Festival fantasia les adaptations "live"Je comptais d'abord aborder la deuxième moitiés des "chroniques de l'étrange" mais un contretemps m'aura plutôt amené à présenter les films japonais qui sont les adaptations live de manga ou de roman.
HK/Forbidden Super-HeroFils d'un superflic et d'une dominatrix l'étudiant Kiyosuke peut ce transformé en super-héros vêtu d'un G-string à bretelles , de bas filet et d'une petite culotte féminine qu'il met sur sa tête d'où son surnom de Hentai Kamen le "Pervers masqué". Des lascars voulant s'emparer du lycée ou Kiyosuke étudie celui-ci les repousse sous son déguisement et c'est alors qu'il doit faire face à un imposteur encore plus pervers que lui qui salit sa réputation de héros. Il n'a pas d'autre choix que dans l'affronté en duel pour voir lequel des deux est le plus débile en perversité.
Adaptation live d'une série manga du début des années quatre-vingt-dix, Hentai Kamen parodie les super-héros en présentant un justicier au trois quart dénudé et vainquant ces adversaires en prenant des poses affriolante et en les assommant avec des coups de son "paquet". Malgré un indéniable humour salace et un héros en sous-vêtement, le film n'a recours à aucune nudité érotique (qu'on retrouve par exemple dans d'autre comédie manga tel
Sukebanan Boy et la série des
Weather Woman déjà présenté a fantasia ) et la perversité des personnage n'est employé qu'a des fin comique et non ludique. Lorsque j'ai vue le film j'ai été très frappé par la réaction d'hilarités des spectateurs la plus explosive que j'ai vue à un film cette année. Pour ma par bien je l'ai trouvé asses loufoque j'ai quand même pensée qu'il reposait sur un comique assez répétitif. M'a réaction n'a donc pas été aussi enthousiaste bien que j'ai effectivement très souvent sourit. Au finale HK s'est avéré le film asiatique préféré du public fantasien en rapportant l'or dans les prix du public. Cote:***0.
Library Wars Dans un Japon contemporain parallèle deux milices armées ont des objectifs radicalement opposés; l'un protégé les bonnes mœurs en imposant la censure, l'autre protégé les livres et les bibliothèques principale cibles de leurs adversaires, à coup de mitraillettes si il le faut, ce qui hélas arrive fréquemment. Iku Kashahara est une jeune recrue déterminé mais plutôt maladroite qui vit le calvaire à cause de la discipline de fer imposer par son supérieur Dojo. Sans qu'elle le sache ce dernier est pourtant celui qui l'a amener à vouloir devenir une milicienne protectrice de livres grâce à une courageuse intervention de sa part a une librairie des années plus tôt. Malgré quelques revers, cela n'arrêtera pas Iku dans sa quête de prouvé sa valeurs dans la mission qu'elle c'est donnée.
La trame de Library Wars évoque
Fahrenheit 451une dystopie dans lequel une milice de "pompier" brule les livres, et risque donc de décevoir ceux qui s'attendait à voir une sorte de version japonaise du célèbre classique. C'est que le film ne s'attarde guère à décrire ce Japon parallèle au delà de petits sermons et la confrontations de deux milices qui se jauge avant de s'affronté à la mitraillette et ce concentre surtout a montré l'idéalisme puérile d'une petite midinette et sa relation amour/haine avec son supérieur. D'ailleurs le metteur en scène aurait d'ailleurs lui-même décrit le film comme étant d'abord et avant tout une comédie romantique. Il faut dire que Library Wars est l'adaptions d'une roman jeunesse illustré d'abord adapté en manga puis en série animé et que le nœud du récit semble toujours avoir été la relation trouble entre l'héroïne et son supérieur.
Malgré cela il m'a également semblé que le message profond du film sur l'importance de la liberté d'expression a travers la protection des livres est sincèrement et efficacement rendu. La différence cruciale entre Library e son illustre prédécesseur est qu'alors que Fahrenheit ce voulait une fable inspiré par le Maccarthysme, Library Wars, tant l'œuvre originale que ces adaptations ultérieurs se veulent des uvrage de conscientisation s'adressant à la jeunesse. Dans un pays ou les démagogues et les politiciens de l'extrème droite ont la mains haute et cherche agressivement à imposer leurs points de vue sur la population sensibiliser la jeunesse sur la liberté d'expression même à travers des récits aussi convenue soit il que la romance comme l'on fait l'a fait le Library Wars est un objectif des plus louable. D'ailleurs malgré ces limites le film gère somme toute assez adroitement son mélange de genre tant les scènes de romance que celle d'action étant présenté avec savoir faire par casting aussi sympathique que convainquant, faisant du film un divertissement ado qui sans être du grand art s'avère plus que potable. Vue les objectifs et le public visée, Library Wars se tire donc très bien d'affaire. Cote: ***0.
Thermae RomaeArchitecte de l'époque romaine déclassé pour ces idées désuètes, Lucius Modestus part se morfondre aux thermes ou aspiré par un trou béant au fond d'une piscine il se retrouve au beau milieu d'un bain public japonais du XXème siècle. Malgré le choc culturel subit, Lucius est en mesure de reconnaitre les multiple innovations moderne des bains japonais qu'il adapte au thermes romain une fois revenue à son époque. Bien que sa renommé s'accroisse, Modestus se sent plus comme un voleur d'idée plus qu'un véritable génie d'autant plus que chaque fois qu'il fait face à un problème à son époque, un nouveau voyage temporel au Japon le ressource en idées. La faveur dont il joui auprès de l'empereur Hadrien le mêle contre son grés à des jeux de pouvoirs qui le mette dans des situations problématiques, de plus une jeune dessinatrice nipponne que Modestus n'arrête pas de croisé dans ces voyages s'est également amouracher de lui.
Basé sur un récit manga ayant rapporté de nombreux prix et qui fut plus-tard adapté en une courte série animé; Therma Romea a attiré aussitôt mon attention en étant un film asiatique se déroulant dans la Rome ancienne grâce à la magie des voyages dans le temps. Malheureusement j'ai raté le film m'étant trompé dans l'heure de la projection. J'ai quand même put me procuré le film que chez écouté chez moi mais ce n'est pas la même chose que de le voir avec une foule dans un cinéma. De plus m'ayant trop informé sur le manga et la série animé, Thermae me n'offrait plus de grande surprises.
Ceci dis il s'agit quand-même d'une bonne petite comédie fort sympathique à la "Visiteurs" un peu facile et convenue certes mais qui à tout de même fort bonne allure grâce au décors romains de la Cinecitta, l'emploi d'air d'opéra tonitruant tirée des œuvres de Puccini et de Verdi et la présence de plusieurs dizaines voir centaines de figurants. Ceux-ci consiste son italiens pour la plupart alors que des personnage s romain sont joué par des japonais déguisé. L'inverse en somme de la convention manga dans lequel les personnages sont dessiné à l'occidentale avec de grand yeux rond et des cheveu blond ou brun.
Au delà de ces superbe décors le film vaux surtout pour la prestation de
Hiroshi Abe en architecte constamment éberlué. Le personnage de la dessinatrice qui a le béguin pour Lucius est un ajout du film pour lui donné une petite touche de comédie romantique mais comme cette partie de l'histoire ne prend pas trop de place et qu'il reflète un peu la propre vie de l'auteure du manga originale
Mari Yamazaki (qui a vécu onze ans en Italie et épousé un Italien), il ne gène pas trop. Le rôle est joué par
Aya Ueto qui avait été l'héroïne de la série
Azumi il y a une dizaine d'années de cela.
Pour finir, tout comme
Bushido Man donnait l'eau a la bouche avec ces scènes de dégustation, Thermae Romae avec ces scènes de bain rafraichissant donne également au spectateurs le gout d'allé prendre une saucette de la même manière. Cote ***0.