Je crois que c'est plus une question de calibrage, de trouver la bonne formule, le bon dosage, les bons éléments qui feront recettes, d'être crédible aux yeux des partenaires pubs, etc...
Pour Kumite, beaucoup étaient déçus du catalogue sevent sept et auraient préférés le magazine seul boosté de quelques pages. Le fait que le mag soit sous la coupe d'un distrib/éditeur a peut être été une force au départ avec une assise médiatique, économique et des premiers films intéressants, mais avec le temps cela s'est étiolé.
En tout cas, Kumite a tenu plus de 30 numéros, ce que l'on souhaite à ses successeurs sur le cinéma d'Asie.