site officiel : http://www.pariscinema.org/

Du 2 au 13 juillet 2011


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LA NUIT ROMAN PORNO JAPONAIS

Nuit du samedi 2 au dimanche 3 juillet / Forum des images (1er)

En 1971, pour faire face à la crise des studios, la Nikkatsu, la plus ancienne compagnie cinématographique du Japon, se lança dans la production quasi exclusive de films érotiques : le « Roman porno ». Plongée au cœur de cette période, entre 1971 et 1988, où le cinéma érotique allait vivre ses heures de gloire au Japon.

20h00 Inside the pleasure dome of japanese erotic cinema
de Yves Montmayeur (France, 2011, vostf), présenté par Naomi Tani et le réalisateur
Déconseillé aux moins de 16 ans
Séance supplémentaire le 3 juillet à 14h45

22h20 L’Extase de la rose noire
de Tatsumi Kumashiro (Japon, 1975, vosta + vostf), présenté par Naomi Tani
Déconseillé aux moins de 16 ans.
Séance supplémentaire le 3 juillet à 21h30

23h45 Fleur secrète
de Masaru Konuma (Japon, 1974, vostf)
Interdit aux moins de 16 ans.
Séance supplémentaire le 3 juillet à 19h45

1h45 La vie secrète de Madame Yoshino
de Masaru Konuma (Japon, 1976, vostf)
Interdit aux moins de 16 ans.

2h45 Sayuri, strip-teaseuse
de Tatsumi Kumashiro (Japon, 1972, vosta + vostf)
Déconseillé aux moins de 16 ans.

4h15 Les amants mouillés
de Tatsumi Kumashiro (Japon, 1973, vosta + vostf)
Déconseillé aux moins de 16 ans.
Séance supplémentaire le 5 juillet à 21h30

Et aussi...
Angel Guts : Red Classroom
de Chusei Sone (Japon, 1979, vosta)

Angel Guts : Red Vertigo
de Takashi Ishii (Japon, 1988, vosta)

La Femme aux cheveux rouges
de Tatsumi Kumashiro (Japon,1979, vosta + vostf)

La Maison des perversités
de Noburu Tanaka (Japon, 1976, vosta + vostf)

La véritable histoire d’Abe Sada
de Noboru Tanaka (Japon, 1975, vosta)

Le Rideau de fusuma
de Tatsumi Kumashiro (Japon, 1973, vosta + vostf)

Rue de la Joie
de Tatsumi Kumashiro (Japon, 1974, vosta + vostf)

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NAOMI TANI

Invitée de la Nuit Roman porno japonais

Véritable icône du « Roman Porno » Tani Naomi surnommée "la Marilyn Monroe du bondage", se spécialise dans les films sadomasochistes et devient une vedette internationale du cinéma érotique japonais, à l’instar de Pam Grier pour le cinéma d’exploitation des années 70. Lancée par la Nikkatsu, l’un des plus grands studios de cinéma japonais, elle se retire en 1979 après une carrière de plus de cent films. Trente ans après sa retraite cinématographique, les récentes rétrospectives et ouvrages qui lui sont consacrés témoignent d’un culte encore très vivace.
Dans le cadre de la Nuit du roman porno japonais, le festival Paris Cinéma aura l’honneur d’accueillir cette actrice qui « s’est engagée dans le cinéma érotique comme on entre en religion » (Yves Montmayeur) lors des présentations d’Inside the pleasure dome of Japanese erotic cinema, véritable exploration aussi jouissive que sulfureuse de l'imaginaire érotique japonais d’Yves Montmayeur et de L’Extase de la rose noire de Tatsumi.
Nuit du samedi 2 juillet au Forum des images à partir de 20h.
> Nuit Roman porno japonais

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LA NUIT FILIPINO FEVER

Nuit du samedi 2 au dimanche 3 juillet / Forum des images (1er)


Qui est cette agente d'Interpol qui ronronne comme un chaton, fait l'amour comme une sirène et se bat comme une panthère ? Mais qu'a bien pu faire l'actrice - et ancienne Miss Philippines - Maria Isabel Lopez avant d'être découpée en petits morceaux dans Kinatay de Brillante Mendoza ? Peut-on mesurer moins d'un mètre et sauver le monde ? Joey Gosiengfiao a-t-il réalisé autre chose que Temptation Island ? Que vient faire Pam Grier dans cette histoire ? Toutes les réponses dans cette réjouissante sélection illustrant l’âge d’or du cinéma de genre philippin.

20h30 Machete Maidens Unleashed
de Mark Hartley (Australie, 2010, vostf)
Présenté par Pete Tombs en présence de Marrie Lee
Déconseillé aux moins de 12 ans
Séance supplémentaire le 6 juillet à 14h45



21h15 They call her… Cleopatra Wong
de Bobby A. Suarez (Philippines / Singapour / Hong Kong, 1978, vo)
En présence de Marrie Lee
Déconseillé aux moins de 12 ans
Séance supplémentaire le 5 juillet à 19h30 en présence de Marrie Lee

23h45 For y’ur height only
de Eddie Nicart (Philippines, 1981, vosta)
Déconseillé aux moins de 12 ans

01h30 Bomba Star
de Joey Gosiengfiao (Philippines, 1980, vosta)
Déconseillé aux moins de 12 ans
Séance supplémentaire le 10 juillet à 18h15

03h10 Silip - Daughters of Eve
de Elwood Perez (Philippines, 1986, vosta)
Déconseillé aux moins de 16 ans

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MARRIE LEE


Invitée de la Nuit Filipino fever
Véritable panthère du kung-fu, Marrie Lee, Doris Young de son vrai nom, fut le pendant féminin et divin des héros machos des années 70. Inoubliable interprète de Cleopatra Wong, c’est elle qui influença Tarantino pour le personnage d’Uma Thurman dans Kill Bill. Le Festival rend hommage à l’incontournable égérie du cinéma d’action philippin en sa présence avec la projection de Machete Maidens Unleashed de Mark Hartley et de They Call Her… Cleopatra Wong de Bobby A. Suarez.
À noter aussi la présence du remarquable éditeur vidéo à la tête de Mondo Macabro, Pete Tombs, également auteur de deux ouvrages consacrés au cinéma bis et aux filmographies underground.

Nuit Filipino fever du samedi 2 juillet au Forum des Images à partir de 20h30



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LA NUIT FEMMES VAMPIRES

Nuit du samedi 2 au dimanche 3 juillet / Forum des images (1er)


Sensualité, homosexualité, voracité, féminisme, animalité, place aux forces de l’ombre, aux lèvres rouges et aux créatures des ténèbres qui exalteront cette 3e Nuit du Cinéma ! Du Pakistan des années 60 aux "teenage-movies" américains d’aujourd’hui, le mythe de Bram Stocker n’a pas fini de renaître et les femmes vampires d’évoluer avec leur temps… Avec en point d’orgue de ce programme, un hommage incontournable au cinéaste Jean Rollin, décédé en décembre dernier. Pour (re)découvrir l’œuvre fantaisiste et onirique du grand poète maudit des forces obscures qui n’a cessé de cultiver sa fascination pour ces créatures féminines de la nuit...

21h50 La fiancée de Dracula
de Jean Rollin (France, 2002)
Séance supplémentaire le 9 juillet à 17h30
Déconseillé aux moins de 16 ans.

23h15 The Living corpse
de Khwaja Sarfraz (Pakistan, 1967, vosta)
Séance supplémentaire le 12 juillet à 18h15


0h15 Jennifer’s body
de Karyn Kusama (Etats-Unis, 2009, vostf)

3h30 Les Prédateurs
de Tony Scott (Etats-Unis / Grande Bretagne, 1983, vostf)
Séance supplémentaire le 10 juillet à 14h45

Et aussi...

Trouble every day
de Claire Denis (France, 2011, vostf)

Les lèvres rouges
de Harry Kümel (Belgique-Allemagne-France, 1971, vf)

Fascination
de Jean Rollin (France, 1979, vf)

Lèvres de sang
de Jean Rollin (France, 1975, vf)

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EN COMPÉTITION


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HOSPITALITÉ
(KANTAÏ)
Koji Fukada
2010, Japon


1h36 / Vidéo / couleur / VOSTA
Scénario : Koji Fukada
Interprétation : Kenji Yamauchi, Kiki Sugino, Kanji Furutachi, Bryerly Long, Eriko Ono

Contact festivals : Pascal Ramonda
Production : Kiki Sugino, Koji Fukada
Image : Kenichi Negishi
Son : Ippei Shingaki
Montage : Koji Fukada
Musique : Kumiko Yabu, Yusuke Kataoka
Vente étranger : Wa Entertainment Inc.

Film présenté : Festival de Tokyo 2010, Festival de Rotterdam 2011, Festival de Hong Kong 2011, Festival d’Osaka 2011

Kobayashi mène une vie paisible dans une banlieue industrielle de Tokyo avec son épouse, sa sœur et la fille qu’il a eue d’une précédente union. A la tête de l’imprimerie familiale, son quotidien est rythmé par le travail. Celui de la famille est d’une grande régularité que rien ne semble pouvoir venir perturber. Jusqu’à l’arrivée de Kagawa. L’irruption de cet étranger dans la vie de Kobayashi et des siens, et bientôt sous son toit, va rapidement semer le trouble dans leur quotidien tranquille… Après Human Comedy in Tokyo [2009], présenté au Festival Paris Cinéma 2010, Koji Fukada revient avec une comédie sociale sur les mensonges et les faux-semblants, le rapport aux autres et la peur de la différence. Hospitalité, par la richesse de son scenario, son sens épuré du cadrage et ses comédiens exceptionnels issus pour la plupart de la troupe de théâtre Seinendan, conduit le spectateur vers une mystérieuse plongée sous le vernis des apparences. Une farce sombre et ambiguë, ironique et délicate. Un auteur à suivre assurément

AVANT-PREMIÈRES

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J'AI RENCONTRÉ LE DIABLE
(AKMAREUL BOATDA)

Kim Jee-woon
2011, Corée du Sud

2h22 / numérique / couleur / vostf
Scénario : Park Hoon Jung, Kim Jee-Woon
Interprétation : Lee Byung-Hun, Choi Min-Sik, Oh San-Ha, Chun Kook-Haun, Chun Ho-Jin
Production : Peppermint & Company Kim Hyun Woo
Image : Lee Mogae
Son : Choi Tae-Young
Décors : Cho Hwa-Sung
Montage : Nam Na-Young
Costumes : Kwon Yoo-Jin
Distribution : ARP Sélection
Prix obtenu : Festival de Gerardmer, 2011 : Prix de la Critique - Prix du Jury Jeunes - Prix du Public

Un agent secret recherche le serial killer qui a tué sa fiancée. Fable moderne sur le thème de la contamination de la violence, J'ai rencontré le diable s'articule autour du spectacle sanglant de 2 hommes et des tortures qu’ils s’infligent. Cette chasse à l’homme démesurée offre un face à face explosif entre les acteurs Choi Min-sik, sérial killer diabolique et lunatique et Lee Byung-hun, vengeur glacial prêt à tout. Les personnages qu’ils incarnent sont peu à peu déshumanisés, pris dans l’engrenage vicieux de leur haine et de leur violence sadique. Dans ce thriller coréen, l’horreur graphique alliée à la réalisation soignée de Kim Jee-woon compose une atmosphère brute, parfois sans dialogue et sans musique, révélant la démence et la folie diabolique d’un sérial killer inhumain, dépourvu d’une quelconque culpabilité ou du moindre regret. Un film de genre d’une violence implacable et provocante, porté par un duo d’acteurs magistral, véritable scandale lors de sa sortie en Corée du Sud.




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TATSUMI

Eric Khoo
2011, Singapour - Indonésie


1h36 / 35mm / couleur / vostf
Scénario : Eric Khoo d’après Une vie dans les marges et autres œuvres de Yoshihiro Tatsumi
Interprétation : Tetsuya Bessho, Yoshihiro Tatsumi
Production : Zhao Wei Films, Infinite Frameworks
Animation : Phil Mitchell, Rafael Bonifacio, Jebbie Barrios
Son : Kazz
Décors : Widhi Saputro
Musique : Christopher Khoo
Distribution : Happiness Distribution
Film présenté : Un Certain Regard, Festival de Cannes 2011

Tatsumi célèbre l’œuvre et la vie du mangaka japonais Yoshihiro Tatsumi. Dans le Japon occupé de l’immédiat après-guerre, la passion du jeune Tatsumi pour la bande dessinée deviendra finalement le moyen d’aider sa famille dans le besoin. Sa rencontre avec son idole Osamu Tezuka, le célèbre mangaka comparé à Disney, lui offrira une source d’inspiration supplémentaire. Eric Khoo unit pour la première fois à l’écran 5 histoires et un récit autobiographique de celui qui l’a toujours inspiré, Tatsumi. Cet immense dessinateur est le créateur des « gekiga », littéralement « images dramatiques », une forme de manga destinée aux adultes et traitant de sujets tragiques, choquants à l’époque, dans un genre réaliste. En étroite collaboration avec ce génie rêvant de cinéma, Eric Khoo assemble des récits intemporels, audacieux et novateurs pour un conte sublime et sombre sur la condition humaine. Une tragédie bercée par un melting-pot de musiciens aux horizons différents et les voix incomparables de Tatsumi et T. Bessho.




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choix difficle pour les nuits du cinema, pourquoi organisent-ils cela simultanement, alors qu'il est evident que tout cela interesse le meme genre de public

Je te le fais pas dire. J'imagine que ce genre d'évènement n'est pas facile à mettre en place mais là, sacrée erreur de planning. Sans ça, j'étais parti pour savourer la nuit Filipino Fever et pour raisons perso'... peux pas. Je vais l'avoir mauvaise un moment.

21h15 They call her… Cleopatra Wong
de Bobby A. Suarez (Philippines / Singapour / Hong Kong, 1978, vo)
En présence de Marrie Lee
Déconseillé aux moins de 12 ans
Séance supplémentaire le 5 juillet à 19h30 en présence de Marrie Lee

http://andrewleavold.blogspot.com/2008/02/...wong-lobby.html

http://andrewleavold.blogspot.com/2008/02/...wong-lobby.html

http://andrewleavold.blogspot.com/2008/02/...wong-lobby.html

Merci à Andrew Leavold et à son boulot sur le cinéma philippin !

23h45 For y’ur height only
de Eddie Nicart (Philippines, 1981, vosta)
Déconseillé aux moins de 12 ans

Bomba Star
de Joey Gosiengfiao (Philippines, 1980, vosta)
Déconseillé aux moins de 12 ans
Séance supplémentaire le 10 juillet à 18h15

Silip - Daughters of Eve
de Elwood Perez (Philippines, 1986, vosta)
Déconseillé aux moins de 16 ans

Marrie Lee !!!! WE LOVE YOU !!!!!!







ps : Bastian, tu lui feras une bise de notre part à tous !

Hier, j'ai pu avoir l'occasion de revoir They call her… Cleopatra Wong en présence de son interprète principal, j'ai nommé Marrie Lee.
Elle a présenté le film avant sa projection puis à la fin un p'tit Q&R. C'était bien sympatoche d'autant plus qu'on a eu le droit à une séance de dédicace. Pour l'occasion Marrie Lee donnait des posters du film. J'ai eu droit à ma p'tite photo aussi. Une super soirée en somme.

Accessoirement, il y a avait également happy qui traduisait.

quand je pense que je suis en vacances et devrais etre en france depuis la semaine derniere, mais qu'a cause de fonctionnaires qui trainent a me faire mon visa je me morfonds ici a louper ce qui se passe la-bas ...et accessoirement a HK, parce que sans mon passeport, je ne peux pas aller a HK non plus; il n'y a plus qu'un coup de tampon a mettre, mais le chef de bureau qui parait-il est le seul a avoir le droit de mettre des coups de tampon est absent depuis une semaine si dans les faits divers vous entendez parler d'un francais qui a assassine un fonctionnaire chinois, vous en connaitrez la raison

il parle tagalog ?

Purée pas de chance lanjingling et punaise, ça aurait été l'occasion de s'y croiser. Dommage. Vraiment. Bah écoute, la garde la pêche comme dirait l'autre, hein ? Fais gaffe quand même. J'ai cru comprendre que la peine de mort était toujours d'actualité par là-bas. Du coup, ça craint. Ils seraient capable parce que t'es français de te lapider et de facturer les pierres à ta famille. Sans ça, j'y retourne pour le film jap' en compét' ce soir. J'aurai une p'tite pensée pour toi quoique... pas sûr. A+

Pour happy, oui c'est un malade. Ce mec parle X langue, truc de fou. Il aime m'insulter en abaga sans déc'. Marrie Lee cause perfectly la langue de Shakespeare.