réduire toute résistance dans l'immense territoire fédéré par leur chef. Ayant uni par la force les sept États indépendants qui constituaient la Chine au IIIe siècle avant notre ère, Qin Shihuang fut déclaré premier empereur de Chine en 221 avant J.-C. On prête aussi à ce despote la construction de la Grande Muraille de Chine, destinée à empêcher tout étranger de pénétrer dans l'empire. Très vite, les populations opprimées vont se retourner contre Qin Shihuang, menacé de toutes parts. À chaque angle de rue, derrière chaque porte, il imagine un ennemi qui veut sa mort. Il se terre dans son palais. Mais même là, il ne se sent plus en sécurité. Est-ce pour cette raison qu'il fait placer, dans l'immense mausolée qu'il a fait construire pour accueillir sa dépouille, sept mille soldats en terre cuite, une armée entière chargée de le protéger ?  * dimanche, 26 novembre 2006 à 23:30 Rediffusions : pas de rediffusions Le canal impérial (Allemagne, 2003, 119mn) SR Réalisateur: Brugger Peter Voyage sur le canal impérial, vieux de 2 500 ans, à la rencontre des Chinois d'aujourd'hui. En Chine, le canal impérial, construit il y a 2 500 ans, s'étire sur 2 000 kilomètres entre Pékin et Hangzhou. C'est la plus longue voie d'eau artificielle du monde et la plus ancienne qui soit encore navigable sur d'importants tronçons. Autrefois, il permettait à la fois de nourrir Pékin et de gouverner la Chine. Grâce à lui, les empereurs pouvaient se déplacer rapidement vers le sud et conquérir de nouveaux territoires. Aujourd'hui, voyager le long de ce canal est une expérience inoubliable. Tour à tour mouvementé et paisible, le périple de Pékin à Hangzhou nous fait traverser cinq provinces. Une formidable occasion de découvrir le quotidien des Chinois, du moine bouddhiste au marinier, du riziculteur au citadin  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 22 Novembre 2006 21h12 |
Le Panda, t'arrete un peu de copier coller mes topics !!!!  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 22 Novembre 2006 21h17 | ||
mdr |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 22 Novembre 2006 21h24 | ||||
quand les esprits se rencontrent.... PS : pour une fois, j'ai posté avant toi....  |
| Ecrit par: ronin Samedi 02 Décembre 2006 10h04 |
| au secours quelqu'un aurait enregistré les docs sur arté concernant le week end de la chine j'ai tout enregistré mais la vhs est pourrie ( malgre qu'elle soit neuve) du coup j'ai pas grand chose je recherche les enregistrement des emissions suivantes: La nécropole de l'Empereur 360° - Géo La Chine impériale Les mystères du premier empereur Le canal impérial j'ai uniquement le film mais pas en version complete je veux surtout les docs si quelqu'un peut penser à moi  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 13 Décembre 2006 09h32 |
| Samedi 16 décembre, dans l'émission jeunesse de France 3 "Toowam" seront diffusés les 2 premiers épisodes d'un nouveau dessin animé : Shaolin Wuzang (Série animée se déroulant dans la Chine du XVIIème siècle avec kung-fu, démon et moines-chevaliers.) Le 16 décembre (deux 1ers épisodes), la suite pour février 2007. Synopsis : Trois enfants initiés à l'art ancestral du Kung-fu et à la discipline de Shaolin doivent capturer un horrible démon qui s'est échappé de la prison magique où il était emprisonné depuis mille ans. Coproduction France-Chine. Lien pour en savoir plus : http://cartooneurs.free.fr/pages/shaolinkidsfr.htm   La veille, sur canal +, sera diffusé Crazy Kung Fu le vendredi 15 à 20h55.  |
| Ecrit par: ronin Mercredi 13 Décembre 2006 18h21 |
| en piquant le magazine closed de ma collegue ce matin j'ai vu le programme télé ( oui je fais parti de ceux qui n'achete pas le programme tele vu les super programmes télévisuels je fais mon programme tots les soirs soirée kung fu) bon pour en revenir a cette revue de bas etage mais où j'a lu le programme télé et j'ai constaté que le samedi ou dimanche soir qui arrive ( ne me demandait pas la date j'ai pas de memoire des chiffres , c'est pour ça que je suis flic!!! )y a un film sur la chine a 20h40 suivi d'un docu sur la 5 ( communément appellé ARTE) de 20h40 a 23h30 désolé j'ai pas plus d'info, donc si quelqu'un peut argumenter merci d'avance tout ce que je sais c'est le samedi 16 decembre ou le dimanche 17 decembre sur arté a partir de 20h40 ( j'ai verifié sur un calendrier |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 13 Décembre 2006 18h59 |
| C'est le samedi 12/16/2006 sur ARTE à 20h40 : L'empereur des mers : le voyage de Zheng He (réalisé par Chen Kaige) Au début de l'année 2006, la mise au jour d'une carte semble attester de la découverte de l'Amérique par l'amiral chinois Zheng He à l'aube du XVe siècle, quatre-vingts ans avant Christophe Colomb. L'authenticité de cette preuve a aussitôt été aussitôt mise en doute par un grand nombre de chercheurs. Mais l'affaire a éveillé chez les Chinois le souvenir de ce marin d'exception. Mandaté par l'empereur Yongle, de la dynastie Ming, l'eunuque Zheng He parcourut les mers de 1405 à 1433, à la tête d'une armada de plusieurs dizaines de navires, ouvrant à la Chine une voie vers l'Inde, le Moyen-Orient et l'Afrique. Ce documentaire, signé Chen Kaige - Palme d'or à Cannes en 1993 pour «Adieu ma concubine» -, retrace la vie de Zheng He.  http://fr.wikipedia.org/wiki/Zheng_He |
| Ecrit par: ronin Mercredi 13 Décembre 2006 19h10 |
| merci J-L je savais que je pouvais compter sur toi |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Janvier 2007 15h38 |
| Lundi 29 janvier - M6 - 20h50 Killing Me Softly en français : Feu de glace - mais quel est le crétin qui a trouvé ce titre ? Un polar assez nul réalisé par Chen Kaige. L'occasion d'admirer la belle plastique de Heather Graham.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Janvier 2007 15h44 |
| Augustin, Roi du Kung-fu Un film de Anne Fontaine avec l'impayable Jean-Chrétien Sibertin-Blanc (frère de la cinéaste) et Maggie Cheung. Augustin est le prochain roi du kung-fu. Du moins le pense-t-il. Certes, ses chances de succès paraîssent minces, quand on le regarde… Et puisque le kung-fu ne vient pas à Augustin, c’est lui qui ira au kung-fu. Mais la Chine, berceau des arts martiaux, c’est loin. Surtout à vélo… Autant commencer par un Orient plus accessible, le Chinatown de l’Est parisien. C’est là qu’il s’astreindra à manger, parler et penser chinois et qu’il découvrira des amitiés et des émotions inédites, éveillées par les aiguilles d’une acupunctrice exilée. Il vivra enfin sa vie sans renoncer à la rêver… Mardi 30 janvier - France 4 - 20h40  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 24 Janvier 2007 15h51 |
| 19 De Kazuchi Watanabe (Japon, 2001, 1h25) Avec Daijiro Kawaoka, Kazushi Watanabe, Takeo Noro, Ryo Shinmyo Arte - mercredi 31 janvier - 23h00 Synopsis : Usami, un étudiant, se promène en scooter par une belle journée d'été. Il indique sa route à un trio de voyageurs, qui finissent par le prendre en otage. Sans jamais lui avouer le motif de ce rapt, le trio devenu quatuor commence un voyage sur les routes du Japon qui, lui non plus, ne semble avoir aucun but. Peu à peu, Usami se fond dans cet univers où tout ce qui faisait précédemment sa vie a disparu. *  |
| Ecrit par: abdelali Lundi 29 Janvier 2007 22h17 |
| Pour les inerressé(e)s ! Il y a Tokyo Raiders qui va commencer dans quelques minutes (Lundi 29 Jan à 22h20 env) sur NRJ 12 Un peux juste pour l'info ,n'est ce pas? |
| Ecrit par: ronin Mardi 30 Janvier 2007 17h15 | ||
t'inquiete avec toi on a l'habitude de l'info scoop de derniere minute ( ça fais deux fois me semble t'il ) on peut pas mater un bon nanar et donner une info dans les temps l'avantage avec toi tes news sont tres fraiches et breves c'est de l'intantannée tu devrait bosser au JT de TF 1ou de FRANCE 2 nanardman c'est notre flash info derniere minute continue tu es notre speakrine atitrée (sais pas comment on dit pour gars )je te vois trop là dans trente seconde debute le film et en scoop sur telle chaine a debuté tel film mais c'est du bon il fini dans 30 seco... bah non desolé c'est deja fini |
| Ecrit par: abdelali Mardi 30 Janvier 2007 18h04 | ||||
Oui, bravo ronin! Tokyo Raiders est un nanar |
| Ecrit par: ronin Mardi 30 Janvier 2007 18h51 |
j'ai jamais dit cela mon petit nanarmam  |
| Ecrit par: abdelali Dimanche 11 Février 2007 21h12 |
| Lundi 12 Fev, à 20h50 sur M6: "Shanghaï Kid", suivi de "Samouraïs". Dimanche 18 Fev, à 20h50 sur TF1: "Lara Croft 2", avec Simon Yam .  |
| Ecrit par: Ktee Dimanche 11 Février 2007 22h33 |
| Lundi 12 fev,FRance 5 , 14h45 "la chine s'éveille " 2 eme partie sur 4" |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 11 Février 2007 22h40 | ||
 Samouraïs Film d'action Réalisateur : Giordano Gederlini Acteur : Santi Sudaros (Kodeni), Mai-Anh Le (Akemi), Cyril Mourali (Marco), Saïd Serrari (Nadir), Yasuaki Kurata (Morio), Dara-Indo Oum (Nakatomi), Yusuke Hirayama (Katezo), Hidetoshi Nakahashi (Higa) Scénario : Matt Alexander, Giordano Gederlini Musique : Kenji Kawaï Année : 2001 Pays : France Genre : nippon ni méchant. Un démon japonais hante un jeu vidéo et tient beaucoup, allez savoir pourquoi, à se réincarner entre deux barres HLM, en banlieue parisienne. Il y a aussi deux gentils loulous (le joli et le marrant) qui traquent le monstre en mob trafiquée, des méchants karatékas, un flic nippon bourru et sa belle rejetonne. Bref, la chose est bizarroïde, vaguement internationale, fauchée (quelques bambous figurent la campagne japonaise), presque touchante dans son abracadabrante naïveté. Un côté cour d'école, trois billes, six sous. Cécile Mury (Telerama) |
| Ecrit par: abdelali Dimanche 18 Février 2007 01h34 |
| Après la diffusion de Shanghaï Kid 1 en debut de semaine sur M6 recadré en 1:85 .Voici la diffusion du second opus "Shanghaï kid 2" sur TMC et qui à mon avis sera diffusée en format panoramique respecté 2:35. |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 18 Février 2007 10h37 |
Ce soir, y'a Simon Yam et Terrence Yin sur TF1 !!!  |
| Ecrit par: abdelali Vendredi 23 Février 2007 03h01 |
| Lundi 26 Fevrier 2007 à 20h50 sur M6 Diffusion de 2 bof-films "http://www.hkcinemagic.com/fr/movie.asp?id=3461",suivi à 22h et des bananes ,du film "http://www.hkcinemagic.com/fr/movie.asp?id=3508" |
| Ecrit par: lawlaw Samedi 24 Février 2007 16h00 |
| EN MARS SUR CANAL PLUS : - PTU - SPL - SEVEN SWORDS - Un documantaire sur le film noir à Hong Kong |
| Ecrit par: Jean-Louis Samedi 24 Février 2007 17h35 | ||
On voit ceux qui vienne de recevoir leur programme c+.... PS : tu as oublié de préciser que c'était uniquement sur Canal Plus BLEU (du moins pour l'instant) |
| Ecrit par: lawlaw Samedi 24 Février 2007 17h39 |
| Bien vu |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 17 Mars 2007 01h04 |
| FRANCE 5 Mardi 20 Mars - 20:41 MADE IN CHINA Durée : 00:56 Documentaire de 56' réalisé par Jean-Yves Cauchard et produit par Hikari Productions, avec la participation de France 5 et du CNC. Production déléguée : Anthony Dufour, Jean-Yves Huchet. Production exécutive : Myrto Grecos. Musique : Baptiste Charvet. 2006. Dans la vaste zone industrielle de Cixi au sud de Shanghai, Zhao et sa femme Fan travaillent comme ouvriers dans une usine de fabrications de textiles de bains. Ce sont des ' Mingong ', des ouvriers migrants. Comme eux, ils sont 140 millions de paysans à avoir quitté leur village et leur famille pour travailler de 8 heures à 12 heures par jour, 7 jours sur 7. Après dix-huit mois passés à travailler dur, Zhao et Fan sont bien décidés à retourner voir leurs deux enfants et leur famille pour le nouvel an. Plus de 2000 kilomètres les séparent et il faut deux jours pour faire le voyage. Ce documentaire montre la dure réalité des ouvriers chinois - souvent des déracinés- et l'envers du miracle chinois. L'usine du monde - comme est surnommée la Chine actuelle- n'a pourtant pas dit adieu au communisme et les travailleurs obéissent à un discours officiel dissimulé et de fait font des sacrifices énormes en étant éloignés de leurs enfants et de leur famille... (Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants) * MADE IN CHINA La Chine s'éveille. Les produits made in China affluent sur le marché mondial. Quelle est l'armée de réserve oeuvrant pour cette économie en pleine expansion ? Celle des migrants : les mingong, une main-d'oeuvre paysanne inépuisable et bon marché. Regard sur la réalité de ces ombres chinoises qui participent au nouveau grand bond en avant du pays. Made in China"En Chine, il n'y a pas de “miracle économique”. Pour faire tourner l'atelier du monde, 140 millions de paysans ont quitté leur village et leur famille"… Ainsi en est-il de ce pays en pleine expansion. Made in China, c'est l'histoire de toutes ces usines "alimentées" par des ouvriers-paysans, les mingong : une main-d'oeuvre venue de la campagne et qui forme depuis le milieu des années 90 une population disponible, corvéable, engagée en masse sur les chantiers et dans les usines, des individus déracinés qui contribuent aujourd'hui à l'expansion d'un pays en marche. C'est aussi l'histoire de ce couple, Zhao et sa femme Fan, employé dans une société de textiles de bain dans la zone industrielle de Cixi, au sud de Shanghai. "Fabriquons des articles de bain de qualité et lançons-nous avec ardeur à la conquête du marché", peut-on lire sur les murs de l’une de ces usines du monde soutenant une "économie socialiste de marché". Fan et Zhao ont quitté leur village il y a déjà dix-huit mois, y ont laissé leurs enfants, un garçon et une fille, aux soins des grands-parents. Tous deux travaillent de huit à douze heures, sept jours sur sept, dans l'une de ces nombreuses entreprises de l’empire du Milieu, qui poursuit son irrésistible montée en puissance et exporte ses produits aux Etats-Unis et en Europe de l'Ouest. "La main-d'oeuvre est abondante dans la région. Comme la Chine est un pays surpeuplé et qu'il n'y a pas assez de terre pour tous, en absorbant cette main-d'oeuvre d'ouvriers-paysans, nous rendons service à notre pays", explique le patron d'une société de 450 employés. Nombreux sont donc ceux qui triment sans relâche, travaillent et dorment sur place, car comme le déclare l'un des ouvriers : "Je trouve plus pratique d'habiter dans le dortoir : t'es tout de suite au travail." Made in ChinaMais Zhao et Fan ont au moins réussi à obtenir un appartement. Ils ont économisé et décidé de retrouver les leurs après des mois de séparation. Après quarante-huit heures et 2 300 kilomètres de routes, de montagnes, de campagnes, en voiture, en train et en car… le couple, les larmes aux yeux, parvient enfin au village pour passer les fêtes du nouvel an et revoir ses enfants. L'émotion est à son comble. Quelques jours où se mêlent des instants de bonheur partagé avec les amis, la famille, la terre si chère, et de profonde tristesse au moment de partir. Il y a ceux qui restent, ceux qui s'en vont en voulant revenir et ces espoirs baignés d'une énorme tendresse exprimée par un grand-père exténué : "Notre problème à nous, les paysans, c’est qu'on en est encore au niveau de la survie. Moi, j'espère avant tout que mes petits-enfants feront des études et changeront leur destin." Françoise Jallot Première diffusion : mardi 20 mars 2007 à 20:40 (câble, satellite et TNT). Durée : 52' Réalisation : Jean-Yves Cauchard et Mathias Lavergne Production : France 5 / Hikari Productions Année : 2006   |
| Ecrit par: tao pai pai Samedi 17 Mars 2007 08h02 |
| Mince, c'est le même soir que "Pekin Express" |
| Ecrit par: china Samedi 17 Mars 2007 13h03 | ||
je mettrais la critique ce week end ou lundi sur chinacinema.fr puisque j'ai rencontré le documentariste et vu le doc à Vesoul ... J'ai pris des captures dans le cinéma à peine pas discretos |
| Ecrit par: china Mardi 20 Mars 2007 22h24 |
| bon voili voilou : http://www.chinacinema.fr/2007/03/documentaire-made-in-china.html ceux qui veulent continuer le fil de discusion sur les mingongs peuvent le faire en y ajoutant des commentaires , @++ |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 21 Mars 2007 23h48 |
| mercredi, 28 mars 2007 à 23:35 ARTE Rediffusions : pas de rediffusions Shara (Japon, 2003, 99mn, VOSTF) ARTE F Réalisateur: Naomi Kawase Auteur: Naomi Kawase Image: Yutaka Yamasaki Musique: UA Montage: Shotaru Anraku, Naomi Kawase, Tomoh Sanjo Production: RealProduct Producteur: Yoshiya Nagasawa Son: Eiji Mori Avec: Kohei Fukungaga , Yuka Hyyoudo , Naomi Kawase , Katsuhisa Namase, Kanako Higuchi Une famille japonaise marquée par la disparition d'un enfant revient à la vie. Une chronique délicate et subtile. La famille Aso vit avec ses jumeaux, Kei et Shun, dans le vieux quartier de Nara, ancienne capitale du Japon. Les Aso perpétuent la tradition de la fabrication artisanale de l'encre de Chine. Le jour de la fête du dieu Jizo, dans la chaleur torride de l'été, alors que les deux garçons jouent à se poursuivre dans le labyrinthe des ruelles, Kei disparaît inexplicablement. Cinq ans plus tard, Shun, âgé de 17 ans, s'est inscrit à un cours de peinture au lycée. Il travaille sur le portrait de son frère, qu'il n'a pu oublier. Shun se sent très attiré par son amie d'enfance Yu, mais des douleurs secrètes les empêchent de vivre cet amour. La grande fête populaire de Basara approche et Reiko, la mère de Shun, doit bientôt mettre au monde un nouvel enfant... * INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES Songe et lumière Le deuil et la renaissance sont au coeur de ce film impressionniste, troisième fiction de la Japonaise Naomi Kawase. Également auteure de documentaires à tendance autobiographique, la réalisatrice aborde souvent dans son oeuvre des thèmes liés à la filiation. Dans Shara, où elle interprète Reiko, elle porte un regard lumineux sur des sujets sensibles comme la perte d'un enfant ou d'un frère, la maternité, l'adoption. Comme ses deux précédents films de fiction, Susaku (1997) et Hotaru (2000), Shara a été tourné à Nara, la ville natale de la réalisatrice. Enfouie au coeur d'une végétation luxuriante, la cité abonde en ruelles bordées de maisons basses, cadre idéal de ce récit intimiste. Le magnifique plan-séquence qui ouvre le film, accompagné par une caméra d'une légèreté aérienne, introduit une dimension onirique teintée de spiritualité dans le drame vécu par la famille. La mise en scène, elliptique, suit le cheminement de chacun de ses membres vers un retour à la vie et à la joie, qui aboutit à une explosion libératrice de danse et de couleurs lors de la parade rituelle de Basara.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 21 Mars 2007 23h52 |
| Le Papier ne peut pas envelopper la braise Réalisé par Rithy Panh France 3 , vendredi 30 mars 23h25 - sortie cinéma le 31 mars Le film se situe au plus proche de la vie, donc de la mort spirituelle d'une prostituée. L'ultime déchéance sociale se solde par l'irréparable injustice d'un processus irréversible : la destruction d'un corps.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 30 Mars 2007 23h59 |
| CULTURE EN EXIL Planète, samedi 31 avril, 21h45 En 1959, l'armée de Mao Tsé Toung envahit le Tibet, tue plus d'un million d'habitants et force les survivants à renier le Dalaï Lama. Ceux qui refusent d'abandonner leur culture sont pourchassés et exilés. En 1974, une petite communauté tibétaine s'installe dans le sud de l'Inde et réapprend à vivre. Cette année là, les autorités indiennes donnent des terres dans la région du Karnataka aux réfugiés tibétains qui s'y installent par centaines. Dzogchen Rinpoché, jeune moine de 19 ans, est chargé par le Dalaï Lama de diriger le camp de DHONDENLING. En moins de 10 ans, malgré un manque de moyens manifeste, il parvient à redonner la joie de vivre à ses compatriotes que la nécessaire adaptation à un climat tropical a, au départ, décimés. Petit à petit, ils s'organisent pour préserver leur culture plusieurs fois millénaire. Nous retrouvons aujourd'hui cette communauté riche de 7 000 membres et découvrons ses coutumes étonnantes, son ingéniosité, sa philosophie. Un voyage apaisant et enrichissant.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 31 Mars 2007 00h09 |
| Soirée Cinéma - Spécial Hong Kong Hommage à Johnnie To France 4 Dimanche 1er avril 20h40 : Running out of time Film de Johnnie To avec Andy Lau, Ching Wan Lau Wah, voleur de génie, est rongé par une double maladie : le cancer et la soif de vengeance... Pour ses derniers jours de condamné, il se lance un défi incroyable : se mettre à dos toute la police de la ville, et plus particulièrement Sang, le meilleur flic des environs. Il organise alors le vol d’un diamant et débute une spectaculaire course-poursuite qui ne se dénouera que tardivement… Avec Running out of Time, ne vous attendez pas à un film d’action traditionnel où les méchants tirent dans tous les sens sur les gentils. Le style narratif est plus complexe, entre action et réflexion. Le scénario n’est pas typiquement asiatique, puisqu’il a été écrit par deux Français, Julien Carbon et Laurent Courtiaud. Les deux têtes d’affiche sont Andy Lau (Fulltime Killer) et Lau Ching-Wan, moins connu en Occident, excellent dans cet exercice de style. Dans sa réalisation, Johnnie To reste très proche du propos, tout va vite : la caméra, le montage, le cadrage « au plus près ». Le héros est pris dans un tourbillon temporel, et entraîne avec lui le spectateur, jusqu’à la dernière minute. A noter qu’après les très réalistes Election 1 et Election 2, présentés à Cannes et sortis en janvier sur les écrans français, un nouveau film de Johnnie To est attendu pour juin, Exilés, un polar poisseux dans l’enfer de Macao.  22h25 : Fulltime killer Film de Johnnie To et Wai Ka-Fai avec Andy Lau, Takashi Sorimachi O est un tueur professionnel solitaire. Il est réputé être le meilleur. Personne ne connaît son visage. Il limite au minimum ses contacts avec le monde extérieur. Tok, lui, est un tueur à gages extraverti. Il transforme les meurtres qu'il commet en véritables spectacles... En quête de notoriété, Tok va défier son aîné en l'entraînant dans une course vers la première place du podium. Une femme Chin va réunir ces deux adversaires dans l’amour commun qu’ils lui portent. Un flic tenace est à leurs trousses… Johnnie To s’est associé à Wai Ka-Fai (les 2 hommes ont plusieurs collaborations à leur actif) pour un polar nerveux, abondant en références au genre. Avec un scénario solide, des acteurs confirmés, une réalisation stylisée, Fulltime Killer, adapté d'un roman homonyme d'Edmond Pong, est à la hauteur des attentes des fidèles du maître du polar hongkongais. Les scènes d’action sont parfaitement chorégraphiées et la musique idéalement sélectionnée. Un beau et émouvant face-à-face.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 31 Mars 2007 00h13 |
| France 5 / Lundi 02 Avril 2007 - 21:36 UN CHINOIS DANS LES TRANCHEES DE VERDUN Documentaire de 52' écrit par Henri-Paul Korchia, Emmanuel Pham-Nhu et Wang Jiann-Yuh, réalisé par Henri-Paul Korchia et Emmanuel Pham-Nhu, et produit par Cosmopolitis Productions, avec la participation de France 5. Production : Wang Jiann-Yuh. Musique : Les Alcolytes. Narration : Nicole Garcia. Pour pallier au manque de bras dû à l'effort de guerre, les autorités françaises ont fait venir, à partir de 1916, 150 000 Chinois sur le territoire national. On retrouve trace de leur passage dans les cimetières aux stèles exotiques qui parsèment les plaines de Picardie et du Pas-de-Calais, dans les archives des armées française et britannique, mais surtout dans la mémoire de leurs descendants : un certain nombre de ces travailleurs se sont en effet installés ici, fondant des familles, élevant des enfants, apportant leurs pierres dans la construction de l'édifice France depuis plus de quatre-vingts ans. Les auteurs du film ont rencontré les descendants de Tchang Tsang-Song, né en 1897 près de Nankin, et mort à La Machine (Nièvre) en 1989. Le témoignage très émouvant de la famille Tchang plonge le téléspectateur dans un pan de l'Histoire encore largement méconnu, dans l'histoire individuelle d'un homme venu de loin pour s'intégrer dans la France du XXe siècle, et fait prendre conscience de l'importance des questions de mémoire, de racines, d'héritage culturel. (Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants) * C'est un pan méconnu de l'histoire qu'aborde ce documentaire : celui de la première vague d'immigration chinoise en France. Pendant la Première Guerre mondiale, environ 150 000 Chinois sont recrutés par l'armée, en France et en Angleterre, pour pallier le besoin de main-d’oeuvre. Leurs missions : travailler dans les usines ou les fermes, creuser les tranchées, transporter le ravitaillement, inhumer les cadavres… Attirés par des salaires élevés, ils voient la France comme un eldorado, mais sont vite soumis au même régime "marche ou crève" que les soldats. Respectueux de la langue et des coutumes françaises, ces immigrés coupaient souvent tout lien culturel et familial avec leur pays. A la fin de la guerre, beaucoup sont repartis, comme prévu dans leurs contrats. D'autres ont déserté, ou tenté de vivre en communauté dans les villages, sous le regard parfois hostile des habitants. Un Chinois dans les tranchées de VerdunLes réalisateurs du film ont rencontré les descendants de Tchang Tsang-song, arrivé en 1916 à La Machine, petite ville houillère de la Nièvre. Tsang-song, devenu André, s'est marié à une Française, a travaillé à la mine puis s'est engagé dans la Résistance en 1944. Soucieux de s'intégrer, il a toujours refusé de transmettre sa langue natale à ses enfants. Pourtant, à la fin de sa vie, il confiait avoir le mal du pays et ses proches l'entendaient parler chinois… dans ses rêves. Stéphanie Thonnet, France 5   |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 08 Avril 2007 21h48 |
| France 5 propose de vous prévenir de la diffusion de l'émission : NANKIN LA MEMOIRE ET L'OUBLI prévue le lundi 09/04/2007 à 21:42:57 Ce documentaire témoigne de l'ampleur du massacre de Nankin et de son horreur. En 1937, des actes de vengeance et des atrocités furent en effet commis dans la ville chinoise par les troupes japonaises. Un événement qui suscite encore des montées de nationalisme dans les deux pays. Mais un timide espoir de réconciliation et de reconnaissance commence à poindre. Que s'est-il passé cet hiver 1937 à Nankin ? Un massacre sans nom. Après l'invasion de la Mandchourie, le Japon continue son expansion territoriale jusqu'à Shanghai. Surpris par la résistance chinoise, les Japonais vont riposter avec une violence accrue. C'est alors la marche sur Nankin, ville stratégique sur le Yangzi Jiang et point de rencontre entre le nord et le sud de la Chine. L'armée japonaise a pour ordre "le nettoyage de la ville de Nankin et de ses environs". Nettoyer signifie tuer, massacrer. Vingt mille femmes sont violées. Pendant le trajet, des officiers zélés parient sur le nombre de têtes qu’ils pourraient décapiter - "la décapitation, dans l'imaginaire martial du Japon, valorisant l'image du guerrier". Nankin dispose alors d'une zone internationale où résident un grand nombre d'Occidentaux. Certains d'entre eux prennent part activement à la défense de la population chinoise, comme l'Américaine Minnie Vautrin, appelée Mlle Chine, missionnaire, recteur de l'université de jeunes filles de Jinling et chef du camp des réfugiés, l'Allemand John Rabe, pourtant membre du parti nazi et chef du comité de la zone de sécurité, ainsi que le prêtre américain John Magee, qui parvint à filmer - acte véritablement courageux – les abominations guerrières. Ces images constitueront en effet un précieux témoignage lors du procès de Tokyo en 1946. Documents d’archives, interventions de survivants chinois et de soldats japonais rendent compte avec sincérité, tristesse ou profond malaise des horreurs de cet événement sanguinaire.  Aujourd'hui encore, à Nankin, les traces du massacre sont partout. Depuis 1985, un mémorial s’inspirant du musée Yad Vashem, à Jérusalem, lui est consacré. Pour les Chinois, le sentiment antijaponais est très fort. Tandis que sur l'Archipel le gouvernement reste ambigu et le révisionnisme très puissant. Néanmoins, certains intellectuels n'hésitent pas à se rendre au mémorial, comme le Prix Nobel de littérature Kenzaburó Oé (à droite sur la photo ci-contre), qui déclara : "Les hommes et les femmes qui sont parvenus à surmonter une souffrance extrême atteindront-ils une humanité exceptionnelle ? Voilà une problématique de toute une vie qui interpelle ma littérature. Nous, les Japonais, nous devons assumer notre responsabilité, nous devrions réactiver la réflexion pour assumer notre responsabilité d’agresseurs…" Un espoir de reconnaissance à ne pas passer sous silence ! Françoise Jallot  Première diffusion : lundi 9 avril 2007 à 21:40 (câble, satellite et TNT). Durée : 52' Réalisation : Michaël Prazan Production : France 5 / Les Poissons volants / Rosem Films Année : 2006 Déconseillé aux moins de 10 ans. Lundi 09 Avril - 21:42 NANKIN LA MEMOIRE ET L'OUBLI - * Documentaire de Michaël Prazan (France, 2006). 60 mn. Inédit. Après avoir soumis la Mandchourie, l’armée japonaise s’attaque, en 1937, au reste de la Chine. Nankin tombe le 13 décembre après la débandade des troupes de Tchang Kaï-Chek. S’ensuit un gigantesque massacre au cours duquel des dizaines de milliers d’habitants sont tués et vingt mille femmes violées. A l’aide d’images d’archives, d’interviews d’historiens et de terrifiants témoignages de survivants ou de bourreaux, Michaël Prazan retrace avec précision l’enchaînement des faits. Il rappelle des aspects étonnants – les Japonais étaient armés par les Américains et le Guomindang par… les nazis –, s’attarde sur le parcours des trois « Justes de Nankin », trois Occidentaux qui tentèrent de sauver des civils. Le film s’attache ensuite à décrire la mémoire qui s’est construite autour de ces événements. Il devient alors terriblement d’actualité – et sacrément pertinent. Car le massacre de Nankin, après des décennies d’oubli, est devenu un enjeu dans chacun des deux pays, mais aussi entre eux. En Chine, c’est dans les années 80 que les autorités se mettent à commémorer l’événement, avec force monuments et manifestations, à un moment où le nationalisme supplante le communisme et se structure dans l’opposition au Japon. Du côté japonais, la négation du massacre de Nankin est devenue un des leitmotivs de nationalistes qui, entendant redonner sa fierté à leur pays, n’hésitent pas à honorer la mémoire des bourreaux et à attaquer en justice une survivante chinoise. Malgré quelques petites notes d’espoir (la parution d’un manuel d’histoire nippo-sino-coréen, l’engagement de l’écrivain Kenzaburó Oé), ce remarquable travail documentaire donne un exemple effrayant d’instrumentalisation de l’histoire. Samuel Gontier Télérama n° 2986 - 7 Avril 2007 |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 08 Avril 2007 21h51 |
| Arte lundi, 9 avril 2007 à 22:35 Rediffusions : 12.04.2007 à 15:15 Les bouddhas géants (Suisse, Allemagne, 2005, 93mn) ZDF Réalisateur: Christian Frei Christian Frei nous emmène en voyage pour tenter de saisir la portée symbolique de la destruction des bouddhas de Bamyan. Un documentaire qui prend le temps de la réflexion pour se pencher sur le monde. En février 2001, les talibans ordonnent la destruction des statues non islamiques qui se trouvent en Afghanistan. Cela concerne notamment les deux bouddhas géants (38 et 55 mètres) sculptés dans la roche de la vallée de Bamyan, 1 500 ans plus tôt. Cette vallée est dominée par une longue falaise creusée de centaines de grottes, passages et niches. Pendant des centaines d'années, le site a été le centre du monde bouddhiste. En mars 2001, pendant deux semaines, la vallée résonne du bruit des explosifs. Le monde entier s'émeut de la destruction des bouddhas de Bamyan. Dans ce film très personnel, à la fois réflexion et voyage initiatique, le réalisateur Christian Frei nous invite à cheminer avec lui. Ce ne sont pas tant les statues qui l'intéressent que ce qu'elles représentent pour les hommes. Pour tenter de saisir la charge symbolique liée à ces géants de pierre, il suit des pistes qui l'emmènent aux quatre coins du monde : à Bamyan, bien sûr, mais aussi dans un monastère bouddhiste en Chine, dans un laboratoire de recherche en Suisse, au siège de l'Unesco à Paris, dans les locaux d'Al-Jazeera au Qatar... Pour l'accompagner dans sa quête, il s'est choisi des compagnons de route peu communs. L'un est un moine bouddhiste chinois, Xuanzang, qui, il y a 1 370 ans, entreprit de gagner Bamyan par la route de la Soie ; un autre est un journaliste d'Al-Jazeera, Taysir Alony, qui a décroché le scoop de sa vie en filmant secrètement la destruction des statues. Il y a aussi Sayyed, qui habitait l'une des grottes avec sa famille ; l'archéologue Zémaryalaï Tarzi, qui a récemment fouillé le site à la recherche de vestiges préislamiques ; enfin, il y a cette mystérieuse correspondante à qui le narrateur s'adresse tout au long de son voyage, Nelofer Pazira ; fille d'un Afghan qui a autrefois séjourné à Bamyan, elle finira elle aussi par faire le voyage. Le réalisateur filme une cérémonie de transe chez les soufis, une femme afghane vaquant aux tâches ménagères dans sa grotte, un visage de pierre au sourire énigmatique qui apparaît peu à peu sous des débris de fouilles, des touristes chinois se faisant photographier devant le plus grand bouddha du monde... Croisant les pistes, mêlant les époques, Christian Frei s'interroge sans relâche sur le sens de tout cela, sur ce que révèle l'histoire des bouddhas de Bamyan. Par exemple, que nous disent-ils des rapports entre l'Occident et le monde musulman ? Bien plus que de statues, son film parle de l'être humain.  |
| Ecrit par: Jean-Louis Mardi 01 Mai 2007 12h34 |
| Ce mardi 1er mai à 22h20, sur Canal +, "Seven Swords" de Tsui Hark |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 01 Mai 2007 12h43 |
| Arte Vendredi 4 mai 2007 de 1h35 à 2h50 (75') Raigyo Film érotique Réalisateur : Takahisa Zeze Acteur : Takeshi Ito (Yanai Takehara), Yukiko Izumi (la vendeuse), Tomohiro Okada (le détective Sakata), Moe Sakura (Noriko Takahara), Kazuhiro Sano (le détective Ando), Takuji Suzuki (Hiroyuki), Bunmei Tobayama (Tanaka), Yumi Yoshiyuki (l'infirmière) Scénario : Takahisa Zeze Titre original : Raigyo Année : 1997 Pays : Japon Version : VO Critique télérama Film de Takahisa Zeze (Japon, 1997). Scénario : Takahisa Zeze. Image : Kôichi Saitô. 75 mn. VO. Avec Takeshi Ito : Yanai Takehara. Yukiko Izumi : la vendeuse. Tomohiro Okada : le détective Sakata. Moe Sakura : Noriko Takahara. Kazuhiro Sano : le détective Ando. Genre : noir et rose. Dans une ville défigurée par la pollution, un homme à la recherche d’une partenaire sexuelle croise une femme qui, après l’amour, le poignarde sauvagement. Comme si ce pitch n’était pas suffisamment dépressif, sachez qu’en japonais, « raigyo » désigne une espèce de poisson-chat que les pêcheurs rejettent à l’eau parce que leur chair abrite parfois des vers. On aura compris que Takahisa Zeze n’a pas de l’homme et de son avenir une vision très romantique. Le Japon qu’il décrit est un pays malade, quasi en décomposition, où la communication est devenue impossible. Les seules relations entre les personnages sont sexuelles, mais sans un gramme d’érotisme. On retrouve cette austérité dans la mise en scène : plans fixes, absence de dialogues. Héritier du « pinku eiga » (film rose), un genre en vogue dans les années 60, Zeze signe une œuvre profondément noire, éprouvante, qui confine à la métaphysique. Réservée aux cinéphiles aguerris. Jérémie Couston |
| Ecrit par: Toto le hero Mardi 01 Mai 2007 16h12 | ||
et la mienne: http://eigagogo.free.fr/Critiques/raigyo.htm |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 13 Mai 2007 18h54 |
| Arte Jeudi 17 mai 2007 à 20.40 CLEAN D’Olivier Assayas (France, 2004, 1h50) Avec Maggie Cheung, Nick Nolte, Jeanne Balibar Synopsis: Emily (Maggie Cheung), chanteuse dans un groupe rock, est veuve du guitariste du même groupe, Lee, qui a été victime d'une overdose. Elle-même a été détenue pendant 6 mois au Canada pour possession de drogue. À sa sortie de prison, elle trouve un boulot à Paris chez des gens de sa famille. Mais pour pouvoir reconstruire sa vie, il lui faut d'abord récupérer la garde de son fils de huit ans, qui vit à Londres chez les parents de Lee (Nick Nolte dans le rôle d'Albrecht). Pour y parvenir, il faut d'abord qu'elle devienne « clean »… Critique: Une fois déjà, Maggie Cheung avait tenu le premier rôle dans un film d'Olivier Assayas, « Irma Vep ». Dans cet hommage à un film muet de 1915 (Vampires de Louis Feuillade), l'actrice chinoise de Hong Kong élevée en Angleterre incarne une actrice qui elle-même doit incarner un vampire dans un film. Des rôles stylisés de femmes, Maggie Cheung en a joué beaucoup dans sa vie, surtout pour le cinéma de Kong Kong et notamment avec le cinéaste Wong Kar-wai (« In the Mood for Love »). C'est ce qu'a pensé Assayas avant d'écrire pour son ex-compagne un rôle sur mesure qui correspondrait à sa façon vivante, spontanée et nerveuse de faire du cinéma. « Clean » commence comme un road-movie en forme d'hymne à l'univers du rock d'avant-garde des années 80 et aux idéaux de réalisation de soi et de liberté qu'il était censé traduire, mais qui toujours allaient de pair avec les excès de la drogue. Aujourd'hui, vingt ans plus tard, cette expérience de l'extrême a laissé de douloureuses séquelles parmi ceux qui l'ont vécue. Emily est de ceux-là : au lieu de devenir la chanteuse reconnue qu'elle espérait, elle n'a été qu'une petite groupie, accroc d'une rock star et de la drogue. Cette vie débridée dans l'ombre d'un musicien célèbre, elle l'a payée par des complexes et une paranoïa tenaces. La mort soudaine de son mari suffit à briser sa vie comme un château de cartes, mais elle est en même temps sa seule chance de sortir enfin de l'enfer de la drogue. Alors commence la seconde partie de « Clean », avec pour cadre Paris. Emily la polyglotte revient sur les bords de la Seine, où elle retrouve deux vieilles amies, Irène (Jeanne Balibar) et Elena (Béatrice Dalle). Les trois femmes font le bilan de leur vie. Alors qu'Irène a réussi dans son métier de cynique professionnelle, Elena est passée maître dans l'art de se sortir indemne de toutes les galères, et décide de s'occuper de la nouvelle venue. Emily, toujours accroc à la drogue (méthadone), a du mal à reprendre pied. Il lui faut d'abord comprendre qu'il n'y a plus de place pour elle dans le show-business. Avec le temps, elle finit par admettre que sa seule perspective d'avenir désormais, c'est son fils. À partir de ce moment, « Clean » glisse vers le mélo larmoyant des retrouvailles familiales. C'est le troisième volet du film d'Olivier Assayas, où Nick Nolte se révèle en beau-père aux élans généreux, et qui sait pertinemment, drogue ou pas drogue, que son petit-fils a besoin d'une mère. Avant d'en arriver là, le chemin sera encore long, mais après moult rechutes, la transformation d'Emily sera finalement un succès. Bref, le film n'a pas de grosses surprises à nous offrir, ni dans le fond ni dans la forme. C'est finalement un film très américain, avec un brin de sobriété en plus, et le sacro-saint idéal de vie : « Tu peux changer ta vie, il faut croire en toi, c'est tout ». Martin Rosefeldt (Arte)  |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 13 Mai 2007 20h08 |
| Le 21 mai 2007, ce sera au tour de 2046 de Wong Kar-wai de passer sur ARTE. |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 17 Mai 2007 18h26 | ||
ARTE Lundi, 21 mai 2007 à 20:40 Rediffusions : pas de rediffusions 2046 (Hong-Kong, 2002, 121mn, VM) ARTE F / ZDF Réalisateur: Wong Kar-Wai Auteur: Wong Kar-Wai Image: Christopher Doyle Musique: Shigeru Umebayashi Montage: William Chang Production: Paradis Films, Orly Films, Block 2 Pictures Inc. Producteur: Yimou Zhang Avec: Tony Leung , Gong Li , Zhang Ziyi , Faye Wong , Thongchai McIntyre , Carina Lau , Wang Sum , Takuya Kimura , Maggie Cheung , Chang Chen Vertigineux voyage sensoriel à travers le temps et les sentiments, 2046 distille une mélancolie profonde, touchant à l'essence même du cinéma de Wong Kar-wai. Hong-Kong, au milieu des années 1960 : séducteur impénitent, Chow Mo Wan dissimule ses blessures affectives sous des airs blasés. Dans une chambre de l'hôtel Oriental, il écrit un roman futuriste, dans lequel un train mystérieux emportant ses passagers vers l'année 2046 constitue un espace-temps imaginaire, où les souvenirs se figent pour l'éternité. Quelques années avant, Chow, alors journaliste, a aimé passionnément une femme, Su Li Zhen, qui logeait dans une chambre d'hôtel portant le numéro 2046. L'écriture de son roman se nourrit de cet amour perdu, mais aussi d'autres rencontres féminines, de Singapour à Hong-Kong, toutes liées à cette chambre 2046, voisine de la sienne. Sensuelle, cérébrale ou romantique, chacune de ces femmes incarne une facette d'un idéal féminin inaccessible...  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 17 Mai 2007 18h30 |
| ARTE jeudi, 24 mai 2007 à 00:45 Rediffusions : pas de rediffusions Tatouage (Japon, 1966, 86mn) ARTE F Réalisateur: Yasuzo Masumura Auteur: Kaneto Shindô Image: Kazuo Miyagawa Musique: Ken Suzuki Montage: Kanji Suganuma Production: Daiei Motion Picture Co. Ltd. Producteur: Hiroaki Fujii Avec: Ayako Wakao , Akio Hasegawa , Gaku Yamamoto , Fujio Suga , Asao Uchida , Kei Sato , Reiko Fujiwara, Kikue Môri À l'apogée de son talent, Yasuzo Masumura tourne un drame sanglant porté par la colère et la vengeance d'une femme. Un chef-d'oeuvre, avec dans le rôle principal Ayako Wakao, l'actrice fétiche du réalisateur japonais. * Par une nuit d'hiver, le jeune apprenti Shinsuke et la fille du patron, Otsuya, s'apprêtent à fuir pour vivre librement leur amour impossible. En cavale, les amants - l'une pleine d'entrain, l'autre hanté par la crainte - se réfugient chez un commerçant. Menteur, vénal et salace, ce dernier trouve un subterfuge afin d'éloigner Shinsuke, ordonnant même de le faire exécuter. Il vend ensuite Otsuya à Tokubei, le gérant d'une maison de geishas. À peine arrivée dans le bordel, abrutie par un chiffon imbibé d'un soporifique, Otsuya devient la proie d'un artiste qui lui tatoue sur le dos une gigantesque araignée à tête de vampire féminin. Otsuya se mue alors en démone, se repaissant de la chair et du sang des hommes. Lorsqu'il retrouve sa jeune amante, Shinsuke découvre en elle un être monstrueux épris de vengeance. Mais, nourrissant le rêve de s'échapper avec elle à Osaka, il se plie à ses désirs. * L'épreuve de la cruauté Adapté de l'oeuvre de Junichirô Tanizaki, Tatouage a des allures de conte moral dont la profession de foi s'exprime tout entière dans la vindicte de la jeune femme tatouée de force comme un animal, lancée à son maquereau : "C'est vous les hommes qui m'avez voulue comme ça, je ne fais que me venger." À travers ce film historique, le réalisateur de La bête aveugle se joue des figures masculines maîtresses de la société japonaise - le père autoritaire, le marchand véreux, le souteneur peu scrupuleux, le riche samouraï - et lui tend, par l'intermédiaire de son personnage féminin, un miroir dans lequel tous basculent. Avec une grande économie de moyens, Masumura organise ce film comme une pièce de théâtre où chaque scène portée à son paroxysme chasse l'autre, inexorablement. Machine de guerre chargée de sensualité, Otsuya trouve son plaisir dans l'attirance et les tourments qu'elle suscite, dans l'inexorable mort qu'elle provoque. Conte moral plongé dans un huis clos nocturne, Tatouage se déploie comme une tragédie érotique moderne. Son pouvoir évocateur reste aujourd'hui encore intact.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 17 Mai 2007 18h35 |
| Envoyé Spécial France 2 Jeudi 24 mai 2007 de 20h50 à 23h00 (130') Enfin, le clou de cette soirée, c’est cette enquête coup de poing, caméra cachée, dans les coulisses de la prospérité chinoise. La Chine moderne se chauffe et s’éclaire au charbon. Or, outre que c’est le moyen le plus polluant de produire de l’électricité, l’extraction du précieux combustible s’y pratique dans des conditions de sécurité et d’hygiène inhumaines, dans de micro-mines clandestines où des anciens paysans percent la montagne de nuit, à la dynamite ! Les fonctionnaires, corrompus, laissent faire, et les accidents se multiplient, faisant près de six mille morts par an. (Telerama) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 24 Mai 2007 21h29 |
| samedi 26 mai à 22h00 sur la chaîne de télé Public Sénat Les Demoiselles de Nankin * Voilà un documentaire qui permet de mieux comprendre la Chine. Le cinéaste Camille Ponsin a pu poser sa caméra pendant un an sur le campus de l'université de Nankin, et suivre plusieurs étudiantes qui permettent une plongée dans l'intimité d'une certaine jeunesse chinoise comme on ne l'a jamais vue. L'extrait du documentaire ci-dessus donne le ton: une rentrée universitaire martiale et très idéologique, avec des officiers qui expliquent aux étudiantes comment aligner leurs brosses à dents dans leurs dortoirs. Mais cette simple lecture ne suffit pas: ces étudiantes jouent le jeu de l'armée, du parti communiste, du patriotisme, parce que c'est comme ça, mais, dans le même temps, elles ne sont dupes de rien, sont modernes et libres dans leurs têtes. Dans une des scènes mémorables du film, l'une d'elle rédige sa lettre de motivation pour entrer au Parti, la lit à haute voix pour ses copines, et ... éclate de rire devant la succession de proclamations patriotques empoulées qu'elle a écrite. Les mêmes "demoiselles de Nankin" parleront sexe, shopping et avenir avec le même sérieux, et décontration. Ce documentaire sera diffusé une première fois samedi à 22h00 sur la chaîne de télé Public Sénat (hélas pas disponible en dehors de la TNT ou du cable). Mais, bonne nouvelle, Public Sénat est visible en direct sur l'Internet. Y compris -j'espère- en Chine. A voir absolument. |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 25 Mai 2007 20h59 |
| ARTE samedi, 26 mai 2007 à 22:35 Rediffusions : pas de rediffusions Chacun son cinéma (France, 2006, 120mn) ARTE F Producteur: Elzevir Films À l'occasion des 60 ans du Festival de Cannes, ARTE vous réserve un programme surprise... *  Une oeuvre collective de 35 réalisateurs sur le thème de la salle de cinéma LE MONDE | 25.05.07 | 14h55 • Mis à jour le 25.05.07 | 14h55 Pourquoi les hommes ont-ils inventé le cinéma ? Pour faire pleurer les femmes, voir ces larmes qu'elles stoppent d'un revers de main ou tamponnent hâtivement à la commissure des lèvres. Tous ces débordements mille fois éprouvés par les spectatrices dans toutes les salles du monde, partout où le cinéma voyage, et les émotions avec. Des femmes en pleurs, il y en a beaucoup dans les courts métrages qu'ont livrés, à la demande de Gilles Jacob, les 35 cinéastes qu'il a sollicités pour commémorer le 60e anniversaire du Festival de Cannes. Ces petits films de trois minutes chacun sur le thème de la salle de cinéma ont été projetés aux festivaliers dimanche 20 mai. Le florilège que diffuse Arte samedi 26 mai (après Canal+ qui l'a proposé dimanche 20 mai) commence par un documentaire de Raymond Depardon, avant, pendant et après une projection à Alexandrie. Il s'achève à Londres par une saynète de Ken Loach : la conversation entre un père et son fils sur le choix d'un film commenté par leurs voisins de file d'attente. Dans l'intervalle, des pleurs donc, de femmes très belles, jeunes ou vieilles : les visages en larmes captés par Abbas Kiarostami dans une succession de gros plans, mais aussi le regard humide de Jeanne Moreau, qu'a filmée Theo Angelopoulos, celui de la dame solitaire dans une salle de cinéma où un couple fornique (Kontchalovski). Saisie par l'émotion, Emilie Dequenne laisse sa main glisser le long de sa cuisse, rencontre les doigts d'un pickpocket qui s'apprêtait à lui dérober son portefeuille. Et, sans un regard pour l'inconnu, elle les étreint et les porte à son visage (Dans l'obscurité, des frères Dardenne). Luisa Williams, l'héroïne d'Alejandro Gonzales Inarritu, s'épanche également en regardant Le Mépris et Brigitte Bardot dire à Michel Piccoli : "Je te déteste parce que tu ne parviens pas à m'attendre." En sortant, nerveuse, cigarette aux lèvres, elle enlacera son compagnon. Car le cinéma a, aussi, été inventé pour ça : pour la consolation, les caresses furtives dans la pénombre, les transes érotiques (Wong Kar-wai), les baisers qui redoublent ou non, ceux que les spectateurs contemplent à l'écran. C'est le coeur - sensible - de beaucoup de ces films courts, dont celui, très drôle, de Roman Polanski. AUTOBIOGRAPHIQUE Ce rapport intime au cinéma est traité de manière autobiographique par trois réalisateurs, Youssef Chahine, Claude Lelouch et Nanni Moretti. D'autres ont privilégié le rituel social - communion villageoise ou sortie familiale. Bref, le cinéma comme lieu où l'on fume et mange, qui apporte le monde dans les coins les plus reculés de la planète (Wim Wenders, Zhang Yimou) mais n'en protège pas non plus (Amos Gitaï) ; un plaisir que l'on goûte par tous les sens, comme en témoignent les personnages aveugles de Manoel de Oliveira de Chen Kaige. Le cinéma concilie contraires et cultures : le cow-boy texan des frères Coen tient à signaler à la sortie que le long métrage turc Les Climats lui a vachement plu. Comme ont l'air heureux les ouvriers d'Aki Kaurismaki regardant, de manière hypnotique, un film des frères Lumière. Hors catégorie, le petit scénario, empreint de flegme et d'humour noir, de Lars Von Trier. Dans tous les cas, de belles professions de foi, tissées de références cinéphiliques. Partout, tout le temps, le cinéma demeure cet oxymore : un lumineux et "obscur objet de désir". "Chacun son cinéma", samedi 26 mai, à 22 h 30 sur Arte. Macha Séry Article paru dans l'édition du 26.05.07 |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 10 Juin 2007 14h10 |
| France 4 Dimanche 10 juin 2007 de 20h40 à 22h25 (105') Showview : 93628749 Il était une fois en Chine 1 Film d'action Réalisateur : Tsui Hark Acteur : Jet Li (Wong Fei-Hung), Rosamund Kwan (tante Yee), Yuen Biao (Leung Fu), Yan Yee Kwan (Yim), Jacky Cheung (Soh), Kent Cheng (Lang), Steve Tartalia (Tiger), Wu Ma (le vieil homme) Scénario : Leung Yiu Ming, Tang Pik-Yin, Tsui Hark, Yun Kai-Chi Musique : Romeo Diaz, James Wong Titre original : Wong Fei-hung Année : 1991 1er primetime : OUI Pays : HongKong Durée : 2h08mn Censure csa : Tous publics Couleur : Couleur Nationalité : Hong kongais  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 10 Juin 2007 14h16 |
| lundi, 11 juin 2007 à 23:00 ARTE Rediffusions : pas de rediffusions Les demoiselles de Pyongyang (Royaume Uni , 2004, 89mn) ARTE F Réalisateur: Daniel Gordon Le gouvernement nord-coréen a autorisé des caméras étrangères à filmer la préparation du grand spectacle national... Un point de vue exceptionnel sur le fonctionnement de ce pays fermé au monde. Chaque année, en Corée du Nord, plusieurs millions de personnes peuvent assister durant trois semaines à un spectacle vivant unique au monde : les mass games. Ceux-ci célèbrent le régime communiste et glorifient ses chefs, Kim Il Sung et son fils, le général Kim Jung Il. Des milliers de gymnastes, enfants et adultes, s'entraînent toute l'année pour préparer cette gigantesque chorégraphie, à la fois parade idéologique et communion populaire. Pak Yon Sun et Kim Song Yon (13 et 11 ans) habitent Pyongyang, la capitale. Elles ont été sélectionnées pour faire partie du spectacle et attendent avec impatience le jour où elles pourront rendre hommage au général... |
| Ecrit par: Shaft Mardi 07 Août 2007 11h22 |
| Jeudi 30 Août, sur Arte: Le cinéma de Hongkong - Du kung-fu à Wong Kar-wai (183mn) ARTE F En dix ans, le cinéma de Hongkong a conquis le monde entier. Mais de vieux clichés subsistent : ce serait juste un cinéma de genre, exotique, avec des acteurs qu'on a du mal à reconnaître d'un film à l'autre... "Thema" tord le cou à ces idées reçues avec Jet Li (Fist of legend) et deux portraits de Christopher Doyle et Leslie Cheung. -20h40: Fist of Legend de Gordon Chan (VM, 98 mn) -22h25: Hongkong cinéma - In the mood for Doyle de Yves Montmayeur (54 mn) -23h20: Hongkong star - Leslie Cheung de David Martinez (26 mn) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 23 Août 2007 12h37 | ||
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| Ecrit par: Shaft Samedi 08 Septembre 2007 11h54 |
| Dimanche 23 septembre 2007 sur ARTE: soirée Théma: Kung-fu, du corps à l'esprit 20h40: La 36ème Chambre de Shaolin de Liu Chia-liang (111 mn) 22h35: 360° - Géo (documentaire sur Guo Jia, une jeune fille qui réalise son rêve: apprendre le kung-fu) 52 mn 23h30: Le Maître de Wudangshan (taoïsme et arts martiaux chinois internes) 52 mn |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Samedi 08 Septembre 2007 13h18 |
| Wouaw, encore un planning de luxe, c'est le pied quand même de pouvoir voir à la télé le dimanche soir autre chose que des blockbusters américains ou des séries télés. J'espère que beaucoup de gens adoreront. |
| Ecrit par: Shaft Samedi 08 Septembre 2007 13h52 |
| Ouai et perso j'attends beaucoup du 3ème documentaire, d'autant plus que je viens de lire un vieux bouquin très intéressant sur le taoïsme. Et tant mieux pour le film aussi, que je n'ai toujours pas vu. (rappelons par ailleurs que Fist of Legend est rediffusé lundi soir sur Arte, vers 1h du mat') |
| Ecrit par: Jean-Louis Dimanche 23 Septembre 2007 19h51 |
| Je rappelle que ça se déroule maintenant. |
| Ecrit par: P'tit Panda Lundi 24 Septembre 2007 11h38 |
| Mise à jour 20.09.2007 14h14 Le magazine "Des Racines et des Ailes" fête ses 10 ans en Chine Le magazine de France 3, "Des Racines et des Ailes", a bientôt dix ans. Il a choisi Beijing pour fêter son 10e anniversaire. L'équipe s'est installée pour l'occasion au coeur de la Cité interdite, dans la capitale chinoise, pour une découverte du pays avant le grand rendez-vous des J.O. 2008. "Des Racines et des Ailes" est une émission créée en novembre 1997 par Patrick de Carolis, qui est aujourd'hui Président de France Télévisions. C'est un magazine basée sur la culture, le patrimoine, et l'histoire, qui parlent de différentes civilisations européennes, et même du monde entier. Mais au juste, pourquoi a-t-il choisi Beijing pour fêter son 10e anniversaire? Isabelle Richard Rédactrice en chef Des Racines et des Ailes "C'est un rêve pour nous depuis très longtemps. La Cité interdite de Pékin, qui est en pleine mutation dans ce pays qui bouge correspond tout à fait à notre titre: des racines et des ailes. Des racines, parce que c'est important d'avoir des racines dans le monde d'aujourd'hui, pour savoir qui l'on est, et où l'on va; des ailes, parce que on s'ouvre à d'autres cultures, à d'autres personnes, à d'autres civilisations. Donc, il faut avoir les deux: des racines et des ailes pour être un être humain équilibré, généreux et ouvert aux autres." Aux yeux de l'équipe du magazine, il est intéressant de montrer le patrimoine de la Chine dans une époque en plein changement, notamment à la veille des J.O. 2008. L'enthousiasme des Chinois pour ce grand événement a impressionné l'équipe. Louis Laforge Présentateur Des Racines et des Ailes "On sent l'attention qui monte, et puis je vois aussi la transformation de la ville: les grands bâtiments qui sortent de terre, des complexe olympique pratiquement terminés. On sent effectivement une effervescence. Je suis persuadé que la Chine et Pékin seront prêts le jour J pour ce grand événement planétaire." Outre le reportage sur la Cité interdite, l'équipe compte faire d'autres sur la ville de Confucius - Qufu -, sur la Grande Muraille, et bien-sûr sur les préparatifs des JO. Source: CCTV |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 26 Septembre 2007 11h48 |
| dimanche, 30 septembre 2007 à 20:45 Chine et traditions (225mn) ARTE France Splendeurs glacées d'Épouses et concubines, virtuosité et discipline des jeunes artistes de l'Opéra de Pékin, grandeurs et misères architecturales de la capitale impériale : ce soir, "Thema" se laisse fasciner par la Chine éternelle. * dimanche, 30 septembre 2007 à 20:45 Rediffusions : 07.10.2007 à 23:40 12.10.2007 à 14:50 18.10.2007 à 14:50 Épouses et concubines (Chine, 1991, 120mn, VM) ARTE F Réalisateur: Zhang Yimou Scénariste: Ni Zhen Image: Zhao Fei Musique: Zhao Jiping Montage: Du Yuan Avec: Chu Xiao, Cui Zhihgang, Cao Quifen, Gong Li, He Caifei, Jin Shuyuan, Kong Lin, Ma Jingwu Production: Era Int./Cina Film Producteur: Chiu Fu-Sheng Dans la Chine des années 20, un huis clos hiératique qui retient prisonnière la splendide Gong Li, broyée par des lois sociales impitoyables. La Chine du Nord dans les années 20. Songlian, 19 ans, est contrainte d'abandonner ses études à la mort de son père. Pour subvenir à ses besoins, elle se résigne à devenir la quatrième épouse du riche maître Chen. Arrivée dans la demeure de ce dernier, elle est aussitôt impliquée dans les luttes auxquelles se livrent les autres épouses. Avec pour enjeu la lanterne rouge, signe de la faveur du maître et donc du pouvoir sur la maison.  Les emmurées Épouses et concubines est une oeuvre magnifique, tant sur le fond que sur la forme. Comme dans Le sorgho rouge et Ju Dou, Zhang Yimou dénonce les rigidités sociales et prend la défense des femmes, principales victimes d'un pouvoir masculin écrasant. Si Songlian est belle, instruite, volontaire, sa jeunesse et son impétuosité vont se briser sur le mur de la tradition féodale. Zhang Yimou ne se contente pas d'étudier les rapports de sexe. Avec le personnage de Yan'er, la servante de Songlian, il introduit les rapports de classe. Pour avoir rêvé de devenir concubine, celle-ci est durement châtiée. La beauté presque étouffante des décors, des costumes, des lumières, semble resserrer encore le piège qui enferme les deux jeunes femmes. Et la demeure de maître Chen, comme roidie par le froid et le brouillard, rythmée par des rituels hiératiques, se fait tour à tour forteresse, échiquier et tombeau. Ce film est diffusé en version multilingue * dimanche, 30 septembre 2007 à 22:50 Rediffusions : 04.10.2007 à 05:00 06.10.2007 à 08:55 09.10.2007 à 02:00 14.10.2007 à 06:00 Les enfants de l'Opéra de Pékin (France, 2007, 52mn) ARTE F Réalisateur: Christian Dumais-Lvowski, Don Kent L'apprentissage rigoureux des enfants et des adolescents sélectionnés par le prestigieux Opéra de Pékin, filmés pour la première fois dans leur quotidien.  Pour la première fois de son histoire, l'école de l'Opéra de Pékin, la plus importante et la plus prestigieuse des écoles d'art scénique traditionnel chinois, a ouvert les coulisses de sa vie quotidienne à une équipe de tournage. Construit autour de la journée type de quelques-uns des jeunes élèves et de leurs professeurs, ce documentaire permet de les accompagner depuis l'aube jusqu'au soir dans toutes leurs activités, scolaires et artistiques. Et ce sont les bouilles réjouissantes de Wang Yu, apprenti "clown combattant" d'une dizaine d'années, et de certains de ses pairs, garçons et filles, qui nous initient, avec leurs professeurs, aux subtilités raffinées des "héroïnes fleurs", des "chaussures échasses", du combat chorégraphié ou du maquillage. Enseignement général, acrobaties, arts martiaux, chant et musique, répétitions des spectacles (en France, c'est la MC93 de Bobigny qui a accueilli le plus souvent leurs prouesses) : la discipline s'apparente à celle d'une académie militaire. Mais une même flamme semble animer élèves et maîtres, autour de traditions artistiques multiséculaires, dont la vitalité, grâce à eux, se renouvelle au jour le jour. Dans cette nation de 1,3 milliard d'individus, la concurrence est acharnée, et seuls quelques-uns des petits héros de Don Kent, malgré leur impressionnante virtuosité, deviendront des étoiles. Dans un paysage en constant bouleversement, cette communauté soudée, chaleureuse dans sa rigueur, s'apparente à un îlot irréductiblement ancré dans l'histoire. * dimanche, 30 septembre 2007 à 23:40 Rediffusions : 16.10.2007 à 05:00 19.10.2007 à 01:50 19.10.2007 à 09:55 Pékin nous ouvre ses portes (Chine, 2005, 49mn) ARTE F Réalisateur: Fu Qiong Autour de la renaissance de la porte de Yongdingmen, une promenade inédite dans le patrimoine et l'architecture de la ville. En septembre 2005, un demi-siècle après sa démolition, la porte de Yongdingmen a retrouvé sa place à l'extrémité sud de l'axe central de la ville de Pékin. Sa reconstruction, l'un des projets phares de l'urbanisme chinois, censé illustrer l'esprit humaniste des Jeux olympiques de 2008, a suscité de nombreuses controverses. Pourquoi reconstruire un monument historique disparu depuis si longtemps ? Quels étaient à l'origine les motifs de sa destruction ? Pour retracer l'histoire de ce chantier, le film part à la rencontre de ceux qu'un lien personnel relie à l'ancienne porte impériale : un vieil ingénieur qui restaura le monument d'origine, puis participa à sa démolition ; un journaliste qui passa dix ans à enquêter sur les portes de Pékin ; un officiel investi dans le projet de reconstruction ; un expert ayant veillé à l'authenticité historique de la nouvelle version... Comme toutes les mégapoles chinoises, Pékin subit depuis une décennie une mutation accélérée, encore plus frénétique à l'approche des JO. En musardant autour de la porte de Yongdingmen, Qiong Fu nous restitue un siècle de l'histoire architecturale de la capitale. |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 28 Septembre 2007 18h08 |
| Rappel : "Fearless" ce soir à Canal + |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Dimanche 30 Septembre 2007 19h58 |
| Je reup pour rappeler à ceux qui voulaient voir épouses et concubines et les docs que ça passe maintenant. En plus de ce que p'tit panda a déjà cité, il y a aussi une rediff de la 36e chambre plus tard dans la soirée. |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Octobre 2007 12h52 |
| Sayuri strip-teaseuse (Japon, 1972, 66mn) ARTE JEUDI 11 octobre 2007 à 00h35 Rediffusion VENDREDI 12 octobre 2007 à 03h00 Réalisateur: Tatsumi Kumashiro Image: Sinsaku Himeda Musique: Noburu Seta Montage: Akira Suzuki Avec: Akira Takahashi, Gô Awazu, Hiroko Isayama, Kazuko Shirakawa, Moeko Ezawa, Sayuri Ichijo, Shoichi Ozawa Auteur: Tatsumi Kumashiro Production: Nikkatsu Producteur: Akira Miura Réalisé par l'un des maîtres du pinku-eiga - le cinéma érotique japonais -, ce film de la nouvelle vague nippone chronique le quotidien d'hommes et de femmes mis au ban de la société. Au Japon, au début des années 1970, la police procède à des raids dans tous les clubs de danse érotique. Toute strip-teaseuse est susceptible d'être verbalisée pour attentat à la pudeur. Dans l'un de ces clubs, à Osaka, officie Sayuri Ichijo. Rendue célèbre grâce à une émouvante biographie, Sayuri joue dans les dernières représentations de son "spectacle des bougies", durant lequel elle verse de la cire brûlante le long de son corps. La jeune femme a décidé de se retirer pour commencer une nouvelle existence comme serveuse dans un petit restaurant. Dans l'ombre de la star vivent d'autres danseuses, dont Harumi, une jeune paumée assoiffée de gloire, immature, irascible et bagarreuse. Issue des bas quartiers, passant dans les bras de nombreux hommes, Harumi aimerait être une légende pour la dizaine de spectateurs qui la regardent en se masturbant. Elle entre en rivalité avec Sayuri, s'essaye maladroitement au spectacle des bougies et s'exerce face à un miroir à devenir, elle aussi, une femme fontaine. Le bal des paumés Réalisateur des studios de la Nikkatsu pendant les années 70, cinéaste méconnu hors du Japon, Tatsumi Kumashiro (La rue de la joie, La femme aux cheveux rouges), décédé en 1995, reste l'un des grands maîtres du pinku-eiga. Dans ce quatrième long métrage, le sexe participe moins du voyeurisme que d'un lyrisme révélateur du moi profond des personnages, comme dans la mise en scène spectaculaire de l'orgasme par Sayuri Ichijo. Caméra à l'épaule, avec très peu ou pas d'éclairage, tournant des scènes à la va-vite dans les espaces publics, le réalisateur saisit sur le vif ces femmes et ces hommes à la marge de la société, paumés pour la plupart. Le film réussit à suggérer que son personnage principal, l'antipathique et pathétique Harumi, malgré tous ses défauts, est un animal fragile, sensible, sans conscience. Véritable succès au box-office nippon en 1972, Sayuri, strip-teaseuse s'inscrit comme un prolongement libre, ultramoderne, des grandes oeuvres du cinéma japonais sur la pauvreté comme Les bas-fonds d'Akira Kurosawa.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Octobre 2007 12h55 |
| Printemps, été, automne, hiver… et printemps Sur ARTE le lundi 15 octobre 20.40 Une fable zen, d’une magnifique beauté plastique, sur les épreuves de la vie, signée Kim Ki-Duk, cinéaste coréen hors normes. (Bom yeoreum gaeul gyeoul geurigo bom) Film de Kim Ki-Duk (Corée du Sud, 2003, 1h38mn, VM) Scénario : Kim Ki-Duk Avec : Oh Young-Su (le vieux moine), Kim Ki-Duk (le moine adulte), Kim Young-Min (le jeune moine), Seo Jae-Kyung (l’adolescent moine), Ha Yeo-Jin (la jeune fille) Image : Baek Dong-Hyun • Montage : Kim Ki-Duk Musique : Bark Jee-Woong Coproduction : LJ Films, Korea Pictures, Pandora Films, Cineclick Asia, KBS Media, Filmforderung Hamburg Quatre prix au Festival de Locarno 2003 Prix du public au festival de San Sebastian 2003 Sur un lac aux eaux calmes, perdu au fond d’une vallée encaissée, se trouve un petit temple flottant. Un vieux maître zen et son disciple, un petit garçon, y vivent en harmonie avec la nature. Le passage des saisons rythme les différents cycles de la vie du jeune moine. Au printemps survient la perte de l’innocence. L’été accompagne l’éveil du désir et de la passion, qui consument les sens et égarent les esprits. En automne explosent la violence et la destruction. L’hiver est l’âge de la raison et de la rédemption. Puis arrive un nouveau printemps, celui de la sagesse et de la transmission : le disciple est devenu maître à son tour. Les âges de la vie Printemps, été, automne, hiver… et printemps est une fable épurée sur les différentes étapes de la vie, marquée par des joies et des épreuves menant peu à peu vers la sérénité. Ni réellement méditative ou contemplative, elle frappe tout d’abord le spectateur par sa splendeur visuelle. Réalisateur à part dans le paysage cinématographique sud-coréen, Kim Ki-Duk est un esthète convaincu, venu étudier l’art à Paris au début des années 1990, où il fut également peintre. Tourné dans un cadre naturel d’une exceptionnelle beauté, le site du lac de Jusan, ce parcours initiatique est parsemé de détails étranges, tel un chat dont la queue sert soudain de pinceau, ou des portes qu’aucun mur ne soutient. Cette tonalité légère et surréaliste tempère le symbolisme d’un film où se retrouvent les thèmes de prédilection du cinéaste : l’omniprésence de l’eau (L’île, The Coast Guard, L’arc), des personnages marginaux, parlant peu (Locataires), ou l’opposition entre un monde moderne violent et une nature isolée source d’apaisement. Acteur pour la première fois dans un de ses propres films, Kim Ki-Duk interprète le moine parvenu à l’âge de la maturité.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Octobre 2007 12h56 |
| Sur ARTE le mercredi 17 octobre à 23.10 Bombay Pour Shekar et Shaila, le coup de foudre est réciproque dès leur première rencontre. Mais il est hindou, elle est musulmane… Avec Bombay, Mani Ratnam fait évoluer le genre Bollywood vers un cinéma beaucoup plus réaliste, voire politique. Film de Mani Ratnam (Inde, 1995, 2h21mn, VOSTF) Scénario : Mani Ratnam, Umesh Sharma Avec : Arvind Swamy (Shekhar Mishra Narayan), Manisha Koirala (Shaila Brano), Tinnu Anand (Shakti Samaj Leader), Nasser (Nazar) Image : Rajiv Menon Montage : Suresh Urs Musique : A.R. Rahman Production : A.B.C.L., Madras Talkies Prix du meilleur film et du meilleur réalisateur aux Filmfare Awards Shekar, étudiant en journalisme, revient voir sa famille dans son village. Lorsqu’il aperçoit Shaila, pourtant dissimulée derrière son voile, il tombe instantanément amoureux. Mieux encore : le sentiment est réciproque. Mais les parents hindous de Shekar ne l’entendent pas de cette oreille, pas plus que ceux de Shaila, musulmans. Les deux amoureux s’enfuient à Bombay où ils se marient civilement. De délicieux jumeaux viennent parfaire leur bonheur. Mais l’horreur fait irruption dans leur vie comme dans celle de milliers d’habitants de Bombay, avec les émeutes qui éclatent dans la ville à la suite de la destruction d’une mosquée par des fondamentalistes hindous. Dans les bagarres de rue, Shekar et Shaila perdent les jumeaux… Les émeutes de Bombay Avec ce film, dont toute la première partie fonctionne entièrement selon les règles et l’esthétique du cinéma bollywoodien et enchante par ses décors et sa musique, Mani Ratman est le premier réalisateur indien à avoir osé parler des émeutes de Bombay au début des années 90. Scènes de violence, dévastations, massacres sont tournées caméra à la main et donnent à cette partie du film un aspect quasi documentaire. Bombay devient ainsi un témoignage bouleversant sur un épisode particulièrement noir de l’histoire indienne. Malgré sa dureté, le film a conquis le public autant que la critique et demeure le plus grand succès à ce jour de Mani Ratman. Le cinéaste a continué à développer le mélange entre le genre Bollywood et la dénonciation politique dans des films comme Dil Se (1998) sur le conflit au Cachemire ou Yuva (2004) sur la corruption dans l’administration indienne.  |
| Ecrit par: David-Olivier Jeudi 11 Octobre 2007 22h38 |
| Reportage + interview de Jet Li en ce moment sur Arte |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 17 Octobre 2007 10h04 |
| La 36eme chambre de Shaolin repasse cet AM sur ARTE à 14h55. |
| Ecrit par: Jean-Louis Lundi 29 Octobre 2007 13h44 |
| M6 diffuse ce jeudi 1er novembre à partir de 13h35 une mini série américaine réalisée "Le fils du Dragon" par David Wu (le monteur de John Woo et Christophe Gans) avec pas mal d'acteurs HK comme Theresa Lee, Michael Chow, Ku Feng, etc. lien site m6 : http://www.m6.fr/cms/display.jsp?id=p2_802808 lien imdb : http://www.imdb.com/title/tt0874679/   |
| Ecrit par: abdelali Dimanche 11 Novembre 2007 21h51 |
| Dernière diffusion de Big Brother (Miracles) en nouvelle VF version integrale sur ciné famiz demain le Lundi 12 Nov 2007 à 11h30 du mat http://www.cinecinema.fr/prog/fiche.html?PROG_ID=190907&CHAN_ID=4 |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Dimanche 11 Novembre 2007 22h28 | ||
Nouvelle VF ? Et tu te souviens de qui était le distributeur en ayant matté le film ? Ca serait cool qu'il sorte celui-ci, car je trouve l'édition américaine un peu décevante bien que sous-titrée français et intégrale. |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 16 Novembre 2007 01h44 |
| THALASSA France3 / Vendredi 16 nov , 20h55 Shanghai - Xiamen   Georges Pernoud et le tour du monde de Thalassa fait escale à Shanghai, au cœur du nouvel Eldorado chinois. Shanghai, c’est la vitrine commerciale de la Chine : une ville ultra moderne dont les grattes ciels dépassent désormais ceux de Manhattan, mais qui garde encore des souvenirs du temps des concessions étrangères. Cette nouvelle prospérité affichée vient de la mer. Par milliers, les conteneurs quittent les ports de la cote orientale chinoise en direction du monde entier. Dans cette ronde infernale du commerce mondial, le port de Shanghai ne revendique qu’une place : la première. Et pour cela, il faut parfois littéralement déplacer des montagnes. Mais il y a aussi des succès plus discrets, comme celui de Yiwu. Cette ville est devenue la capitale mondiale des petits articles de consommation courante et les commerçants de toute la planète, et notamment d’Afrique, viennent ici faire leurs courses. Enfin, la Chine est aussi le royaume des perles..Un savoir-faire ancestral… qui lui aussi s’exporte. http://www.thalassa.france3.fr/index-fr.php?page=emission&id_rubrique=15   |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 16 Novembre 2007 23h05 |
| Viens de voir Thalassa. Vraiment impressionnant... La Chine, maître du monde dans qq années, on vous aura prévenu.... PS : y'a une suite la semaine prochaine : RESUME : Thalassa continue son périple en eaux chinoises à bord du «CMA-CGM Nabucco» pour cette 9e étape de son tour du monde. Les îlotiers de Hong Kong. La police maritime de cet archipel a la réputation d'être l'une des plus modernes et efficaces qui soient. Mais au-delà du port de commerce et de la baie, très fréquentés, les policiers sont aussi affectés à la surveillance des quelque 250 îles alentour... La milliardaire de la chaussette. Jadis modeste institutrice, Madame Hong a créé de toutes pièces un empire de la chaussette en une vingtaine d'années... Porcelaine, armagnac et laque de Chine... Jacques-François Ryst, homme d'affaires français, s'est spécialisé dans le commerce de l'armagnac, qu'il échange contre des antiquités chinoises... La révolution de la palourde. La ville côtière de Haiyang s'est développée grâce au ramassage massif des palourdes... Les tribulations d'un papier en Chine. La Chine est en train de bouleverser le marché du recyclage du papier en devenant le 1er importateur mondial de papiers et cartons récupérés... |
| Ecrit par: Hotsu Vendredi 16 Novembre 2007 23h19 |
| J'ai regardé aussi J'ai apprécié voir des images d'archives sur le Shanghai des années 30 rdv pris pour la semaine prochaine alors |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 22 Novembre 2007 00h22 |
| Mardi 27 nov, 22h45 - TF1 "Le droit de savoir" : "Un an au coeur de la communauté asiatique" "La communauté asiatique de France est très mystérieuse. Pour décoder et décrypter son fonctionnement, une équipe du magazine a passé une année au coeur du Chinatown français, aux côtés de quelques personnages hauts en couleur. De Belleville au XIIIe arrondissement de Paris, en passant par certaines villes de province, Mohamed Sifaoui et Jean-Pierre Boka ont ainsi rencontré des hommes d'affaires mais aussi des délinquants issus de cette communauté afin d'aborder avec eux des questions comme l'immigration clandestine, le travail au noir et la prostitution. Les deux journalistes ont également suivi des inspecteurs de l'URSSAF lors de plusieurs activités de contrôle dans des commerces chinois. Un document qui permet également d'en savoir davantage sur la délinquance qui sévit dans cette communauté asiatique de Paris et de province." (Telerama.fr) * |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 22 Novembre 2007 00h35 |
| TV5 MONDE lundi 26 nov, 17h rediffusion : 3 déc, 5h00 SECRETS DE CUISINE DE LA CITÉ INTERDITE Documentaire société. En Chine, la cuisine impériale est à la mode en ville comme à la table des dirigeants communistes. C'est à Pékin, au coeur de la Cité Interdite, dans le palais gouvernemental de Diaoyutai, réservé aux hôtes de marque de la Chine, que Madame Liu distille depuis longtemps une gastronomie des plus raffinées. Elle cuisinait déjà du temps de Mao et elle étudie aujourd'hui les recettes impériales dans les archives de la Cité Interdite. Elle a accès aux produits et aux ingrédients les plus rares, afin de pouvoir servir aux hôtes du palais la véritable cuisine impériale. Réalisation : Frédéric Laffont, 2006. Pays : France annee : 2006 Durée : 52' |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 22 Novembre 2007 00h43 |
| ARTE / mercredi 28 nov, 20h40 Rediffusions : 02.12.2007 à 17:35 11.12.2007 à 09:55 Le sac de Nankin France, 2007, 52mn Réalisateur: Serge Viallet Après le magistral Japon sous les décombres, Serge Viallet revient sur l'un des épisodes les plus noirs de l'occupation de la Chine par l'armée nippone : la conquête et les massacres de Nankin, il y a soixante-dix ans. * En novembre 1937, Shanghai, la plus grande ville de Chine, tombe après trois mois d'une résistance acharnée, menée par Tchang Kaï-chek et ses partisans, face à une armée japonaise dont les stratèges avaient cru l'emporter en huit jours. La route de la capitale historique de l'empire du Milieu, Nankin, à 300 km à l'ouest, est désormais ouverte aux bataillons nippons, qui s'y dirigent à marche forcée et l'encerclent. Dans les campagnes, déjà, les troupes ont commis des massacres de civils et des viols en série. Mais après leur entrée dans Nankin, le 13 décembre, elles se livrent, deux mois durant et en violation de toutes les lois de la guerre, à un déchaînement de violence aveugle qui fait 200 000 victimes, militaires et civils mêlés. Des missionnaires américains recensent jusqu'à mille viols par jour. Des faits que le Japon, vaincu et occupé, ne découvrira qu'en 1947, lorsque le tribunal international de Tokyo jugera vingt-cinq de ses hauts dirigeants pour leurs responsabilités dans une guerre de colonisation qui, au total, aura fait plus de 20 millions de morts en Asie et dans le Pacifique. Le général Iwane Matsui, fêté comme un héros dix ans plus tôt pour la conquête de Nankin, sera condamné à la pendaison. Sa dépouille, ainsi que celles du Premier ministre Tojo et d'autres condamnés de 1947, sera transférée en 1978 au sanctuaire de Yasukuni, dans la capitale nippone, lors d'une décision toujours controversée sur la scène internationale, notamment par la Chine et par la Corée. ** Un passé qui ne passe pas Après Le Japon sous les décombres, remarquable documentaire en deux parties sur la défaite japonaise et l'occupation américaine réalisé soixante ans après les faits et diffusé par ARTE, Serge Viallet continue d'explorer l'histoire de la Seconde Guerre mondiale en Asie. Son film part du procès de 1947 pour raconter, chronologiquement, ce que l'on sait aujourd'hui des massacres de Nankin, et tente d'en éclairer les causes profondes. Vent de folie ? Ordre de la hiérarchie ? Bien des zones d'ombre subsistent, qu'une partie du Japon d'aujourd'hui rechigne à regarder en face, comme l'illustrent les récits d'anciens bourreaux "ordinaires", effrayants dans leur sécheresse. Avec les témoignages de villageois chinois qui subirent l'occupation japonaise, ils montrent combien les atrocités passées pèsent sur le présent, faute d'avoir été, à ce jour, pleinement reconnues. (ARTE.TV) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 22 Novembre 2007 01h08 |
| sur FRANCE 3 Mercredi 5 décembre à 20h55 LES RACINES & LES AILES  10 ans : Spécial Chine A l’occasion de ses 10 ans, Des Racines & des Ailes vous propose une émission exceptionnelle en Chine. Nous installerons notre plateau au cœur de la Cité interdite à Pékin. Au sommaire de cette émission, 4 reportages…Deux seront consacrés à la Chine impériale avec un reportage sur la Cité interdite et un autre sur le Palais d’été…. Nous sommes également partis sur les traces de Confucius, dans sa ville natale, QU FU, une ville classée au patrimoine mondial de l’Unesco. Nous comprendrons pourquoi il y a dans la société chinoise d’aujourd’hui un véritable regain d’intérêt pour ce philosophe. QU FU, c’est aussi un site pilote, pour la valorisation du patrimoine……. Enfin nous nous intéresserons à la préparation de Pékin aux Jeux Olympiques de 2008. Comment la ville se prépare à recevoir cette grande manifestation, la première du XXI ème siècle. L’émission Des Racines & des Ailes vous présentera 4 reportages : - Au cœur de la Cité Interdite - Palais d’été, un jardin chinois - L’héritage de Confucius - Pékin, à l’heure des jeux Invités plateaux : Monsieur Dong Qiang : professeur à l’université de Pékin Madame Song Jianing : Journaliste à la CCTV. En exclusivité sur le site, retrouvez le making of de cette émission spéciale ! (France3.fr) lien : http://programmes.france3.fr/des-racines-et-des-ailes/index-fr.php?page=emission&id_article=1 |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 22 Novembre 2007 01h17 |
| France 3 , Vendredi 23 nov 20h55 THALASSA Xiamen - Chiwan Laissant derrière lui les lumières éblouissantes de Shanghai, notre cargo continue sa route chinoise. Les ports se transforment à grande vitesse, et les temps d’escale raccourcissent, orchestrés par des dockers de plus en plus rapides, et par des grues de plus en plus modernes. Le cœur vivant du commerce mondial s’impose sur les quais chinois, et les questions sur la mondialisation se bousculent…aussi. Sur notre route, nous nous arrêterons dans l’archipel de Hong Kong pour patrouiller avec les "îlotiers" de la police maritime. D’île en île, ils assurent la sécurité de la population. Et puis nous suivrons les tribulations d’un français en Chine : il vend son armagnac aux chinois et revient en France avec des vieux meubles et de la porcelaine, et les tribulations d’un papier qui vient de France pour se faire recycler en Chine. Enfin, nous raconterons la success story d’une grand-mère : elle a fait fortune dans la chaussette… mais a su rester modeste.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 28 Novembre 2007 18h42 |
| A ne pas manquer : A voir sur la chaîne ARTE (France) : LE SAC DE NANKIN France, 2007, 52mn, documentaire Réalisateur: Serge Viallet mercredi, 28 novembre 2007 à 20:40 (Les Mercredis de l'Histoire) Rediffusions : 02.12.2007 à 17:35 11.12.2007 à 09:55 "Après le magistral Japon sous les décombres, Serge Viallet revient sur l'un des épisodes les plus noirs de l'occupation de la Chine par l'armée nippone : la conquête et les massacres de Nankin, il y a soixante-dix ans." (Arte.tv) http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=775358,day=5,week=48,year=2007.html |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 05 Décembre 2007 19h09 | ||
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| Ecrit par: china Mercredi 05 Décembre 2007 22h51 |
| c'était très généraliste mais pédagogique, bref un programme du service public |
| Ecrit par: Jean-Louis Jeudi 06 Décembre 2007 19h18 |
| Ce qui m'a le plus surpris, c'est l'excellent français du professeur chinois... qui ressemblait un peu à Aaron Kwok !!! PS : j'ai appris de nombreuses choses ds cette émission, donc ct plutôt réussi pour moi |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 07 Décembre 2007 22h52 |
| Chaussures Made in Wenzhou (ARTE samedi 8 décembre à 21h30) Comment, en Chine, la capitale mondiale de la chaussure songe à délocaliser sa production en Afrique. «Pas de réussite sans bonnes chaussures.» À Wenzhou, mégapole portuaire de l'est de la Chine, ce vieil adage national s'applique plus qu'ailleurs. Si la quasi-totalité des lunettes, des rasoirs, des clés et des cadenas made in China, ainsi que 80 % des briquets vendus dans le monde, s'y fabriquent, Wenzhou est avant tout la capitale mondiale de la cordonnerie. Une première place encore incontestée, même si le système commence à montrer des signes de faiblesse. Depuis quelque temps, les coûts de production augmentent, et les entrepreneurs, comme le fabricant Jian Ping Wang, ont désormais les yeux rivés sur l’Afrique… Son employé Yi You Xu, qui à force d’économies en seize ans de dur labeur, a grimpé les échelons, acceptera-t-il d’aller travailler au Nigeria, pour une délocalisation à la chinoise ? 360° - GÉO analyse le fonctionnement de la Chine moderne, à travers une industrie qui emploie 400 000 personnes et produit environ un milliard et demi de paires de chaussures par an. http://www.arte.tv/fr/connaissance-decouverte/geo-360/1761008.html |
| Ecrit par: OncleTom Samedi 08 Décembre 2007 22h22 |
| Dimanche 9 décembre à 20h45 sur W9 : Piège a HongKong (Knock Off). |
| Ecrit par: Hotsu Dimanche 09 Décembre 2007 12h48 |
| Putain les boules de pas avoir la TNT ! Les deux films américain de Tsui Hark m'attirent vraiment. De toute façon je compte me les choper en dvd un de ces 4. |
| Ecrit par: lawlaw Samedi 29 Décembre 2007 18h05 |
| Sur canal en janvier : Election 1 et Election 2 |
| Ecrit par: Jean-Louis Samedi 29 Décembre 2007 18h22 | ||
sur canal + bleu hélas !!!!!!!!!! (j'ai que canal analogique... ) |
| Ecrit par: lawlaw Samedi 29 Décembre 2007 18h38 |
| C'est pas de bol, moi je pourrai les voir. |
| Ecrit par: manolo Dimanche 30 Décembre 2007 21h32 |
| En janvier, il y a Vampire Hunters sur RTL9 mais je ne sais plus quel jour. |
| Ecrit par: lawlaw Dimanche 30 Décembre 2007 21h59 |
| Connais pas. |
| Ecrit par: David-Olivier Dimanche 30 Décembre 2007 22h40 | ||
Il suffit d'aller voir dans la base : http://www.hkcinemagic.com/fr/movie.asp?id=3865 |
| Ecrit par: Jean-Louis Lundi 31 Décembre 2007 00h07 |
| Faudrait vraiment que je me décide un jour à me brancher la TNT.... |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 24 Janvier 2008 23h40 |
| ENFANTS BANANE Vendredi 1er février à 23h25 sur France3  "Enfant Banane" est un terme qui désigne les enfants issus de l’immigration asiatique, plus précisément "jaunes à l’extérieur et blancs à l’intérieur". A l’occasion d’un séjour linguistique à Pékin, des adolescents chinois d’origine, scolarisés en France, parlent de leurs rêves d’adultes et échangent leurs questionnements sur l’identité ... Réalisé par Cheng Xiao Xing Produit par Les Films d’Ici, avec la participation de France 3 "Enfant Banane" est un terme qui désigne les enfants issus de l’immigration asiatique, plus précisément "jaunes à l’extérieur et blancs à l’intérieur". A l’occasion d’un séjour linguistique à Pékin, des adolescents chinois d’origine, scolarisés en France, parlent de leurs rêves d’adultes et échangent leurs questionnements sur l’identité. La communauté chinoise en France s’accroît de manière accélérée depuis le milieu des années 80. Elle joue un rôle de plus en plus important dans la société française, parallèlement à l’essor de la Chine sur la scène internationale. Aujourd’hui, une nouvelle génération issue de cette immigration oscille entre la tradition héritée de ses parents, et la société française. Jusqu’à ce jour, peu de films ont pu décrire de l’intérieur, les modes de vie de cette communauté en France. Cheng Xiao Xing, réalisateur d’origine chinoise dont un film fut primé au Cinéma du Réel en 2006, dresse ici un portrait collectif d’un groupe d’adolescents franco-chinois envoyés par leurs parents en Chine pour "réapprendre" le chinois, le temps d’un séjour d’été. Conscient du double décalage présent dans leur discours : d’un côté de jeunes chinois en France, à travers l’image qu’ils donnent à voir, et d’adolescents parisiens en Chine, il suit le groupe au cours d’un séjour linguistique à Pékin, depuis Paris jusqu’à leur retour en France. L’espace-temps de cette colonie de vacances où les enfants se retrouvent avec d’autres qui ont une histoire similaire, est propice aux confidences sur les problématiques liés à leur âge et à leur origine. Céline, Olivier, Nicolas et Dong, abordent le questionnement identitaire, le rapport à la langue et à la culture chinoise, le rapport à la tradition et à l’autorité parentale, ainsi qu’une projection très personnelle sur leur avenir... (http://programmes.france3.fr/documentaires/index-fr.php?page=documentaires-archives-articles-detailles3&id_article=113) |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 05 Février 2008 00h29 |
| mercredi, 6 février 2008 à 22:45 Rediffusions : 07.02.2008 à 14:55 11.02.2008 à 14:55 21.02.2008 à 14:55 Il était un père (Japon, 1942, 86mn, VOSTF) ARTE F Réalisateur: Yasujiro Ozu Image: Yuuharu Atsuta Musique: Kyoichi Saiki Montage: Yoshiyasu Hamamura Acteur: Chishu Ryu, Masayoshi Otsuka, Mitsuko Mito, Shin Saburi, Shinichi Himori, Shûji Sano, Takeshi Sakamoto Auteur: Tadao Ikeda, Takao Yanai, Yasujiro Ozu Production: Shochiku Kinema Kenkyû-jo Producteur: Rishichiro Isono Grandeur et souffrances d'une relation père-fils sur plusieurs décennies. Une chronique sur la transmission des valeurs et la fuite du temps, où s'affirme le style du maître du cinéma japonais. Ils sont deux, étroitement et tendrement liés : le petit Ryohei et son père, le professeur Horikawa, qui l'élève seul depuis la mort de sa femme. Ponctuée par les petites joies du quotidien, leur existence s'écoule paisiblement. Mais un drame vient bouleverser leurs vies : échappant à la surveillance de Horiwaka lors d'un voyage scolaire, l'un de ses élèves se noie. L'instituteur, qui se juge coupable de n'avoir pas su prévenir la tragédie, donne sa démission. Mais il est déterminé à inculquer à son fils le sens du devoir, qui, selon lui, lui a fait défaut. Afin de lui imposer un sévère cadre d'étude, il décide de l'envoyer en pension. Pour Ioyeishi, l'heure de la séparation a sonné...  Métaphysique de l'intime Inédit en France, Il était un père est un des rares films tournés pendant la Seconde Guerre mondiale au Japon. Si ce contexte particulier n'affleure qu'en toile de fond, la mort semble hanter chaque plan. Qu'elle fauche une jeune vie ou transforme en vieillard un père dans la force de l'âge, son omniprésence donne à cette fresque intime son caractère métaphysique. Quel sens donner à sa vie ? Quel héritage laisser à son enfant ? Voici les questions auxquelles Ozu tente de donner chair à travers cette histoire faite de tendresse, d'incompréhension, de violence parfois. Pour mettre en scène des destins façonnés par une société où le devoir prime sur le bonheur individuel, le cinéaste choisit la voie de la pudeur : ainsi de cette émouvante scène de pêche, exaltation de l'amour filial, où les gestes des personnages s'accordent harmonieusement au gré de l'eau. Sous une apparente sobriété, le cinéaste distille des plans lumineux et stylisés, élaborant un langage pictural qui marquera définitivement le 7e art japonais. |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 05 Février 2008 00h36 |
| Date : Mardi 5 Février sur ODYSSEE Début : 21:40 Carnets de Chine Série documentaire , France Durée : 27 minutes Résumé : Les 56 minorités nationales de Chine sont des ethnies non issues du peuple Han, majoritaire et fondateur de la dynastie chinoise. Ces minorités sont fixées principalement dans le sud et l'ouest de la Chine, elles représentent 70 millions d'habitants. Deux d'entre elles sont abordées ici, les Naxi, avec leur capitale Lijiang, et les Baï, avec leur capitale Dali, dans la province du Yunnan, limitrophe du Vietnam, de la Birmanie et du Laos. Lijiang est une ville traditionnelle, bâtie à flanc de montagne, arrosée par de nombreux canaux et classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco. La culture Naxi, quant à elle, conserve une écriture à base de dessins et une musique pour grand orchestre jouée en Chine au 10ème siècle. Ce documentaire, en forme de voyage aux frontières chinoises, montre comment ces peuples minoritaires, porteurs d'une forte identité, donnent à leur territoire une couleur particulière et résistent à l'uniformité. * Date : Mardi 5 Février sur ODYSSEE Début : 22:10 Carnets de Chine Série documentaire , France Durée : 26 minutes Résumé : La légende des jardins chinois commence dans les montagnes jaunes, où les pics flottant au-dessus des nuages ont inspiré les peintres et les poètes. Inspirés de ces montagnes, les jardins chinois obéissent à certains codes, à certaines règles. Ils ont tous une base commune : de l'eau, une colline, des bonzaïs, des poissons. Suzhou et Yangzhou, deux villes non loin de Shanghai, ont les jardins les plus célèbres de Chine. Lieux propices à la méditation et à l'échange philosophique, les riches propriétaires y conviaient aussi leurs amis pour des fêtes et des banquets, des concours de poésie, de peinture et de calligraphie. Rien n'est trop beau pour orner ces jardins, comme les marbres de Dali, ou comme les blocs de calcaire taillés puis jetés dans un lac plusieurs années et emmenés ensuite, torturés par l'érosion, jusqu'à leur jardin. Transformés en musées et ouverts au public, ces jardins jouent toujours un rôle très important dans la culture chinoise. Un documentaire sur un art millénaire, des images magnifiques, des paysages rares, permettent de comprendre un peu plus la civilisation chinoise. |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 07 Février 2008 15h05 |
| mercredi, 13 février 2008 à 22:55 Rediffusions : 21.02.2008 à 01:05 La saveur de la pastèque (France, Taiwan, 2005, 110mn, VOSTF) ARTE F Réalisateur: Tsai Ming-Liang Image: Liao Pen-Jung Montage: Chen Sheng-Chang Acteur: Chen Shiang-chyi, Lee Kang-sheng, Lu Yi-Ching, Yang Kuei Mei, Yozakura Sumomo Auteur: Tsai Ming-Liang Production: Arena Films, Homegreen Films, Wild Bunch, arte France Cinéma Producteur: Arena Films, Bruno Pésery, Vincent Wang Un trio déjanté et désenchanté, avec la pastèque en vedette, en pleine sécheresse à Taipei. Entre porno burlesque et comédie musicale acidulée, l'iconoclaste cinéaste de Taiwan signe une histoire d'eau sans parole sur les affres du désir. Un trio déjanté et désenchanté, avec la pastèque en vedette, en pleine sécheresse à Taipei. Entre porno burlesque et comédie musicale acidulée, l'iconoclaste cinéaste de Taiwan signe une histoire d'eau sans parole sur les affres du désir. Devenu acteur stakhanoviste du cinéma porno, Hsiao-Kang, ancien vendeur de montres, retrouve Shiang-Chyi, son amoureuse d'autrefois, mais n'ose lui révéler sa nouvelle profession. En proie à la suffocante langueur de la ville, elle s'improvise voleuse d'eau dans les toilettes publiques, lui se baigne de nuit, dans les citernes sur les toits des gratte-ciel. C'est que, en cette période estivale, Taipei souffre d'une cruelle pénurie d'eau. En mal de solution, les autorités vantent en boucle à la télévision les vertus du jus de pastèque. Laquelle devient, avec ce soudain vedettariat, prétexte à de multiples variations orgiaques... Sombre mélancolie et humour acidulé Âpre saveur que celle de cette pastèque éclatée dans ce film qui oscille, sans transition, de l'insoutenable incommunicabilité de l'être à des scènes déjantées de comédie musicale aux couleurs acidulées et aux suaves mélodies du passé. Ici, à travers d'étranges jeux de miroirs, se reflètent les corps des protagonistes, en quête et en panne d'amour : tel Hsiao-Kang (formidable Lee Kang-sheng) qui exécute docilement ses figures pornographiques imposées, sous l'oeil las d'une équipe de tournage aux allures de Pieds nickelés. Passé maître dans l'art de l'allégorie, Tsai Ming-liang, brillant cinéaste de Taiwan, laisse libre cours à son imaginaire, dans la poursuite tragi-comique de cet obscur objet du désir, mêlant sombre mélancolie, à travers de longs plans séquences, et saynètes burlesques, à grand renfort d'accoutrements et d'accessoires improbables : ainsi celle où la jeune première lutte avec son fiancé contre l'assaut d'une légion de homards. Dans ce film à la beauté corrosive, l'absurde le dispute à la tristesse, pour composer une fable désenchantée d'une salutaire fantaisie.  Non, Edison Chen ne joue pas dans ce film |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 13 Février 2008 21h15 |
| mercredi, 20 février 2008 à 21:00 Rediffusions : 04.03.2008 à 09:55 Deng Xiaoping, l'enfance d'un chef (France, 2007, 52mn) ARTE Réalisateur: Barbara Necek  Enquête sur le parcours exceptionnel et méconnu du père de la Chine moderne, disparu en 1997, qui a mené son pays du marxisme inflexible au capitalisme le plus débridé.  ARTE F © D.R Sait-on aujourd'hui que le "socialisme à la chinoise" qui est en train de remodeler l'équilibre géopolitique de la planète suit à la lettre un programme élaboré dès les années 60 par Deng Xiaoping ? Comment l'homme du sérail, qui allait décider, en 1989, d'écraser dans le sang le mouvement démocratique de la place Tian An Men, a-t-il forgé ce système politique hybride, entre répression et ultralibéralisme, sans pour autant se couper du parti ? Archives et témoignages, notamment de ses enfants et de ses proches collaborateurs, racontent un parcours aussi romanesque que chaotique, qui reflète à lui seul les grandes lignes de fracture de la Chine au XXe siècle. Né en 1904 dans une famille de la paysannerie aisée, Deng est envoyé en France à 16 ans par son père, fervent patriote : sa mission ? Apprendre de l'Occident pour sauver la Chine. Chez Schneider au Creusot, puis Renault à Billancourt, la dureté du travail le marque profondément : venu s'initier au capitalisme, c'est le communisme qu'il découvre. Auprès d'autres expatriés qui formeront l'ossature du PC chinois, comme Zhou Enlai, il devient un militant zélé, bientôt appelé à Moscou, où il est témoin des efforts de reconstruction de l'URSS. De retour en Chine en 1926, il intègre le cercle étroit des fidèles de Mao et y révèle ses talents de stratège militaire, mais surtout d'économiste, avant de participer à la Longue Marche. Après l'instauration de la République populaire (1949), vice-Premier ministre chargé de l'Économie, il combat activement les adversaires du régime, s'engageant sans réserve dans la chasse aux intellectuels de la campagne des Cent-Fleurs (1957). Mais dans un régime dictatorial, rien n'est simple... Plusieurs fois exilé ou déchu de ses fonctions, il doit aussi louvoyer dans un parti verrouillé par Mao et sa femme. Le film rappelle ainsi la violence de la Révolution culturelle, dont Deng fit les frais en 1966. En 1976, la mort de Mao lui permet de revenir sur la scène... |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 13 Février 2008 21h21 |
| jeudi, 21 février 2008 à 22:45 Rediffusions : 26.02.2008 à 01:25 01.03.2008 à 01:30 Femmes asiatiques, femmes fantasmes (France, 2008, 70mn) ARTE F Réalisateur: Sophie Bredier Geisha ou écolière, vamp ou guerrière, la femme asiatique n'a cessé de fasciner les Occidentaux. Mais que recouvre la profusion d'images qui lui sont associées ? À sa manière très personnelle, Sophie Bredier, d'origine coréenne, s'interroge sur ces représentations dans l'art et dans l'imaginaire collectif. Rétrospective Araki au Centre national de la photographie, à Paris : Sophie Bredier déambule dans l'exposition et dit son malaise face aux clichés et à leur charge éro-tique : "Ces images me choquent ; je me sens mise à nue. Spontanément, je me cherche : qui suis-je ? À laquelle est-ce que je ressemble ?" La réalisatrice entretient avec l'Asie un rapport paradoxal : bien que née en Corée du Sud, ce continent lui est étranger. Comme pour beaucoup, l'Asie est pour elle un pôle culturel attirant et mystérieux. Mais le fait d'être abordée par des hommes sous le seul prétexte de son apparence physique la rend sensible à l'image véhiculée par la femme asiatique. Sans pouvoir se reconnaître dans les attraits qui lui sont associés - mystère, douceur, érotisme raffiné... -, elle mesure néanmoins combien ces clichés sont prégnants. D'où vient cette fascination ? Tentant de répondre à cette question, Sophie Bredier a conçu un film jalonné de rencontres avec, comme fil rouge, les différentes représentations de la femme asiatique dans l'art, de la peinture aux mangas en passant par la photographie, la littérature, le cinéma et la mode.  De la geisha au manga Sophie Bredier est allée à la rencontre d'artistes eux-mêmes asiatiques ou fascinés par l'Asie, chacun livrant une part de son expérience. Première étape avec Jean-Paul Goude qui évoque sa rencontre avec Karen, une jeune Coréenne devenue par la suite sa femme ("Elle avait une tête de poupée, avec des pommettes très rouges") et qui souligne combien les femmes asiatiques sont faciles à photographier, avec leur "visage sans accident, sans relief" et leur apparence "plus juvénile que féminine". Le réalisateur Éric Deroo, lui, évoque un imaginaire érotique enraciné dans l'histoire coloniale et les "bordels d'Indochine". Vêtue d'un kimono traditionnel, Setsuko Klossowska de Rola, l'épouse du peintre Balthus, feuillette un album de famille et raconte : "J'avais 18 ans ; Balthus voyait en moi un symbole du Japon ; je voulais être comme il le désirait..." Pour la danseuse et chorégraphe Mariko Aoyama, ce qui fait la particularité des femmes asiatiques, c'est leur côté androgyne : "Je n'aurai jamais de seins et de fesses comme Marilyn Monroe. Nous, on est tout plats !" Pourquoi alors incarneraient-elles un idéal féminin, demande Sophie Bredier ? "Peut-être parce qu'elles correspondent à un rêve des hommes occidentaux : une femme soumise, qui reste toujours comme une enfant..." À sa table de dessin, Roger Leloup, le créateur de Yoko Tsuno, trace pour la énième fois le profil de son héroïne de BD, qui l'accompagne depuis trente-huit ans. Sa fascination pour elle est palpable. "Il y a derrière le regard fermé d'une Asiatique une retenue, de l'étonnement, comme une profondeur..." Le photographe Romain Slocombe, qui met en scène des jeunes filles asiatiques entravées par des bandages médicaux, dans une esthétique qui emprunte au SM et au bondage, résume : "C'est une opération fantasmatique qui satisfait à la fois des pulsions sadiques et des pulsions charitables." Fin connaisseur de l'Asie, le cinéaste Christophe Gans rappelle enfin que l'image de la femme asiatique est contemporaine de celle de la vamp : "Elle est celle qui fascine mais aussi celle qui va avoir notre peau." Et souligne que cette image est en train de conquérir un public mondial, par le biais des mangas, "la première chose érotique qui parvient aux jeunes". |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 26 Février 2008 20h49 |
| Jeudi 28 février à 20h50 ENVOYE SPECIAL FRANCE 2 CARTE BLANCHE à Samuel Le Bihan Mongolie, les bidonvilles des steppes "Mongolie, les bidonvilles des steppes (Samuel Le Bihan et Alexandre Bouchet). L’acteur Samuel Le Bihan, ambassadeur de l’ONG Action contre la faim, joue les grands reporters en Mongolie et s’en sort plutôt bien…, quelques envolées lyriques mises à part. Au fil de son expédition entre Oulan-Bator, la capitale, et les steppes délaissées par les nomades, il réussit à saper des lieux communs (ces images de cavaliers en liberté, tous formidables dresseurs de rapaces) dont sont friandes les chaînes dédiées à l’aventure… Et démontre, témoignages parlants à l’appui, qu’en Mongolie, les hommes (et les enfants) paient au prix fort la transition du régime soviétique à l’économie de marché." http://television.telerama.fr |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 01 Mars 2008 21h31 |
| ARTE mardi, 4 mars 2008 à 23:00 Rediffusions : 06.03.2008 à 09:55 15.03.2008 à 14:00 17.03.2008 à 03:00 Darshan, l'étreinte (France, 2005, 92mn) ARTE F Réalisateur: Jan Kounen La tradition hindoue offre une place privilégiée aux "grandes âmes" (Mahatma) et aux maîtres spirituels. L'histoire d'Amritanandamayi Devi est à ce titre exemplaire. Celle que l'on nomme avec adoration Amma ("mère") est devenue aujourd'hui l'un des plus importants maîtres vivants. Pour beaucoup, elle est une sainte. Issue d'un milieu modeste, elle finance plus de 25 000 foyers pour femmes, des camps médicaux mobiles, des orphelinats, des écoles, un hôpital... Mais elle est surtout reconnue pour avoir restauré l'un des rites les plus anciens de l'héritage spirituel hindou, le darshan, l'étreinte, qu'elle pratique intensivement. Elle a, à ce jour, serré dans ses bras plus de 20 millions de personnes ! À la veille de ses cinquante ans, elle entreprend un périple à travers tout le pays à la rencontre de ses "fidèles", de Jaipur à Calcutta en passant par Bénarès et Bombay. |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 01 Mars 2008 21h35 |
| THALASSA France 3 Vendredi 7 mars 20h50 Au sommaire : - Rendez-vous avec le dragon En Chine, le «dragon argenté», rencontre entre la marée montante et le courant descendant du fleuve Qiantang, provoque une vague qui envahit l'estuaire et remonte la rivière en la barrant d'un seul coup. - Madagascar, la folie litchis A Tamatave, le principal port de Madagascar, deux semaines par an, une poignée de bateaux frigorifiques viennent se mettre à quai pour le chargement des litchis. Madagascar est le premier exportateur de ce fruit prisé des occidentaux. - Montenegro : d'un monde à l'autre Face à l'Italie, bordé par la mer Adriatique, le Monténégro est une toute petite nation. Indépendant depuis le 21 mai 2006, le pays a décidé de tout miser sur le tourisme de luxe. - Carnet de route en Patagonie : de Puerto Eden à Melinka Troisième partie du périple d'Ocean Alchemist dans les canaux de Patagonie. . . |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 14 Mars 2008 10h57 |
| sur FRANCE 5 : EXPÉDITION YANGTSÉ Habitués des routes du monde, Geoffroy et Loïc de La Tullaye ont décidé, cette fois, de suivre celle du Yangtsé. De sa source sur les hauts plateaux tibétains à son embouchure à Shanghai, les deux frères vont ainsi parcourir plus de 7 000 kilomètres, le long du grand fleuve asiatique. Une expédition placée sous le signe du développement durable et racontée en cinq documentaires diffusés à l'occasion de la Journée mondiale de l'eau, le 22 mars. * Entretien avec Geoffroy de La Tullaye Expédition YangtséComment vous est venue l'idée de cette expédition ? Geoffroy de La Tullaye : Au départ, nous voulions réaliser le tour du monde, mais pas n'importe comment. Nous avions envie de nous faire plaisir mais aussi de mettre notre acte égoïste au service d'une cause qui nous dépasse. Nous sommes tombés d'accord sur la thématique de l'eau. C'était en 2002. La simplicité du sujet, son actualité donnaient au projet une dimension universelle. Le problème de l'eau concerne les gens partout ! Nous sommes donc partis sur les routes de juillet 2003 à septembre 2004. Les internautes ont pu suivre nos aventures sur hydrotour.org. A notre retour, nous avons décidé de poursuivre la sensibilisation autour des questions de l'eau. C'est pourquoi nous avons créé la société Biglo, monté un réseau de "classes d’eau", fait un film et écrit un livre… Nous voulions montrer que l'on peut être entrepreneur, gagner sa vie et, en même temps, avoir de l'éthique, faire passer des messages, faire avancer les choses. Mais, très vite, nous avons eu envie d'aller plus loin dans notre démarche... Pourquoi le Yangtsé ? G. de La T. : On réfléchissait à la meilleure manière d'illustrer le lien entre accès à l'eau et développement. L'idée m'est venue chez un cousin en regardant une carte du monde. Sur les hauts plateaux tibétains, les gens doivent marcher deux ou trois heures pour s'approvisionner en eau. Cela vous condamne au sous-développement. Expédition YangtséA Shanghai, au débouché du Yangtsé, la vie est, à l'opposé, beaucoup plus simple de ce point de vue. La population a le temps de faire autre chose. Descendre le fleuve, c'est voyager dans le temps, entre l'"âge de pierre" et la modernité. Chacun des trois niveaux du fleuve correspond à un stade : l'accès à l'eau (pour boire, cuisiner, se laver), la maîtrise de l'eau (barrage…), la gestion de l'eau dans la durée (refroidissement de chaudières nucléaires…). 12 % de la population mondiale (650 millions de personnes) dépendent du Yangtsé ! Partout, nous avons cherché à rencontrer des gens de notre âge avec toujours la même interrogation : à des endroits différents, avons-nous la même possibilité d'épanouissement ? L'eau a un rôle beaucoup plus puissant et important qu'on ne le croit. Il est temps de le redécouvrir. Propos recueillis par Beatriz Loiseau * Diffusion : du lundi 17 au vendredi 21 mars 2008 à 15:00 (hertzien et TNT), rediffusion à partir du samedi 22 mars à 13:25 (hertzien et TNT). Durée : 5 x 26' Auteurs-réalisateurs : Geoffroy et Loïc de la Tullaye Production : France 5 / Biglo Productions / Gédéon Programmes Année : 2008 http://www.france5.fr/programmes/articles/decouverte-nature/1421-expedition-yangtse.php  |
| Ecrit par: manolo Mercredi 26 Mars 2008 20h02 |
| Ca n'a aucun rapport avec la Chine, mais avec les racines du HKCM oui. Alors pour plus de visibilité je reposte ici l'info du topic Bienvenue chez les ch'tis : Ce soir à 22h50 sur M6 : "A's baraque et en ch'ti", spectacle de Danny Boon enregistré à Lille en juin 2003. |
| Ecrit par: P'tit Panda Mardi 01 Avril 2008 17h10 |
| Mardi 1er avril, à partir de 21h00 Tibet - Un printemps sanglant 21h00 Le Tibet, histoire d'une tragédie Rediffusion vendredi 4 avril à 09H55 et mercredi 16 avril à 05H00 (France, 2004, 52mn) ARTE Réalisateur: Ludovic Segarra Ce film documentaire retrace l'histoire récente du Tibet et le drame que vit le peuple tibétain sous occupation chinoise depuis un demi-siècle. 1938. Des scientifiques allemands rapportent pour la première fois des images d'un pays lointain et mystérieux, encore inconnu de l'homme blanc : le Tibet. Un plateau situé à 4 000 mètres d'altitude, entouré de déserts et des plus hautes montagnes du monde. Ici, rien ne semble avoir changé depuis des siècles. Le régime, féodal, est aux mains des moines bouddhistes et de quelques seigneurs. Au sommet de la hiérarchie, le dalaï-lama, réincarnation perpétuelle du précédent, détient tous les pouvoirs. En 1940, les Britanniques filment l'arrivée dans le palais du Potala du nouveau dalaï-lama, un enfant de 5 ans. Soupçonne-t-il alors ce que le destin lui réserve ? Des siècles durant, le vaste pays himalayen a réussi à préserver son indépendance culturelle et son autonomie. Mais, en 1949, aussitôt la Longue Marche terminée, Mao Zedong incite les Tibétains à se libérer du joug féodal. L'armée chinoise roule déjà sur le pays pour en assurer la sécurité. Ce sera le début de cinquante ans d'oppression, de massacres et de l'anéantissement d'un peuple entier. 1 million deux cents mille tibétains ont été à ce jour victimes de la « solution finale » mise en œuvre par la Chine Communiste, soit plus d’un sixième de la population… Grâce à des archives exceptionnelles venant des quatre coins du monde, ce film raconte l’histoire de cette tragédie, celle du Tibet, et de la légende qui en est née, celle du Dalaï-Lama. 21h55 Débat Les invités: * Kelsang Gyaltsen Représentant de Sa Sainteté le dalaï-lama auprès de l’Union européenne * Eva Lichtenberger Députée européenne, Vice-présidente du Groupe des Verts, Vice-présidente du Tibet Intergroup du Parlement européen * Valérie Niquet Directrice du Centre asie à l’Institut français des relations internationales * Joachim Holtz Journaliste, auteur, ancien directeur du bureau ZDF à Pékin |
| Ecrit par: manolo Mardi 01 Avril 2008 17h14 | ||
Hu Jintao vient de démentir. Ce reportage est un poisson d'avril. bon d'accord...  |
| Ecrit par: Jean-Louis Samedi 05 Avril 2008 08h59 |
| "Seven Swords" passe cette semaine sur Ciné Cinéma Premier. |
| Ecrit par: china Samedi 05 Avril 2008 09h27 | ||
Le débat était assez intéressant, car on avait le point de vue des allemands, des représentants tibétains en allemagne... |
| Ecrit par: Jean-Louis Jeudi 17 Avril 2008 18h02 |
| J'ai oublié d'en parler, mais dimanche soir sur M6, il y avait dans l'émission Capital un reportage sur les jeunes expatriés français qui cherchaient du boulot à l'étranger, et notamment à HK. C'était assez intéressant. PS : je rappelle qu'il est possible de revisionner les émissions de la semaine sur M6replay... (utiliser IE pour y aller) http://www.m6replay.fr/ |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Jeudi 01 Mai 2008 17h06 |
| Ce soir une soirée très riche en programme à la télé : - Carnets de voyage sur arte : si vous l'avez pas vu, je vous le recommande, fantastique film, qui nous permet de comprendre grâce à un road movie superbe, comment Ernesto Guevara jeune diplomé en médecine, est devenu le Che que l'on connait. - Top gun sur m6: toujours pas vu, je devrais ? - Legend de zu sur Nt1 : bon perso c'est beau, mais au final on a vité oublié le film. D'ailleurs pendant que j'y pense : qu'est devenu Ekin Cheng lui qui était si présent au début des années 2000 ? Bref mon message c'était surtout pour vous parler de carnets de voyage que j'ai découvetr au ciné, donc si vous rien à regarder ce soir ... |
| Ecrit par: Shaft Vendredi 02 Mai 2008 10h20 | ||
Perso Carnets de Voyages je trouve ça assez anecdotique; pas désagréable mais sans plus.
Ekin Cheng n'avait déjà pas la classe des grands acteurs d'autrefois, mais il savait jouer correctement. Alors si même lui ne tourne plus, où allons-nous? Sur ce je m'en vais ouvrir un topic sur les jeunes du cinéma hongkongais. |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 01 Juin 2008 23h52 |
| HERO de Zhang Yimou avec Jet, Tony, Maggie, Donnie, Ziyi... FRANCE 4 Jeudi 5 juin 20h45 Si vous avez un téléviseur dernier cri, c'est un spectacle visuel somptueux  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 01 Juin 2008 23h58 |
| Chine ma douleur de Dai Sijie France 1989 FRANCE Ô jeudi 5 juin 20h40 Premier film de Dai Sijie, sur ses souvenirs de la Révolution culturelle. Une histoire touchante. Direction d'acteurs (amateurs) atroce. Film entièrement tourné... en France.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 08 Juin 2008 17h46 |
| Jour et nuit (Chine, France, 2004, 87mn, VOSTF) Réalisateur: Wang Chao Arte, mercredi 11 juin, 22h30 Rediffusions : 12.06.2008 à 03:00 Dans le nord de la Chine, un apprenti mineur devient le nouveau nabab de la région. Le passage d'une économie collective au libéralisme vue à travers la vie sexuelle d'un mineur.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 13 Juin 2008 23h09 |
| Arte vendredi, 20 juin 2008 à 23:30 Rediffusions : 27.06.2008 à 03:00 Elle s'appelait Scorpion (Japon, 1972, 85mn, VOSTF) ZDF Réalisateur: Shunya Ito Dans une prison pour femmes, Matsu et ses codétenues sont humiliées par leurs geôliers. Un cocktail délirant de sexe et de violence, d'une incroyable beauté plastique. Pour public averti. http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=860950,day=7,week=25,year=2008.html  |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 25 Juin 2008 22h37 |
| Envoyé spécial 26 juin 2008 France 2 20h50 Des vacances made in France Un reportage de Jérémie Drieu et Eric Maizy La nouvelle a fait l’effet d’une bombe : le boycott de la destination France par les agences de voyage chinoises, énième conséquence du passage mouvementé de la flamme olympique à Paris. Chez les professionnels du tourisme, c’est la stupeur : les visiteurs chinois sont déjà 700 000 par an et ils en espèrent deux millions en 2020. Le manque à gagner peut être énorme. Avant tout le monde, un homme a flairé le bon filon : depuis quelques années, Jean Germain, le maire de Tours, propose aux Chinois de venir se marier en groupe dans les châteaux de la Loire. Une idée qui rapporte gros puisque chaque couple dépense jusqu’à 1 500 euros sur place. Envoyé spécial a suivi ces “noces romantiques en Touraine” depuis la Chine afin de comprendre pourquoi notre pays, au-delà des péripéties diplomatiques, fascine tant ces nouveaux touristes... |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 25 Juin 2008 22h42 |
| ARTE 27 juin 2008 23h30 Tokyo décadence  Une mégapole, la nuit, une fille égarée qui va de chambre en chambre au gré des commandes : Ai est une prostituée SM à l’allure sage qui cache ses porte-jarretelles sous d’amples vêtements roses ou blancs et trimballe partout son grand sac à malices rouge. «Tokyo décadence» (1) est le récit filmé par l’écrivain et cinéaste Ryu Murakami des errances et de la quête obsessionnelle, superstitieuse, du bonheur que poursuit Ai. Si vous avez aimé « Tokyo décadence » pour son exploration explicite des pratiques SM, pour sa façon de montrer tout sans rien montrer, voyez l’un des premiers films non pornographique tourné sur le sujet : «Maîtresse» (2) de Barbet Schroeder avec Bulle Ogier et Gérard Depardieu. Barbet Schroeder dont le prochain film, «Inju, la bête dans l’ombre» (3), se déroule d’ailleurs au Japon et flirte à nouveau avec le sado-masochisme : à découvrir sur grand écran prochainement ! Si c’est l’univers sombre et étrange de Ryu Murakami qui vous plaît, voyez la plus célèbre adaptation de son œuvre : «Audition» (4) de Takashi Miike. Et si Ai, avec sa bouche et ses dents sexy, sa coiffure et son port de tête particulier vous a fait penser a une version timide de l’éclatante Isabella Rossellini, jetez un œil aux films réalisés par et avec cette dernière sur la sexualité des insectes dans «Green porno» (5). Jenny Ulrich (1) « Tokyo décadence » en français (1) « Tokyo décadence » en allemand (2) Le trailer de « Maîtresse » (3) Le trailer de « Inju, la bête dans l’ombre » (4) Le trailer de « Audition » (5) Courte présentation vidéo des « Green porno » (5) Une autre version tout aussi courte et excitante (http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/cinema-sur-ARTE/Cinema-Trash/1881666.html) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 26 Juin 2008 13h25 |
| sur ARTE samedi 28 juin , 21h00 "La révolte des Boxers - Pékin 1900" Un film de Tilman Remme (Allemagne, 2008, 52mn) En 1900, en réaction au démantèlement de la Chine par les puissances occidentales, la secte des Boxers prend d'assaut les ambassades européennes. Retour sur une insurrection encore très présente dans la mémoire collective chinoise. (http://www.arte.tv/fr/connaissance-decouverte/aventure-humaine/2067690.html) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 26 Juin 2008 13h25 |
| sur ARTE samedi 28 juin, 21h50 "L'empereur des mers : le voyage de Zheng He" (Singapour, Pays-Bas, 2005, 52mn) Réalisateur: Chen Kaige "Le cinéaste Chen Kaige part sur les traces de Zheng He, amiral de l'empire du Milieu qui parcourut les océans quatre-vingts ans avant Christophe Colomb." (http://www.arte.tv/fr/connaissance-decouverte/aventure-humaine/2064964.html) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 26 Juin 2008 13h26 |
| Arte reportage parcourt la Chine Quelques mois avant les Jeux olympiques de Pékin, ARTE Reportage vous propose une découverte de la Chine. 18 reportages et un carnet de route sur le véritable visage de Pékin en 2008. Une série web à suivre jusqu’en juillet sur arte.tv ! http://www.arte.tv/static/c1/chine2008/chine/fr/arte_chine.html |
| Ecrit par: manolo Lundi 30 Juin 2008 18h36 |
| Ce soir à 20h45 sur RTL9 : Running out of time. |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 02 Juillet 2008 16h37 |
| Demain soir (jeudi), soirée Bollywood sur M6 avec notamment K3G (La Famille Indienne) en seconde partie de soirée.... avec le couple du siècle Kajol/SRK : |
| Ecrit par: Jean-Louis Mercredi 02 Juillet 2008 16h38 |
| Bonus track Kajol |
| Ecrit par: Siu Keung Jeudi 03 Juillet 2008 00h48 |
| Retro Mikio Naruse tous les vendredi sur ciné classic. Déjà diffusé le repas, Nuages d'été et le grondement de la montagne. 4 juillet : L’histoire de la femme (1963) 11 juillet : Nuages flottants (1955) 18 juillet : Au gré du courant (1956) 25 juillet : Nuages d’été (1968) 1er aout : Le sifflement de Kotan (1959) 8 aout : Courant du soir (1960) 15 aout : Quand une femme monte l’escalier (1960) 22 aout : Comme une épouse et comme une femme (1961) 29 aout : Tourments (1964) 5 septembre : Nuages épars (1967) |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 03 Juillet 2008 01h02 | ||
ah les veinards qui ont le bouquet ! l'occasion de revoir Hideko Takamine et Setsuko Hara, 2 actrices qui ont bercé mes souvenirs de cinéphile ! Hideko T  Setsuko H  |
| Ecrit par: P'tit Panda Lundi 14 Juillet 2008 23h33 |
| ARTE jeudi, 17 juillet 2008 à 22:30 Rediffusions : 24.07.2008 à 09:55 Chine : la rançon du progrès (Allemagne, 2007, 116mn) Le boom économique de la Chine ne profite encore qu'à une minorité de Chinois. "Thema" enquête sur le revers social de la médaille et sur les effets pervers, notamment pour les femmes et les enfants, de cet essor sans précédent. * ARTE jeudi, 17 juillet 2008 à 22:30 Rediffusions : 24.07.2008 à 09:55 Recherche épouse désespérément (Allemagne, 2008, 43mn) Que faire quand le fossé entre hommes et femmes en âge de se marier ne cesse de se creuser ? Enquête dans les campagnes chinoises, où le problème est encore plus aigu qu'en ville. * ARTE jeudi, 17 juillet 2008 à 23:15 Rediffusions : 24.07.2008 à 10:40 01.08.2008 à 02:20 Souffrir pour réussir - Élèves chinois sous pression (Chine, 2008, 30mn) Convaincus qu'il n'est pas de salut sans diplômes, les parents chinois exercent une énorme pression sur leurs enfants pour qu'ils réussissent dans un système scolaire à la concurrence impitoyable. |
| Ecrit par: Pti denis Mardi 15 Juillet 2008 07h44 |
 Ce soir sur TF1, à ne pas louper |
| Ecrit par: Zhi-shan Mardi 15 Juillet 2008 17h39 | ||
machine raciste |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 16 Juillet 2008 14h00 |
| ARTE lundi, 21 juillet 2008 à 22:25 Rediffusions : 26.07.2008 à 05:00 "Lang Lang en Chine" (Allemagne, 2007, 51mn) Réalisateur: Benedict Mirow "En décembre 2005, ARTE accompagnait le célèbre pianiste chinois Lang Lang lors de sa grande tournée dans son pays natal." Originaire du Shenyang, dans le nord-est de la Chine, Lang Lang s'est propulsé sur les plus grandes scènes du monde. Cette tournée, véritable retour aux sources après huit années d'exil, était l'occasion de donner à entendre l'étendue de son répertoire, pour celui qui se considère comme un passeur entre les mondes et les cultures. Un jeune prodige Né en 1982 en Chine, Lang Lang réside actuellement aux États-Unis. Après avoir été, dans les années 90, lauréat de prestigieux concours dans son pays ainsi qu'au Japon et en Allemagne, il va travailler avec Gary Graffman à Philadelphie. En 2001, une prestation au Carnegie Hall lance sa carrière internationale. Devenu un habitué des scènes les plus réputées, il se produit régulièrement avec les grands noms internationaux du classique, comme Daniel Barenboïm, Lorin Maazel ou Zubin Mehta. |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 16 Juillet 2008 14h05 |
| ARTE vendredi, 25 juillet 2008 à 23:30 Rediffusions : 26.07.2008 à 03:00 07.08.2008 à 05:00 Oedipe en Chine (52mn) Réalisateur: Baudoin Koenig Un siècle après les découvertes de Freud, la psychanalyse suscite un certain engouement en Chine. Rien de très développé encore, mais dans ce pays où les bouleversements économiques accélérés brouillent les repères traditionnels, où la liberté d’expression n’existe pas et où parler de soi est mal vu, elle apparaît comme un espace privilégié permettant à une parole intime de se déployer. Ainsi, alors même que les médias chinois évoquent la dépression comme une nouvelle maladie à la mode, la psychanalyse investit timidement l’hôpital et l’université. C’est en 1995, en rentrant de Paris après plusieurs années d’analyse, que Huo Datong ouvre le premier cabinet de psychanalyste du pays, à l’université de Chengdu. Pour ce pionnier en son pays “chaque être a le désir de faire reconnaître son désir…” Divan de liberté Dans les années 90, avec l’ouverture de la Chine, notamment vers les États-Unis, des centaines de cabinets de conseil et de psychothérapie ont été créés dans toutes les grandes villes par des entreprises américaines ou nationales. Reliés à des “unités de travail”, ces officines avaient pour objectif d’adapter les Chinois à la nouvelle économie de marché. À l’opposé de cette logique utilitariste, le film explore les lieux où, depuis une dizaine d’années, commence à s’enseigner et à se pratiquer la psychanalyse. L’enquête s’articule autour des quelques pionniers qui cherchent à concilier méthodes et théories psychanalytiques occidentales et culture chinoise. Comme Huo Datong, certains n’hésitent pas à comparer leurs pratiques à celle des débuts de la psychanalyse à Vienne, au tournant du XXe siècle. http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=884933,day=7,week=30,year=2008.html |
| Ecrit par: P'tit Panda Mercredi 16 Juillet 2008 14h11 |
| FRANCE 5 Lundi 21 Juillet 2008 - 20:39 "LES ANNEES MAO" Durée : 00:52 Documentaire de 53' écrit et réalisé par Bernard Debord, et coproduit par INA entreprise / Forum des images avec la participation de France 5 et du CNC. Production déléguée : Christiane Graziani. Production associée : Alain Esmery. 2005. Gardes rouges français, les maoïstes ne furent jamais plus de dix mille mais, au clivage des sixties et des seventies, ils ont occupé dix années durant le pavé et les médias, entraînant dans leurs combats la fine fleur des arts, des lettres et du spectacle, de Sartre à Godard, de Genet et Foucault aux Rolling Stones, épousant les mouvements de société qui vont marquer les décennies suivantes. Du pillage de Fauchon à l'affaire de Bruay, de Renault-Flins au MLF, de Nino Ferrer à 'Libé', de 'La Chinoise' aux 'Invasions barbares', 'Les Années Mao' reviennent sur cette page d'histoire folle à travers celles et ceux qui l'ont écrite - Serge July, Alain Geismar, Gérard Miller, Dominique Grange, Roland Castro, consorts et consoeurs, Bernard Debord compris. (Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants) http://www.france5.fr/programmes/index-fr.php?affnum=007045&prgnum=0&numcase=44&date=21-07-2008&plage=1900-2400 |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 25 Juillet 2008 17h13 |
| sur ARTE dimanche, 27 juillet 2008 à 20:45 Rediffusions : Pas de rediffusion Au coeur de la Chine (Allemagne, 2007, 202mn) À la veille de l'ouverture des JO de Pékin (qui se tiennent du 8 au 24 août), ARTE fait un état de lieux de la puissance chinoise, décrit l'envers du décor et emprunte quelques chemins de traverse, à la découverte d'une Chine méconnue. Sur les rives du fleuve Yangzi, qui traverse la Chine d'ouest en est, se tissent des histoires d'amour (Balzac et la petite tailleuse chinoise) et se jouent des destins. À la rencontre de la jeune génération d'un pays en plein essor, pour laquelle la vie n'est pas toujours un long fleuve tranquille.  * dimanche, 27 juillet 2008 à 20:45 Rediffusions : 04.08.2008 à 14:55 13.08.2008 à 14:55 Balzac et la petite tailleuse chinoise (France, 2002, 106mn, VF) ZDF Réalisateur: Dai Sijie Image: Jean-Marie Dreujou Musique: Wang Pujian Montage: Julia Gregory, Luc Barnier Acteur: Cong Zhijun, Kun Chen, Liu Ye, Wang Hongwei, Wang Shuangbao, Zhou Xun En pleine Révolution culturelle, deux jeunes Chinois tombent amoureux d'une petite tailleuse que la lecture de Balzac transforme à jamais. Un très beau film, avec la délicieuse Zhou Xun (Suzhou river, Beijing bicycle).  * dimanche, 27 juillet 2008 à 22:30 Rediffusions : 02.08.2008 à 00:25 06.08.2008 à 09:55 Sur le Yangzi (Canada, Allemagne, Chine, 2007, 90mn) ZDF Réalisateur: Yung Chang Producteur: Mila Aung-Thwin, Germaine Ying Gee Wong, John Christou Comment la mise en eau du barrage des Trois Gorges va bouleverser la vie de milliers de familles chinoises et plus particulièrement celle de la jeune Shui. Un documentaire inédit, primé dans tous les grands festivals nord-américains.  Le Yangzi, que les Chinois appelaient "le fleuve", n'en sera bientôt plus un sur une grande part de son cours. Ses eaux, retenues en amont du barrage des Trois Gorges, constitueront un lac de 600 kilomètres de long qui rayera de la carte trois vallées. Cet ouvrage titanesque, d'une ampleur inédite depuis la Grande Muraille, est sur le point d'être achevé. Deux millions de personnes devront quitter leur village. Pour la population locale, c'est un peu "comme si le Grand Canyon disparaissait pour toujours", dit le réalisateur de ce documentaire. C'est le cas de la famille Yu et de leur fille Shui, 16 ans, qui a mis fin à sa scolarité pour aider financièrement ses parents. Elle travaille ainsi sur un luxueux bateau de croisière qui, ironie du sort, sillonne le Yangzi avec, à son bord, des touristes occidentaux. Et c'est un vrai choc des cultures pour la discrète Shui qui a dû changer son nom en "Cindy" pour mieux plaire aux Américains. Elle est confrontée au rude monde du travail, à la concurrence féroce au sein de l'équipe et aux "petits empereurs", cette génération de jeunes issus de la classe moyenne des grandes villes et de la politique de l'enfant unique. Pour le réalisateur, la vie sur ce bateau est une métaphore de la Chine d'aujourd'hui. Mais Sur le Yangzi est aussi un adieu à la Chine ancienne, en passe de devenir une superpuissance économique et politique. * dimanche, 27 juillet 2008 à 00:05 Rediffusions : 06.08.2008 à 01:40 Nuit de Chine (France, 2007, 74mn) ARTE F Réalisateur: Ju An Qi Au fil de rencontres nocturnes avec ceux qui ne dorment pas, Ju An Qi dessine le portrait délicat d'une Chine occupée à survivre.  Ils vivent à Pékin dans un réduit minuscule, où, ancien journaliste, il tient son établi de cordonnier le jour, tandis qu'elle essaie de dormir derrière un rideau de plastique ; puis elle part travailler à l'autre bout de la ville dans un karaoké, tandis qu'il prend sa place. Ce couple venu de province est le premier d'une suite de rencontres, parfois silencieuses, faites par le réalisateur lors de déambulations nocturnes dans la capitale chinoise. Ouvriers du bâtiment qui posent sans mot dire, en souriant, masseurs aveugles, jeune père dans le couloir de la maternité, infirmière de garde, ils accueillent, l'espace d'un plan ou d'une séquence, la caméra respectueuse, presque aimante, de Ju An Qi, pour des échanges toujours émouvants. Le documentaire, qui part de la trépidante nuit urbaine pour s'enfoncer dans l'obscurité des provinces, dessine au fil de ces échanges le portrait délicat d'une Chine en plein bouleversement, luttant pour survivre et trouver des repères dans la marche forcée du capitalisme en expansion : son visage humain, si l'on peut dire. s : http://www.arte.tv/fr |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 25 Juillet 2008 17h42 |
| sur ARTE mercredi, 30 juillet 2008 à 22:50 Rediffusions : 08.08.2008 à 03:00 Une femme coréenne (Coree, 2004, 105mn, VOSTF) ARTE F Réalisateur: Im Sang-Soo Image: Kim Woo-Hyungh Musique: Kim Hong-jib Montage: Lee Eun Soo Acteur: Baek Jeong-Rim, Hwang Jeon-Min, Kim In-Mun, Moon Soo-ri, Yun Yeo-Jong Auteur: Im Sang-Soo Distributeur: Films Distribution Production: Myung Film Company Ltd. Producteur: Shin Bo-kyeong, Shin Chul, Sim Jae Myeong Dans la Corée du Sud des années 90, une libération féminine sur fond de chronique familiale. Im Sang-soo manie tour à tour l'humour et la violence pour peindre la crudité du sexe, les non-dits de l'amour, la force de survie. |
| Ecrit par: Jean-Louis Vendredi 25 Juillet 2008 17h54 |
| Ce soir, "The Eye" des Pang Bros en seconde partie de soirée sur Canal +. |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 26 Juillet 2008 08h58 |
| ARTE Reportage samedi, 26 juillet 2008 à 19:00 Rediffusions : 01.08.2008 à 16:50 02.08.2008 à 06:00 "De Mao aux J.O. : un promeneur à Pékin aujourd'hui" "Au départ, le passé : la place Tien An Men, centre de gravité de la ville, où trône encore Mao. A l'arrivée, l'avenir : le site des Jeux olympiques de 2008. Entre ces deux points : une ligne droite de 9 km, rigoureusement sud-nord, axe central d'une ville obsédée par la symétrie. Suivre ce fil rectiligne qui partage Pékin, c'est distribuer histoire et présent, ordre et désordre, pauvreté des hutongs et luxe arrogant de la nouvelle puissance économique, destructions brutales et frénésie de construction, parcs harmonieux et flots de voitures. Voilà pour le cadre. Dans ce cadre, au gré de ses rencontres, le promeneur partage le quotidien des Chinois en 2008 et interroge leur rapport à leur propre histoire : comment vivre avec les traces du passé quand le passé (la révolution culturelle, le massacre de Tian Anmen...) est tabou ? Comment rester Pékinois et Chinois, quand on détruit la maison du premier, en n'offrant au second, en compensation, que le culte de l'argent, ou celui de la nation ? Les questions sont graves, les réponses variées, mais elles se nappent souvent de gouaille et d'humour... Derrière les paillettes olympiques et l'ode du parti à la modernité, il y a une logique de fer. Celle qui oblige tout un peuple à ne pas s'écarter d'un pas, justement, de cette avenue rigoureusement rectiligne qui va de Mao aux JO. A quelques jours de l'ouverture des Jeux, paroles et images de Pékinois."  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 16h55 |
| France 3 SHANGHAI, EN ATTENDANT LE PARADIS Docu. - Société Origine : Fra. (2008) Stéréo. Réalisation : Sylvie Levey. Date : 02/08/2008 Horaire : 23H55 - 01H30 Durée : 94 mn En 2001, à Shanghai, peu avant les attentats du World Trade Center à New York, les Wang apprennent que leur maison va être rasée, rationalisation économique oblige. |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 17h00 |
| ARTE dimanche, 3 août 2008 à 20:15 Rediffusions : 06.08.2008 à 11:25 Artistes chinois d'avant-garde (Allemagne, 2007, 26mn) ZDF Réalisateur: Ilka Franzmann Une série de quatre portraits d'artistes chinois d'avant-garde, stars de l'art contemporain. Chaque dimanche à 20.15, jusqu'au 24 août. 1. Liu Xiaodong, peintre de la transformation sociale Liu Xiaodong, dont une oeuvre récente a pulvérisé tous les records de prix de la peinture chinoise, est un observateur féroce des changements de son pays. Lors d'une vente aux enchères à Pékin en 2006, le tableau monumental de Liu Xiaodong intitulé Nouveaux émigrés du barrage des Trois-Gorges a atteint le prix record de 2,6 millions de dollars. Une somme d'autant plus remarquable que cette oeuvre, où se lit toute la détresse des hommes et des femmes victimes des plans économiques du pouvoir, a été achetée par un entrepreneur chinois. Le prochain projet de l'artiste s'inscrit dans cette même perspective de dénonciation politique. Installé dans la province de Qinghai, au Tibet, Liu Xiaodong veut observer la conquête industrielle de cette région par la Chine.  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 17h06 |
| ARTE dimanche, 3 août 2008 à 20:40 Rediffusions : 10.08.2008 à 14:00 Hiroshima (1/2) (Canada, Japon, 1995, 96mn, VF) ZDF Réalisateur: Koreyoshi Kurahara, Roger Spottiswoode Image: Shohei Ando Montage: John Soh Acteur: David Gow, Georg Robertson, Tatsuo Matsumura, Kenneth Welsh, Kohji Takahashi, Naohiko Umewaka, Richard D. Masur, Tatsuo Matsumura, Thimoty West, Wesley Addy Auteur: Ben Hopkins, Toshiro Ishido Production: Daiei CO. Ltd., Tokio, Telescene Communications, Montreal Comment et pourquoi les Américains recoururent à la bombe atomique en août 1945. Cette grande fiction documentaire jette un regard original sur un événement qui changea le cours de l'histoire. * dimanche, 3 août 2008 à 22:25 Rediffusions : 10.08.2008 à 15:35 Hiroshima (2/2) (Canada, Japon, 1995, 79mn) ZDF Réalisateur: Koreyoshi Kurahara, Roger Spottiswoode Image: Shohei Ando Montage: John Soh Acteur: David Gow, Georg Robertson, Kenneth Welsh, Naohiko Umewaka, Richard D. Masur, Tatsuo Matsumura, Timothy West, Wesley Addy Auteur: Ben Hopkins, Toshiro Ishido Production: Daiei Co. Ltd., Tokio, Telescene Communications, Montréal Producteur: Produktion Hallmark |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 17h11 |
| ARTE ARTE lundi, 4 août 2008 à 21:00 Rediffusions : 15.08.2008 à 09:55 "A touch of zen" de King Hu (Taiwan, 1969, 171mn, VM) Un chef-d'oeuvre du cinéma d'arts martiaux chinois, d'une incroyable beauté picturale et poétique. Le film matrice de Tigre et Dragon et du Secret des poignards volants. http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=862512,day=3,week=32,year=2008.html |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 17h21 |
| soirée cucul * ARTE mardi, 5 août 2008 à 00:00 Rediffusions : 15.08.2008 à 03:00 18.08.2008 à 01:00 Emmanuelle (France, 1974, 90mn) ARTE F Réalisateur: Just Jaeckin Image: Richard Suzuki Musique: Pierre Bachelet Montage: Claudine Bouché Acteur: Alain Cuny, Christine Boisson, Daniel Sarky, Jeanne Colletine, Marika Green, Sylvia Kristel Auteur: Emmanuelle Arsan, Jean-Louis Richard Distributeur: Studiocanal Production: Orphée Productions, Trinacra Films Producteur: Yves Rousset-Rouard Comment une jeune top model hollandaise devint l'égérie de la révolution sexuelle pour tous. L'un des plus gros succès mondiaux du cinéma français. Emmanuelle, 20 ans, part rejoindre son mari Jean, diplomate à Bangkok. Dans l'avion, elle s'offre (à) deux passagers séduisants. En Thaïlande, encouragée par son époux, elle multiplie les expériences sexuelles, surtout avec des femmes. Puis sous l'égide d'un homme plus âgé, Mario, elle s'initie à "la loi nouvelle" : le plaisir "sans honte et sans contrainte". s: http://www.arte.tv  * FRANCE 2 LES FILLES DU BOTANISTE CHINOIS Films - Drame Origine : Fra - Can. (2006) Stéréo. Scénario : Dai Sijie et Nadine Perront. Musique : Eric Levi. Réalisation : Dai Sijie. Distribution : Mylène Jampanoï (Min Li), Li Xiao Ran (An Chen), Fu Ling Dong (maître Chen), Wang Weidung (Dan). Date : 06/08/2008 Horaire : 01H30 - 03H05 Durée : 94 mn Dans la Chine des années 80, une orpheline commence un stage chez un botaniste de renom. Elle y rencontre sa fille, dont elle tombe éperdument amoureuse. Notes : Un film non dénué de charme et de poésie, mais, à vouloir trop privilégier la forme par rapport au fond, le réalisateur passe à côté de son sujet (la répression de l'homosexualité en Chine). s : http://programmes.france2.fr/  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 17h31 |
| ARTE mercredi, 6 août 2008 à 19:00 Rediffusions : 13.08.2008 à 16:50 La Chine des rizières célestes (Allemagne, 2006, 43mn) HR Réalisateur: Peter Weinert La culture du riz pratiquée par les paysans du Yunnan, dans le sud-ouest de la Chine, a fait naître un paysage parmi les plus étonnants du monde. Depuis plus d'un millénaire, les Hani, l'une des vingt-cinq minorités ethniques de la province chinoise du Yunnan, arrachent aux massifs de la région les surfaces nécessaires à la culture du riz en aménageant à flanc de montagne, jusqu'à 1 500 m d'altitude, des terrasses pourvues d'un ingénieux système d'irrigation. Ces ouvrages sculptés de terre et d'eau, que les Hani appellent "échelles célestes", dessinent un paysage unique au monde. |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 01 Août 2008 17h36 |
| ARTE thema : Les ambitions chinoises jeudi, 7 août 2008 à 22:25 Rediffusions : 14.08.2008 à 09:55 Les ambitions chinoises (France, 2006, 108mn) ARTE F Producteur: Gedeon Programmes Enquête sur les forces et les faiblesses de l'économie chinoise : d'une part un taux de croissance record ; d'autre part une dépendance énergétique et les menaces générées par une inégalité sociale qui met à mal son unité nationale. * jeudi, 7 août 2008 à 22:25 Rediffusions : 10.08.2008 à 05:00 14.08.2008 à 09:55 21.08.2008 à 05:00 Chine / États-Unis : la course à l'or noir (France, 2006, 50mn) ARTE F Réalisateur: Jean-Christophe Klotz Afrique, Amérique latine, Asie centrale, Moyen-Orient : les dirigeants chinois multiplient les voyages pour arracher contrats et concessions pétrolières sur les cinq continents. Mais ils se heurtent sans cesse à la présence des États-Unis. * jeudi, 7 août 2008 à 23:20 Rediffusions : 11.08.2008 à 05:00 14.08.2008 à 10:45 La fracture chinoise (France, 2006, 25mn) ARTE F Réalisateur: Antoine Roux Entre la Chine du miracle économique qui s'enrichit et celle du monde rural qui s'enfonce dans la misère, le fossé est de plus en plus profond. Une enquête édifiante sur les gagnants et les perdants de la croissance. * jeudi, 7 août 2008 à 23:50 Rediffusions : 11.08.2008 à 05:25 14.08.2008 à 11:15 Chine : vaincre sans combattre (France, 2006, 26mn) ARTE F Réalisateur: Antoine Roux Pour tout savoir sur la "stratégie oblique", ou l'art de dominer le monde en douceur... Un précepte chinois millénaire toujours d'actualité. http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=884944,day=6,week=32,year=2008.html |
| Ecrit par: tao pai pai Vendredi 01 Août 2008 17h39 | ||
Film  TE |
| Ecrit par: P'tit Panda Lundi 04 Août 2008 21h50 |
| sur ARTE mercredi, 6 août 2008 à 22:20 Rediffusions : Pas de rediffusion Nankin 1937 - Journal d'un massacre (Allemagne, 2007, 52mn) NDR Réalisateur: Raymond Ley Aux yeux des Chinois, John Rabe est un héros. Le documentaire raconte comment, en 1937, cet homme d'affaires allemand a sauvé des milliers d'habitants de Nankin du massacre qui suivit l'entrée des troupes japonaises dans la ville. http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=862584,day=5,week=32,year=2008.html |
| Ecrit par: P'tit Panda Lundi 04 Août 2008 21h55 |
| sur DIRECT8 DIRECT 8 JEUDI 7 AOÛT 2008 DE 22H25 À 0H15 (110') Les Chinois à Paris Film de Jean Yanne (France, 1973). 100 mn. Avec J. Yanne, Michel Serrault, Nicole Calfan. Genre : provocateur. 700 millions de Chinois (à l'époque)... et nous, les Français : roublards, veules, profiteurs, crétins, égoïstes. Jean Yanne, grand pourfendeur de ses contemporains (entre autres, Chobizenesse, Je te tiens tu me tiens par la barbichette, diffusés sur Paris Première dans le même cycle consacré au réalisateur), prétexte une invasion de l'armée de Mao pour s'en prendre, pêle-mêle, au communisme, à la collaboration des années 40, à l'affairisme, etc. Résultat, un bric-à-brac décousu de sketchs, entre provoc féroce, humour très daté et potacheries approximatives (exemple typique, Nicole Calfan : « Mais tu es fou ! » Un Chinois : « Non, moi je suis Pou. Fou, c'est mon cousin »). Bref, presque trente-cinq ans après, cette satire surchargée à base de péril jaune et de Livre rouge fait plus souvent bâiller que sourire. Cécile Mury (http://television.telerama.fr/tele/emission.php?onglet=critique&id=9903505) *** Je vais essayer de découvrir ce chef-d'oeuvre |
| Ecrit par: P'tit Panda Lundi 04 Août 2008 22h27 |
| Jeux olympiques 2008 Cérémonie d'ouverture FRANCE 2 Vendredi 08/08/08 à partir de 13h50 "Devant 90 000 spectateurs et sous les yeux de nombreux chefs d'Etat, dont le président français Nicolas Sarkozy, la cérémonie d'ouverture des 29e Olympiades débute pour trois heures de spectacle. La mise en scène est assurée par le cinéaste chinois Zhang Yimou, qui a choisi le thème «Un monde, un rêve», pour célébrer 5000 ans d'histoire chinoise en trois parties. Puis viendra l'heure d'allumer la vasque olympique avant que ne défilent toutes les délégations d'athlètes. Le canoéiste Tony Estanguet, double médaillé olympique, sera le porte-drapeau de la délégation française, forte de 300 à 310 athlètes. Il succède ainsi au handballeur Jackson Richardson." (http://television.telerama.fr/tele/emission.php?id=9906520) |
| Ecrit par: manolo Lundi 04 Août 2008 23h36 | ||
Bon courage. Je n'ai pas tenu jusqu'au bout. L'avis de telerama resume bien mes souvenirs de ce film. |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 09 Août 2008 18h36 |
| samedi, 9 août 2008 à 20:00 Rediffusions : 12.08.2008 à 11:45 13.08.2008 à 02:40 14.08.2008 à 11:45 15.08.2008 à 06:50 15.08.2008 à 16:40 16.08.2008 à 12:35 21.08.2008 à 06:50 27.08.2008 à 06:50 Le dessous des cartes (France, 2005, 11mn) ARTE F Auteur: Jean-Christophe Victor Producteur: Arte France Developpement Spécial Chine : La Chine asphyxiée (1) En 2003 et 2004, on a observé en Chine de très nombreuses coupures de courant, dues à des ruptures entre la demande et l'approvisionnement en charbon et en pétrole... |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 16 Août 2008 22h33 |
| FRANCE 5 Dim 17/08/2008 - 20:42 LA GRANDE MURAILLE DE CHINE  C'est la plus grande structure jamais édifiée par l'homme. Un projet unique qui a nécessité 15 milliards de briques et coûté la vie à 1 million de personnes. Ce film riche en reconstitutions révèle les secrets de la construction de la Grande Muraille de Chine. Il y a cinq cents ans, l’Empire chinois est confronté à un ennemi redoutable, le peuple mongol. Nomades, les descendants de Gengis Khan vivent alors dans des conditions difficiles et cherchent à établir des relations commerciales avec les Chinois, dont ils espèrent obtenir des biens élémentaires. Mais, pour la cour, il est impensable de négocier ou même de discuter avec des barbares… En septembre 1550, c’est donc une armée de cavaliers forte de 100 000 hommes qui franchit la frontière et se dirige vers Pékin. La défense impériale est mise en déroute et les morts se comptent par milliers. Une humiliation que Qi Jiguang, jeune élève officier, n’est pas près d’oublier. Les vieux remparts destinés à protéger la capitale des Ming n’ont pas rempli leur office, pas plus que les soldats leur mission. Le rêve de l’officier Qi Visionnaire, Qi propose alors un plan de défense très ambitieux qui suscite l’intérêt du secrétaire Zhang Juzheng. Mais il doit faire ses preuves de tacticien et de meneur d’hommes. Après avoir créé sa propre armée de paysans, et écrit un traité militaire encore étudié aujourd’hui, Qi revient à Pékin couvert de gloire. La Grande Muraille de ChineEn 1567, une nouvelle incursion mongole va lui apporter la possibilité de réaliser son oeuvre : la construction d’une structure capable de résister aux attaques tout en permettant à ses troupes de se déplacer pour engager le combat. Une muraille édifiée sur la ligne de crête des montagnes et comprenant 3 000 tours espacées de quelques centaines de mètres, reliées entre elles par un système de signaux lumineux. Dans les forteresses, des entrepôts, des arsenaux et des pelotons de 50 hommes. Une tâche monumentale à accomplir en cinq ans avec le concours de ses 20 000 soldats. Pour tenir les délais, il faut bâtir une tour tous les cinq jours ! En 1575, les premiers tronçons de la muraille sont achevés. Le rêve de Qi est devenu une réalité tangible et imprenable. L’empire Ming est désormais capable de se défendre. Beatriz Loiseau Première diffusion : dimanche 3 août 2008 à 16:30 (hertzien et TNT). Durée : 85' Auteur-réalisateur : Nic Young Production : France 5 / Lion Television Année : 2007 |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 16 Août 2008 22h41 |
| TV : Artistes chinois d'avant-garde - Cao Fei Dimanche, 17 août 2008 à 20:15 sur ARTE Rediffusions : Pas de rediffusion En marge des JO, quatre portraits d'artistes chinois d'avant-garde, stars de l'art contemporain. Chaque dimanche à 20.15, jusqu'au 24 août. 3. Cao Fei, exploratrice de virtualité Sacrée dans son pays meilleure jeune artiste de l'année 2006, Cao Fei est l'une des figures emblématiques de l'art chinois contemporain. Le travail de cette trentenaire, mêlant photos, vidéos, textes et objets, reflète l'état d'esprit d'une génération de jeunes urbains marqués par la consommation, la vitesse et le virtuel. En témoignent le projet qu'elle a présenté à la Biennale de Venise 2007, ou le documentaire i-Mirror, dans lequel elle met en scène son avatar dans Second Life. Artistes chinois d'avant-garde (Allemagne, 2007, 26mn) Réalisateur: Marco Wilms  |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 16 Août 2008 22h48 |
| sur LCP LA CHAÎNE PARLEMENTAIRE LUNDI 18 AOÛT 2008 DE 17H25 À 17H55 (30') Rediffusions : Mardi 19 août 2008 : LA CHAÎNE PARLEMENTAIRE 05h00 Jeudi 21 août 2008 : LA CHAÎNE PARLEMENTAIRE 08h00 Vendredi 22 août 2008 : LA CHAÎNE PARLEMENTAIRE 11h30 Vendredi 22 août 2008 : LA CHAÎNE PARLEMENTAIRE 18h00 Un monde de bulles Magazine des loisirs spécial BENJAMIN (ZHANG Bin ), auteur chinois Benjamin est né et vit à Pékin. Il fait partie des talents chinois découverts en France et en Europe il y a quelques années. Dans un style urbain très particulier, ses personnages et ses histoires sont autant de reflets de la vie quotidienne chinoise. Celle d'une jeunesse qui apprécie la musique, l'amour et le dessin. . * Présenté par Jean-Philippe Lefèvre (France, 2007). 30 mn. Inédit. L'heure est à la Chine. Alors que se déroulent les jeux Olympiques, Un monde de bulles nous présente Benjamin, un dessinateur avant-gardiste chinois, que Jean-Philippe Lefèvre a rencontré à Paris. Grâce à l'édition française Xiao Pan, qui édite depuis 2005 des dessinateurs chinois en Europe, Benjamin connaît un grand succès hexagonal. Son style très particulier s'est dégagé des influences initiales des mangas japonais et frappe surtout par sa mélancolie. « Il y a une grande pression dans la société chinoise, explique Benjamin, et une impression omniprésente d'insécurité. » Le jeune homme de 34 ans dit s'inspirer de tout ce qui se passe autour de lui et avoue que la musique est un élément indispensable de sa création. Il écoute plusieurs fois le même morceau en dessinant, rajuste ses croquis et finit par y intégrer un rythme musical. Malgré son succès à l'étranger, Benjamin dit n'avoir « pas un statut social très réussi » en Chine. A la question obligée concernant les commentaires critiques que suscite son pays en Europe, il confirme qu'« il y a beaucoup de problèmes et de limites à la liberté d'expression ». Des propos qui tranchent avec le reste de l'entretien plutôt paisible. Pourtant, même si les barrières linguistiques et culturelles nuisent à la connivence entre Jean-Philippe Lefèvre et son invité, l'émission nous propose un nouvel accès à la Chine, et nous incite à découvrir le pays par ses BD. Imke Plesch (http://television.telerama.fr/tele/emission.php?onglet=critique&id=10001423)  |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 16 Août 2008 22h57 |
| Zhao & Yang Documentaire de Monika von Behr et Fang Yu (Allemagne, 2006). 92 mn. Inédit. ARTE LUNDI 18 AOÛT 2008 DE 23H25 À 1H00 (95') Rediffusions : Jeudi 21 août 2008 : ARTE 03h00 Jeudi 21 août 2008 : ARTE HD 03h00 RÉSUMÉ : Ils vivent dans un petit appartement qui leur a été assigné après la destruction de leur maison. Parias au pays de Mao, les peintres Zhao Wenliang et Yang Yushu tentent néanmoins de ne rien perdre de leur manière de vivre qui respecte les traditions. En déambulant au milieu de l'agitation survoltée de Pékin, les deux artistes expliquent, face aux caméras, comment ils vivent les bouleversements de la société chinoise. Les deux hommes se sont connus en 1959. Tous deux fils de «contre-révolutionnaires», ils ont subi maintes persécutions au fil des ans. Ils gagnent leur pitance en travaillant comme ouvriers. Ils égrènent leurs souvenirs en les reliant à la situation actuelle du pays. |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 28 Août 2008 18h56 |
| LA ROUTE DU THE - AU ROYAUME DE L'OR VERT FRANCE 5 Samedi 30/08/2008 21h45 Auteur : HERCOMBE PETER,NOLL MICHEL,ZHOU WEIPING Durée : 00:52:30 Réalisateur : HERCOMBE PETER,NOLL MICHEL,ZHOU WEIPING  "Au départ des six légendaires montagnes du thé dans la région de Pu'er, dans le sud-ouest de la Chine, cette route spectaculaire de plus de 4 000 kms traverse trois zones climatiques et plus de 20 massifs de montagnes. Elle se fraie un chemin à travers des steppes et déserts, rivières et forêts vierges du sud-est asiatique et offre la rencontre de plus de 25 ethnies toutes aussi passionnantes que différentes les unes des autres. Elle s'arrête à Lhassa, capitale du Tibet, au pied des neiges éternelles du toit de près de 4 500 ans, bien avant la route de la Soie, cette route commerciale, située dans le grand triangle entre le Yunnan, le Sichuan et le Tibet, est la plus extraordinaire de tous les temps. Elle constitue rien de moins que la contribution spectaculaire de la Chine à la culture, au commerce et à l'histoire du Thé. Ainsi, elle symbolise la merveilleuse offrande que l'Empire du Milieu a fait aux autres peuples de la planète.Ce film présente le pays du thé, en commençant par les six légendaires montagnes de thé, près de Yiwu, dans la région du Pu'er. Près des forêts vierges subtropicales de cette partie du sud-est asiatique composée des parties nord du Vietnam, du Laos et du Myanmar, anciennement appelée Birmanie, et du sud-ouest de la Chine, on observe la récolte du thé sauvage à partir d'arbres millénaires, mais aussi celle à partir d'arbustes cultivés, toujours dans un contexte artisanal, à l'ancienne. La préparation du thé, la récolte et le tri des feuilles, sa fermentation et sa préparation en 'galettes' et en 'briques' pour le transport aident à mieux comprendre d'où vient le thé que nous pouvons consommer en occident, et comment il en est arrivé au stade où les amateurs peuvent s'en délecter."  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 05 Septembre 2008 21h01 |
| 2 Soeurs ARTE vendredi, 12 septembre 2008 à 23:25 Rediffusions : 19.09.2008 à 03:00 Réalisateur: Jee-woon Kim (Coree, 2003, 110mn, VOSTF) " La rentrée du "Cinéma trash", avec une réussite du cinéma coréen, Grand Prix du festival du film fantastique de Gérardmer 2004. Après un séjour dans un institut psychiatrique, Su-mi et Su-yeon, deux soeurs adolescentes, sont ramenées par leur père dans leur foyer, une grande demeure perdue dans la nature. Leur belle-mère les y attend, mais Su-mi l'évite volontairement et Su-yeon semble la craindre. Très vite, d'étranges événements se produisent tandis que le conflit entre la marâtre et les deux soeurs s'envenime."  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 05 Septembre 2008 21h06 |
| FRANCE 5 Mardi 9 septembre 2008 20.32 CHINE-USA "UNE GUERRE SANS LIMITE" Auteur : DUFOUR ANTHONY,CHOPIN OLIVIER Durée : 00:52:10 Réalisateur : DUFOUR ANTHONY  "Les rapports entre la Chine et les Etats-Unis marqueront sans nul doute le XXIe siècle. Si l'affrontement militaire demeure le maître mot entre les deux puissances, il y a une autre façon de gagner la guerre sans effusion de sang, une nouvelle forme de conflit dans laquelle la Chine est passée experte. Si celle-ci s'arme militairement, son économie envahit le monde dans le même temps. Si partout où la planète s'embrase les deux puissances s'opposent en coulisses, les armes de la République Populaire de Chine sont aussi financières, informatiques, technologiques, commerciales ou médiatiques. Dans ce grand combat des empires pour diriger le monde, la Chine s'appuie sur les faiblesses de ses concurrents. Elle a engagé une guerre sans limites, qui si elle aboutissait, forcerait l'adversaire à faire sa volonté. Car il faut méditer la phrase de Deng Xiaoping : '' Il ne peut y avoir deux tigres sur la même colline''.(Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)" |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Septembre 2008 15h44 |
| Arte dimanche 14 septembre 2008 20h50 Rediffusions : 18.09.2008 à 14:45 23.09.2008 à 14:55 01.10.2008 à 14:55 Le dernier empereur (Royaume Uni , Italie, 1987, 155mn, VM) Réalisateur: B. Bertolucci Acteur: Joan Chen, John Lone, Peter O'Toole " Une évocation grandiose de la vie du dernier empereur de Chine. Le chef-d'oeuvre de Bernardo Bertolucci (neuf Oscars !), tourné au coeur même de la Cité interdite. En 1950, Pu Yi, le dernier empereur de Chine, est accusé de complicité avec les Japonais. Confronté à un interrogateur, il raconte sa vie. 1908. Pu Yi n'a que 3 ans quand il est enlevé à sa mère et conduit dans la Cité interdite, où il est bientôt promu empereur de Chine, à la mort de l'impératrice. Il grandit entouré d'eunuques et de courtisans chargés de veiller sur lui et de le tenir à l'écart des tumultes de l'histoire. Ainsi, quand le Kuomintang s'empare du pouvoir, trois années plus tard, ne ressent-il guère de changement à l'intérieur du palais qu'il lui est interdit de quitter. À 15 ans, Pu Yi bénéficie des services d'un précepteur, l'Écossais Reginald Johnson, qui devient rapidement son seul véritable ami..." |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Septembre 2008 15h49 |
| Arte dimanche 14 septembre 2008 23:25 Rediffusions : 18.09.2008 à 14:00 24.09.2008 à 05:00 Les secrets de la Cité interdite ( 2006, 47mn) ARTE F Réalisateur: Bing ZHOU, Huan XU Distributeur: National Geographic " Plongée dans les dédales du Palais impérial vieux de plus de cinq siècles, en cours de restauration. En 1912, l'abdication du dernier empereur de Chine, Pu Yi, marque le début, pour la Cité interdite, coeur de l'empire du Milieu depuis plus de cinq siècles, d'une radicale - et miraculeuse - transformation. Car après la fin de la Seconde Guerre mondiale, ce palais-musée, reconnu comme l'un des sites les plus prestigieux du monde, tombait en ruines. Il fallut attendre les années 50 pour que débutent les premiers travaux. Aujourd'hui, un nouveau projet de restauration est en cours. Ce documentaire nous offre une visite au coeur de ce chantier colossal, qui combine les nouvelles technologies aux techniques ancestrales de l'artisanat chinois."  |
| Ecrit par: P'tit Panda Jeudi 11 Septembre 2008 16h02 |
| FRANCE 3 SAMEDI 13 SEPTEMBRE 2008 DE 16H15 À 17H15 (60') Affaires classées - Paris Ile-de-France Centre : l'affaire Akira Ojima - Nanterre (Hauts-de-Seine) avec Christopher Tram Titre L'affaire Akira Ojima Année de production 2008 Durée 52 mn Série Affaires classées URL de visionnage http://HTTP://www.sunsetpresse.fr/film.php?id=381 Contact du film sunset@sunsetpresse.fr Equipe du Film Journaliste/Réalisateur Luc David Auteur Anne Ricaud * "FAIT DIVERS : AFFAIRE DU «SAMOURAÏ BLANC»Infirmier payernois renvoyé aux assisesAccusé d'avoir facilité l'exécution d'un animateur des nuits parisiennes, un ancien infirmier-chef de l'Hôpital de Payerne répondra de ses actes en cour criminelle FAIT DIVERS : AFFAIRE DU «SAMOURAÏ BLANC»Infirmier payernois renvoyé aux assisesAccusé d'avoir facilité l'exécution d'un animateur des nuits parisiennes, un ancien infirmier-chef de l'Hôpital de Payerne répondra de ses actes en cour criminelle.ISIDORE RAPOSO«Pour nous, l'annonce de son arrestation avait été un choc. Nous ignorions tout de cette affaire et nous n'avons jamais entendu parler de ses sympathies pour l'extrême droite», explique André Savary, directeur de l'Hôpital intercantonal de la Broye, en évoquant l'affaire de J.-P. Z., collaborateur durant quinze ans de l'Hôpital de Payerne et infirmier-chef anesthésiste au moment de son arrestation, en juin 1998. Depuis son incarcération en France, la direction de l'établissement hospitalier et ses collègues n'ont plus eu de nouvelles de Z. Ce dernier, accusé d'avoir administré des narcoleptiques à Akira Ojima, Japonais domicilié à Paris et assassiné en mars 1998, vient d'être renvoyé devant la Cour d'assises des Hauts-de-Seine. Z. et un ancien garde du corps ayant joué un rôle secondaire dans cette histoire digne de figurer dans la série Fleuve noir seront seuls à répondre devant une autorité de jugement. En effet, les quatre principaux acteurs sont tous décédés de mort violente.Cette affaire, unique dans les annales de la criminalité parisienne, trouve sa source dans la disparition brutale (suicide) d'un homme d'affaires japonais, M. Umeda, qui, selon ses proches, avait été escroqué par Akira Ojima, un prétendu architecte plus connu comme animateur des nuits parisiennes et membre d'une secte orientaliste. Pour venger l'honneur de sa famille, Ayuko Umeda, fille du patriarche, charge son amant, Jean-Pierre R., un extrémiste connu pour ses sympathies nazies, de liquider Ojima. La soeur de ce dernier signale sa disparition à la police le 12 mars 1998.Une semaine plus tard, le cadavre de l'architecte est découvert dans le congélateur d'un pavillon de Nanterre loué par Jean-Pierre R. Ce dernier, interpellé peu après, surnommé le «samouraï blanc» par la presse parisienne, avoue et confesse entre autres avoir eu recours aux services de son vieil ami Z. L'infirmier-anesthésiste est alpagué quelques mois plus tard lors d'une escapade à Divonne. Quel rôle a joué Z.? L'enquête a établi qu'il a administré, par injection, des narcoleptiques à Akira Ojima. Jean-Pierre R. a ensuite exécuté l'architecte d'une balle dans la nuque, tirée au moyen d'un stylo-pistolet. Les produits incriminés ne provenaient pas de l'Hôpital de Payerne: «Cela faisait déjà deux ou trois ans que nous n'utilisions plus ce genre de substances», relève le directeur. Sitôt informée de son arrestation, la direction de l'établissement a licencié l'infirmier-chef anesthésiste. L'hôpital et plusieurs collaborateurs à titre privé ont toutefois aidé financièrement la jeune épouse africaine de Z., qui ignorait tout des agissements de son mari, et leurs deux enfants.Depuis, la famille a quitté Cousset (FR) pour s'établir en France où elle vit dans un lieu tenu secret. En effet, en novembre dernier, Yuji Nakamura, impliqué dans l'affaire mais au bénéfice de la liberté provisoire, a été abattu d'une balle dans la tête à Coulommiers (Seine-et-Marne). Craignant désormais pour sa vie, l'infirmier Z. a demandé à être détenu en régime d'isolement.Drames en cascade 19 mars 1998: le corps d'Akira Ojima, 57 ans, est découvert dans le pavillon de Jean-Pierre R. à Nanterre. Mai 1998: Ayuko Umeda, commanditaire du meurtre d'Akira Ojima, se pend dans sa cellule de la maison d'arrêt de Fresnes. Août 1998: Jean-Pierre R., ami d'Ayuko et exécutant du meurtre d'Akira Ojima, se donne la mort dans sa cellule de Fleury-Mérogis. Novembre 1999: Yuji Nakamura, soupçonné d'avoir donné rendez-vous à Akira Ojima en vue de son enlèvement en mars 1998, est abattu d'une balle dans la tête à Coulommiers. La piste des yakusas (mafieux japonais) est évoquée." s : Tribune de Genève, 02/05/2000  |
| Ecrit par: Siu Keung Vendredi 03 Octobre 2008 07h40 |
| Ce soir sur ciné classic l'été du démon (Y. Nomura) à 22h35  Le vase de sable (Y. Nomura) 00h25  |
| Ecrit par: P'tit Panda Vendredi 03 Octobre 2008 10h36 |
| séance de rattrapage : Affaires classées : L'affaire Akira Ojima de Luc David FRANCE 3, samedi 4 oct à 23h15 starring : Christopher Tram B.A. : http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=43555447  |
| Ecrit par: bubu Mardi 21 Octobre 2008 15h19 |
| en ce moment je regarde souvent CCTV-F tous les jour il ya une série qui passe á 13h10 et 19h10 et pendant la journée il diffuse des bon reportages . http://fr.cctv.com/francais/live/index.shtml |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 01 Novembre 2008 15h06 |
| Arte, samedi, 1 novembre 2008 à 19:00 Rediffusions : 07.11.2008 à 16:45 08.11.2008 à 06:00 ARTE Reportage (France, 2007, 43mn) ARTE 16 / 9 Chine : le réveil des Ouïghours La Chine est inquiète. L’une de ses provinces, la plus grande et l’une des plus stratégiques notamment à cause de son pétrole, est en ébullition. Le Xinjiang, à l’extrême ouest de la Chine, juste aux frontières avec l’Asie centrale, vient de passer un mois d’août sanglant. Une série d’attentats ont tué une vingtaine de soldats. Leurs auteurs : des Ouïghours, c’est-à-dire des turcophones musulmans. Comme leurs voisins Tibétains, ils rejettent la colonisation chinoise de leur territoire. Car le Xinjiang, grand comme trois fois la France, est avant tout le pays des Ouïghours. Encore aujourd’hui, les Chinois y sont minoritaires. Mais l’arrivée massive de travailleurs venus d’autres provinces chinoises est en train de changer la donne. Et petit à petit, les cités millénaires ouïghoures, celles qui, comme Kashgar, bordent la mythique Route de la Soie, sont transformées en villes typiquement chinoises. Résultat : les meilleures terres sont exploitées par des fermiers soldats aux ordres de Pékin et les mosquées ferment les unes après les autres. ARTE Reportage a enquêté sur place, dans un far-ouest chinois au bord de l’implosion. |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 01 Novembre 2008 15h12 |
| Lundi 3/11 M6 23h10 The One Dans un futur très éloigné. Les voyages d'un monde parallèle à l'autre sont devenus monnaie courante. Les autorités ont instauré une organisation de surveillance, la Multiverse, chargée de garantir une sécurité optimale et de prévenir toute forme d'abus ou d'actes illégaux. Bien qu'en principe toutes les précautions aient été prises, Gabriel Yulaw est parvenu à commettre une infraction en tuant sa propre «copie» dans un autre univers presque identique à la Terre. Cet ancien agent de la Multiverse est bien placé pour en connaître le fonctionnement dans les moindres détails. Son objectif est de détourner les lois pour obtenir le pouvoir absolu...  |
| Ecrit par: P'tit Panda Samedi 01 Novembre 2008 15h18 |
| France Ô, lundi 3 nov 20h40 Ma vie est mon vidéo-clip préféré Documentaire • Réalisation : Show Chun Lee • Production : Sunday Morning Productions • Durée : 48’ Je m’appelle Ren Liping, je suis née à Zhejiang en Chine. Je suis arrivée en France en 1999. J’avais 17 ans. C’est le rêve de beaucoup de Chinois car on pense que la vie en France sera meilleure. C’est pour cela que je suis ici. Mes parents ont fait appel à un passeur. Le voyage a duré plusieurs mois. Le plus dur ça a été entre la Yougoslavie et l'Italie parce qu'il fallait marcher à quatre pattes dans la montagne, comme les animaux, pour échapper à la douane. Mais nous avons fini par arriver en France, dans mon eldorado... Mais aujourd’hui, comment vivre sans papier à Paris ? Diplômée du Fresnoy, le Studio national des arts contemporains, Lee Show-Chun est doctorant en anthropologie visuelle à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris. Née à Taiwan, elle travaille et vit en France depuis 1991. Son projet de thèse porte sur les aspects économiques et intellectuels de la vie en France des ex-sans-papiers chinois récemment régularisés. |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Dimanche 09 Novembre 2008 19h51 |
| La légende de Zu ce soir à 20h45 sur Nt1 une chaîne de la tnt, juste avant ... un film érotique |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 09 Novembre 2008 20h35 |
| Lundi 10 nov sur FRANCE O : Horaires : 20h40 Rediffusion : mardi 11 novembre à 15h15. D’en France et d’ailleurs, les Chinois de Belleville Documentaire Réalisation : Jean-Antoine Boyer Durée : 52mn 2008 Quartier à la réputation sulfureuse et quartier d’émigration depuis toujours, le quartier de Belleville a connu, depuis le début du XXème siècle, plusieurs vagues d’arrivées d’étrangers. Arméniens, Grecs, Juifs allemands, Espagnols, Maghrébins et Africains sont aujourd’hui remplacés par les Asiatiques. Les Chinois, particulièrement, ont ainsi progressivement repris les commerces boudés par les enfants des premiers immigrés, trouvant là un moyen de s’élever socialement. Regroupés autour des bouches de métro et liés par une forte solidarité communautaire, les Chinois de Belleville ont donné à ce coin de la capitale une animation très particulière. Cette communauté est décomposée en trois communautés distinctes. Les Wenzhou sont présents en France depuis plus d’un siècle, les Teochew sont les chinois d’Indochine et les Dongbei sont quant à eux venus des villes du nord de la Chine. La plupart vivent souvent dans la précarité et la peur, regrettant parfois d’être venu dans une France qu’il imaginait différemment. Dans les pas de Donatien Schramm, de l’association « Parischine », le film plonge dans l’histoire de Belleville. Ce guide particulier nous emmène également dans les ateliers, les appartements collectifs ou encore dans les commerces du quartier. Nous rencontrons ainsi le photographe Willy Ronis, éminent représentant de la photographie humaniste. Ce dernier s’est intéressée au quartier dès 1954 au travers d’un ouvrage devenu culte « Belleville-Menilmontant ». Le compositeur Qigang Chen qui a composé la musique des Jeux olympiques de Pékin 2008 nous parle également de ce quartier si particulier. s :http://franceo.rfo.fr |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 09 Novembre 2008 20h39 |
| sur Arte, jeudi 13 nov, à 22h35 rediffusion : le jeudi 20 nov, à 9h55 Mon usine en Chine (Allemagne, 2006, 96mn) WDR Réalisateur: Michael Loeken, Ulrike Franke La chronique poignante de l'impossible rencontre entre deux mondes, autour du démontage d'une immense cokerie allemande achetée par la Chine. Un face-à-face entre anciens et nouveaux "perdants" de la mondialisation. À Dortmund, dans la vallée de Ruhr, l'immense cokerie Kaiserstuhl, mise en service dans les années 90, est la plus moderne au monde. Mais sa création coïncide avec la chute des cours de l'acier et du coke. En 2004, avant la crise mondiale de l'énergie, ce monument du savoir-faire industriel allemand est vendu à la Chine. Durant un an et demi, Michael Loeken et Ulrike Franke ont filmé le démontage pièce à pièce de l'énorme complexe par quatre cents ouvriers chinois, sous l'oeil désabusé d'une poignée d'anciens de l'usine, bientôt en préretraite. Au fil des saisons et des convois de conteneurs, le spectaculaire paysage industriel se dissout peu à peu, tandis que les hommes se confient à une caméra aussi complice que délicate. D'un côté, on découvre les cadences infernales, les risques, les salaires de misère, la nostalgie du pays, l'espoir d'une vie meilleure ; de l'autre, l'amertume d'une fin vécue comme une déchéance et la fierté, malgré tout, du travail bien fait. Quelquefois drolatique, souvent poignant, ce face-à-face magnifiquement filmé, émaillé de séquences de cinéma direct, est aussi un hommage éloquent à une classe ouvrière qui d'un côté comme de l'autre, se retrouve du côté des perdants. s : http://www.arte.tv/ |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Dimanche 09 Novembre 2008 20h57 | ||
D'ailleurs je regarde le film pour rire devant la vf, et j'ai remarqué que les films ataient gardés enfin si ça a été retiré ça saute pas aux yeux, donc en thoérie asian star est censé avoir une copie identique en théorie nan ? |
| Ecrit par: Zhi-shan Dimanche 16 Novembre 2008 12h15 |
| à voir sur nt1 le jeudi 20 novembre à 20h45. jackie chan dans le bronx,je ne l'ai jamais vu c'est l'occasion de me rattraper |
| Ecrit par: Siu Keung Jeudi 20 Novembre 2008 10h25 |
Celà n'a rien à voir avec HK, ni l'Asie d'ailleurs mais c'est un évènement en soit donc je poste quand même. Mardi prochain, diffusion du dernier épisode de The Shield. Sortez les mouchoirs... |
| Ecrit par: ah_thomas Jeudi 20 Novembre 2008 11h16 | ||||
J'ai pas compris ta phrase SK ? Qu'est qui a ete garde ? |
| Ecrit par: David-Olivier Jeudi 20 Novembre 2008 14h37 | ||||
??? ??? |
| Ecrit par: Hotsu Jeudi 20 Novembre 2008 14h53 |
| Je pense que Shanghai Kid fait allusion aux filtres (et pas aux films). En effet, la copie dvd d'asian star présente une photo du film assez fade, loin de l'édition HK (enfin, une édition présente en asie, je ne sais plus laquelle en particulier) beaucoup plus chaleureuse (et théoriquement plus respectueuse de l'œuvre). |
| Ecrit par: Shanghaï Kid Jeudi 20 Novembre 2008 17h15 |
| Ah ouis désolé lapssus, je parlais des filtres, j'ai pas remarqué leurs absences dans la version que j'ai vu vite fait sur nt1. |
| Ecrit par: Zhi-shan Vendredi 21 Novembre 2008 15h12 | ||
donc recapitulons :les voix en v.f sont massacrantes,ils ont osés bousillés une lamborghini  . .Jackie Chan est réputè pour ses cascades pousseès mais bon le coup de l'aero glisseur sur la plage m'a laissé sans voix et à la fois sceptique . |
| Ecrit par: manolo Vendredi 21 Novembre 2008 15h46 | ||||
Et en plus, si c'est bien la même version que la vhs (newline), le film a été bien coupé, coome souvent avec les Jackie, et je crois carrément remonté dans le cas de celui là (je ne sais plus où j'ai lu ça). Pourtant j'ai quand même apprécié ce film , bien que je préfère Mr Cool de la même époque (because Sammo et Richard Norton). |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 23 Novembre 2008 01h11 |
| sur NT1 dimanche 23 nov, à 20h45 DOUBLE TEAM de Tsui Hark  |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 23 Novembre 2008 01h14 |
 ARTE 23.11.2008 : 00.30 / 05.12.2008 : 02.00 Haruki Yukimura et Nana-Chan Quelque part au Japon, un homme, Haruki Yukimura, et une femme, Nana-Chan, s'adonnent au bondage. Une curiosité contemplative pour la nuit. http://www.arte.tv/fr/accueil/Echappees-culturelles/Haruki-Yukimura-et-Nana-Chan-/2321270.html |
| Ecrit par: P'tit Panda Dimanche 23 Novembre 2008 01h19 |
| ARTE Le pianiste Yundi Li 24.11.2008 à 23h30 30.11.2008 à 06:00 Le pianiste Yundi Li (Allemagne, 2008, 52mn) ZDF Réalisateur: Barbara Willis Sweete À l'instar de son célèbre confrère Lang Lang, Yundi Li est le héros de tous les jeunes pianistes chinois. Ce documentaire retrace une année dans la vie du jeune virtuose : Barbara Willis Sweete l'a filmé notamment lors de l'inauguration du Grand Théâtre national de Pékin, où il interprétait le Concerto pour piano en sol majeur de Maurice Ravel, lors d'un spectacle donné avec la star de la pop taïwanaise Jay Chou, et en répétition avec l'Orchestre philharmonique de Berlin, sous la direction de Seiji Ozawa. Au programme : le Concerto n° 2 de Prokofiev.  |