Bienvenue invité ( Connexion | Inscription ) Recevoir à nouveau l'email de validation  

Reply to this topicStart new topicStart Poll

> Fantasia 2013, Information et Blog
Suivre ce sujet | Envoyer ce sujet | Imprimer ce sujet
Pages : (2) 1 [2]  ( Aller vers premier message non lu )
Kung-Fu Scholar
Ecrit le : Dimanche 11 Août 2013 18h10
Quote Post


Monkey king
***

Groupe : Team HKCinemagic
Messages : 671
Membre n° : 75
Inscrit le : 13/07/2004

Dragon



Festival fantasia les adaptations "live"

Je comptais d'abord aborder la deuxième moitiés des "chroniques de l'étrange" mais un contretemps m'aura plutôt amené à présenter les films japonais qui sont les adaptations live de manga ou de roman.

HK/Forbidden Super-Hero

Fils d'un superflic et d'une dominatrix l'étudiant Kiyosuke peut ce transformé en super-héros vêtu d'un G-string à bretelles , de bas filet et d'une petite culotte féminine qu'il met sur sa tête d'où son surnom de Hentai Kamen le "Pervers masqué". Des lascars voulant s'emparer du lycée ou Kiyosuke étudie celui-ci les repousse sous son déguisement et c'est alors qu'il doit faire face à un imposteur encore plus pervers que lui qui salit sa réputation de héros. Il n'a pas d'autre choix que dans l'affronté en duel pour voir lequel des deux est le plus débile en perversité.

Adaptation live d'une série manga du début des années quatre-vingt-dix, Hentai Kamen parodie les super-héros en présentant un justicier au trois quart dénudé et vainquant ces adversaires en prenant des poses affriolante et en les assommant avec des coups de son "paquet". Malgré un indéniable humour salace et un héros en sous-vêtement, le film n'a recours à aucune nudité érotique (qu'on retrouve par exemple dans d'autre comédie manga tel Sukebanan Boy et la série des Weather Woman déjà présenté a fantasia ) et la perversité des personnage n'est employé qu'a des fin comique et non ludique. Lorsque j'ai vue le film j'ai été très frappé par la réaction d'hilarités des spectateurs la plus explosive que j'ai vue à un film cette année. Pour ma par bien je l'ai trouvé asses loufoque j'ai quand même pensée qu'il reposait sur un comique assez répétitif. M'a réaction n'a donc pas été aussi enthousiaste bien que j'ai effectivement très souvent sourit. Au finale HK s'est avéré le film asiatique préféré du public fantasien en rapportant l'or dans les prix du public. Cote:***0.

Library Wars

Dans un Japon contemporain parallèle deux milices armées ont des objectifs radicalement opposés; l'un protégé les bonnes mœurs en imposant la censure, l'autre protégé les livres et les bibliothèques principale cibles de leurs adversaires, à coup de mitraillettes si il le faut, ce qui hélas arrive fréquemment. Iku Kashahara est une jeune recrue déterminé mais plutôt maladroite qui vit le calvaire à cause de la discipline de fer imposer par son supérieur Dojo. Sans qu'elle le sache ce dernier est pourtant celui qui l'a amener à vouloir devenir une milicienne protectrice de livres grâce à une courageuse intervention de sa part a une librairie des années plus tôt. Malgré quelques revers, cela n'arrêtera pas Iku dans sa quête de prouvé sa valeurs dans la mission qu'elle c'est donnée.

La trame de Library Wars évoque Fahrenheit 451une dystopie dans lequel une milice de "pompier" brule les livres, et risque donc de décevoir ceux qui s'attendait à voir une sorte de version japonaise du célèbre classique. C'est que le film ne s'attarde guère à décrire ce Japon parallèle au delà de petits sermons et la confrontations de deux milices qui se jauge avant de s'affronté à la mitraillette et ce concentre surtout a montré l'idéalisme puérile d'une petite midinette et sa relation amour/haine avec son supérieur. D'ailleurs le metteur en scène aurait d'ailleurs lui-même décrit le film comme étant d'abord et avant tout une comédie romantique. Il faut dire que Library Wars est l'adaptions d'une roman jeunesse illustré d'abord adapté en manga puis en série animé et que le nœud du récit semble toujours avoir été la relation trouble entre l'héroïne et son supérieur.

Malgré cela il m'a également semblé que le message profond du film sur l'importance de la liberté d'expression a travers la protection des livres est sincèrement et efficacement rendu. La différence cruciale entre Library e son illustre prédécesseur est qu'alors que Fahrenheit ce voulait une fable inspiré par le Maccarthysme, Library Wars, tant l'œuvre originale que ces adaptations ultérieurs se veulent des uvrage de conscientisation s'adressant à la jeunesse. Dans un pays ou les démagogues et les politiciens de l'extrème droite ont la mains haute et cherche agressivement à imposer leurs points de vue sur la population sensibiliser la jeunesse sur la liberté d'expression même à travers des récits aussi convenue soit il que la romance comme l'on fait l'a fait le Library Wars est un objectif des plus louable. D'ailleurs malgré ces limites le film gère somme toute assez adroitement son mélange de genre tant les scènes de romance que celle d'action étant présenté avec savoir faire par casting aussi sympathique que convainquant, faisant du film un divertissement ado qui sans être du grand art s'avère plus que potable. Vue les objectifs et le public visée, Library Wars se tire donc très bien d'affaire. Cote: ***0.

Thermae Romae

Architecte de l'époque romaine déclassé pour ces idées désuètes, Lucius Modestus part se morfondre aux thermes ou aspiré par un trou béant au fond d'une piscine il se retrouve au beau milieu d'un bain public japonais du XXème siècle. Malgré le choc culturel subit, Lucius est en mesure de reconnaitre les multiple innovations moderne des bains japonais qu'il adapte au thermes romain une fois revenue à son époque. Bien que sa renommé s'accroisse, Modestus se sent plus comme un voleur d'idée plus qu'un véritable génie d'autant plus que chaque fois qu'il fait face à un problème à son époque, un nouveau voyage temporel au Japon le ressource en idées. La faveur dont il joui auprès de l'empereur Hadrien le mêle contre son grés à des jeux de pouvoirs qui le mette dans des situations problématiques, de plus une jeune dessinatrice nipponne que Modestus n'arrête pas de croisé dans ces voyages s'est également amouracher de lui.

Basé sur un récit manga ayant rapporté de nombreux prix et qui fut plus-tard adapté en une courte série animé; Therma Romea a attiré aussitôt mon attention en étant un film asiatique se déroulant dans la Rome ancienne grâce à la magie des voyages dans le temps. Malheureusement j'ai raté le film m'étant trompé dans l'heure de la projection. J'ai quand même put me procuré le film que chez écouté chez moi mais ce n'est pas la même chose que de le voir avec une foule dans un cinéma. De plus m'ayant trop informé sur le manga et la série animé, Thermae me n'offrait plus de grande surprises.

Ceci dis il s'agit quand-même d'une bonne petite comédie fort sympathique à la "Visiteurs" un peu facile et convenue certes mais qui à tout de même fort bonne allure grâce au décors romains de la Cinecitta, l'emploi d'air d'opéra tonitruant tirée des œuvres de Puccini et de Verdi et la présence de plusieurs dizaines voir centaines de figurants. Ceux-ci consiste son italiens pour la plupart alors que des personnage s romain sont joué par des japonais déguisé. L'inverse en somme de la convention manga dans lequel les personnages sont dessiné à l'occidentale avec de grand yeux rond et des cheveu blond ou brun.

Au delà de ces superbe décors le film vaux surtout pour la prestation de Hiroshi Abe en architecte constamment éberlué. Le personnage de la dessinatrice qui a le béguin pour Lucius est un ajout du film pour lui donné une petite touche de comédie romantique mais comme cette partie de l'histoire ne prend pas trop de place et qu'il reflète un peu la propre vie de l'auteure du manga originale Mari Yamazaki (qui a vécu onze ans en Italie et épousé un Italien), il ne gène pas trop. Le rôle est joué par Aya Ueto qui avait été l'héroïne de la série Azumi il y a une dizaine d'années de cela.

Pour finir, tout comme Bushido Man donnait l'eau a la bouche avec ces scènes de dégustation, Thermae Romae avec ces scènes de bain rafraichissant donne également au spectateurs le gout d'allé prendre une saucette de la même manière. Cote ***0.

PMEmail Poster
Top
Kung-Fu Scholar
Ecrit le : Dimanche 18 Août 2013 21h11
Quote Post


Monkey king
***

Groupe : Team HKCinemagic
Messages : 671
Membre n° : 75
Inscrit le : 13/07/2004

Dragon



Festival Fantasia: Les Chroniques de l'Étrange (suite et fin).

J'ai été sollicité par mon emploi pendant toute la semaine, d'où l'impossibilité de terminer mon contre-rendu Fantasia avec une dernière chronique et une conclusion. denisot25ux.jpg a tous de vous avoir fait attendre.

Ritual Ritual

Ritual est un film qui repose sur la croyance dans la forme de thérapie appelé "psycho-magic" développé par l'écrivain cinéaste Alejandro Jodorowsky et inspiré à la fois de l'alchimie, du tarot, du shamanisme et du bouddhisme zen. Selon Jodorowsky des rituels récréant certain actes ayant marqué la vie d'un patient peuvent agir sur son inconscient et le libéré de vieux traumatisme. Jodorowsky lui-même fait une courte apparition dans le film, de même qu'un de ces livres et l'on voit une session de tarot autre domaine dans lequel il c'est spécialisé.

Déprimé suite a l'avortement imposé par Viktor son amant possessif et jaloux, Lia se rend à la maison campagnarde de sa tante une guérisseuse. Comme le lieu semble être également fréquenté par les sorcière et les fantômes, l'état mental de Lia ne se trouve pas vraiment apaisé et le retour de Viktor qui l'a retracé ne l'aide en rien. En désespoir de cause, la tante organise un rituel psycho-magique dans l'espoir d'apaiser sa nièce, ce a quoi Viktor s'oppose m'y voyant que les dangereuse fadaises d'un folle.

Œuvre élégante, songé, d'une grande beauté visuelle grâce à sa direction photo de même qu'une imagerie souvent imaginative et stylisé, Ritual toutefois déçoit un peu en étant par moment trop prosaïque et prévisible même dans ces mystères C'est ainsi que La véritable nature des fantôme présenté initialement comme de simples voisins se devine dès le départ, et la vocation pédagogique du film pour démontré la psycho-magie est également un peu trop évidente. Bien que fort beau à voir et informatif Ritual s'avère enfin de compte plutôt timide et ce lève qu'à moitie. Cote: ***.

Across the river

En tournée d'inspection dans une région boisée reculée un biologiste de la faune tombe sur un village laissé à l'abandon. Il repère ce qu'il appelle des "traces de prédation" anormale et reste sur place pour inspecter. Il se rend compte que le village n'est pas aussi déserté qu'il en a l'air mais trop tard sans qu'il le sache il est prit au piège d'une toile d'araignée invisible dont il ne peut même pas soupçonner la nature.

Je ne croix pas avoir jamais vue un film d'horreur aussi intentionnellement minimaliste. Après tout Across the river ne fait juste montré un homme seul se promener dans une forêt puis dans un village délabré désert. Pas d'effet spéciaux, presque pas d'effets choc (sauf à la toute fin), pratiquement pas de dialogues non plus (le biologiste ne s'adressant qu'a son enregistreur portable pour prendre des notes). Seule une bande son de bruit et de musique insidieuse avec quelques objets déplacés subtilement suggère une présence "autre". C'est que le film se veux d'abord et avant tout un film d'ambiance et quelconque appréciation dépend entièrement de l'habilités du spectateurs a être envouté par l'atmosphère glauque et le suspense sous-entendue autrement il va trouvé le temps long. Les seuls interludes à la monotonie sont les vues fixes occasionnels de caméras infra rouge et les petites scènes montrant l'angoisse d'un vieux dans un village avoisinant et qui donne des brides d'un mystère ancien à la "Ring" mais c'est à peine si quelques petit détails sont donné. Bien que le film montre une certaines maitrise, astuce et audace, je l'ai quand même trouvé un peu trop mince et long. Ceci dit il aura quand-même rapporté une mention spéciale dans les prix du jury. Cote:***0

Burning Buddha Man

Le bonze machiavélique Enju vole des statues de bouddha afin de ses servir dans des expériences indicible qui difforme hideusement les corps . Il a attiré dans son antre la jeune étudiante Benito dans les parents font partie de ses victimes. Informer des malversation diabolique de ce dernier, la jeune fille acceptera de se livrer à de courageuses épreuve pour mettre fin au opération d'Elmi.

Burning Buddha Man est certainement pour moi un des ovni de l'année. De par son histoire d'horreur mâtiné de mysticisme bouddhique, son imagerie de mutations grotesques et sa forme d'animation bien spéciale qui consiste en des dessins découpés qui sont manipulé par des morceau de bois et des astuce de montage. C'est une sorte d'animation qui serais basé sur le théâtre de marionnette en papier japonais appelé Kamishibai. Bien que le scénario et la pseudoscience bouddhique mentionné ne soient guère compréhensible c'est un détail secondaire puisque le vrai cœur du film est le caractère grotesque des dessins et les techniques naïve employé pour les animé. Il en résulte un œuvrette plein de charme et d'étrangeté. Dernier film au festival, j'aurais aimée le voir un peu plus tôt afin d'éprouvé un peu plus d'enthousiaste émotionnel a son visionnement. Cote ***0

À suivre: Le Bilan Fantasia 2013.
PMEmail Poster
Top
Kung-Fu Scholar
Ecrit le : Mercredi 21 Août 2013 00h18
Quote Post


Monkey king
***

Groupe : Team HKCinemagic
Messages : 671
Membre n° : 75
Inscrit le : 13/07/2004

Dragon



Bilan de fantasia 2013.

Pour cette année j'ai vue un total de 34 films plus deux compilations de court métrages. 28 film ont été vue en salles, 3 dans la salle des screeners du festival et 3 autres chez moi via l'internet.

J'ai vue quatre des huit films chinois présenté, six japonais, cinq long métrage animées, deux coréens et un film de deux pays: le Vietnam et l'Inde. Du lot quatre seulement avait des éléments martiaux/wuxia et encore à des degré fort varié. Coté occidental j'ai également vue sept films américain, quatre productions internationales, et un films made in Québec, et une des compilation de courts consistait également en des productions locale.

C'est un bien meilleure score auquel je m'attendais considérant que je n'ai pas pus prendre de vrais vacances comme c'est habituellement le cas durant la période du festival. Conséquemment sur les 21 jours qu'.a durée le festival, je n'ai pus m'y rendre qu'à douze reprises beaucoup moins que d'habitude. .
Malgré la bonne dose de films que j'ai vu, je considère quand-même le bilan de cette année comme mitigé. Due a l'absence de vrai congé, le travail fait sur le survol de la carrière de Maitre Lau Kar Leung et d'autres préoccupations dans ma vie personnelle (déménagement, retour prochain au étude) je n'ai pas pus m'impliqué comme les années précédente tant dans mes préparations pour le festival, le visionnements des films et la rédaction des contre rendus (d'où l'absence d'image). Le déménagement du festival au Cinéma Impérial m'aura aussi quelques peu déboussoler puisque Fantasia a présenté des films à trois lieux distant l'un de l'autres (des visionnements ayant aussi cours à L'université Concordia et la Cinémathèque Québécoise).

De plus bien que j'ai fais quelques intéressante découvertes (Number Ten Blues, 009 Re-Cyborg,,The Burning Buddha Man ) ) et que je me suis souvent bien marrer (Big Ass Spiderr, Bounty Killer, Hell Baby , The World's End ) je n'ai pas vraiment éprouvé de grand coup de cœur; excepter pour le court métrage martial made in Québec Love and Let Die et un film animé vieux de quarante ans La Belladone de la Tristesse, un hors d'œuvre et une antiquité c'est un peu mince. J'ai été également un peu déçu de voir que je n'ai pas visionné aucun films parmi la sélection des prix du jury.

Mon retour au étude débutant le 26 Aout avec plus de sept cours au programme, je ne sais pas quand je vais pouvoir être capable de faire un dossier revue, augmenter et surtout illustrer pour Fantasia 2013. Plusieurs films asiatique présenté au festival sont déjà disponible mais vue mon horaire je ne sais pas si je vais pouvoir les voir et en faire des contrevenu. Il faudra être patient.

En espérant que malgré leurs manques (surtout visuelles), mes contre rendu auront sut vous distraire et informer adéquatement, bonne fin d'été.
Yves Gendron.
PMEmail Poster
Top
Pages : (2) 1 [2] 
1 utilisateur(s) sur ce sujet (1 invités et 0 utilisateurs anonymes)
0 membres :

« Sujets + anciens | Événements HK Cinemagic | Sujets + récents »

Topic OptionsReply to this topicStart new topicStart Poll