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Super Inframan
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Dragon
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La revue de cinéma française "Les Cahiers du Cinéma" est cédée par le groupe Le Monde, actuellement engagé dans un plan de redressement. De son côté, le magazine professionnel "Écran Total", placé en liquidation judiciaire, attend son repreneur. Mise à jour Alors que Les Cahiers du cinéma se trouvent actuellement en vente, Les "Amis des Cahiers", actionnaire minoritaire de la revue qui compte parmi ses membres Olivier Assayas et Eric Rohmer, veulent participer au choix du repreneur du mensuel que Le Monde entend céder, ont-ils indiqué dans une tribune publiée le jeudi 24 avril dans Libération: "Les Amis des Cahiers, dont nous sommes membres, ont à coeur de faire entendre leur voix dans ce moment critique, rappeler leur attachement à cette revue et l'attention qu'ils portent à sa pérennité", affirment-ils dans cette tribune, signée notamment par les cinéastes Chantal Akerman, Benoît Jacquot, Jacques Rivette, Olivier Assayas et Eric Rohmer. Les "Amis" sont ainsi liés avec le Monde, actionnaire majoritaire, par un "pacte d'associés qui lui donne un droit de consultation sur tout changement important pouvant affecter l'identité des Cahiers du Cinéma", rappellent-ils. "Non seulement la revue est indispensable pour la pensée critique, de plus en plus menacée par ailleurs, mais elle doit rester fidèle à elle-même et à ses convictions", affirment-ils.
Actuellement empêtrée dans des difficultés financières, la direction du Monde a engagé, outre son plan de redressement prévoyant 130 suppressions d'emplois au quotidien, des cessions de magazines dont celle des Cahiers du Cinéma. Rappelons que la revue, créée en 1951, a vu de jeunes cinéphiles tels Jean-Luc Godard, François Truffaut, Chris Marker ou encore Claude Chabrol y écrire leurs premières fiches de films avant de devenir de grands cinéastes. Les salariés et journalistes des Cahiers du Cinéma ont affirmé, suite à cette annonce, leur "forte inquiétude", et demandent à être "informés en temps réel" de toute négociation concernant leur avenir. Les salariés des Cahiers rappellent en outre que leur titre représente aujourd'hui une revue de cinéma, mais aussi "la première maison d'édition de livres sur le cinéma en France, des sites internet, une photothèque riche de 350.000 documents et une collection de DVD." "L'ensemble de ces activités ne peut être considéré d'un simple point de vue comptable", concluent-ils, affirmant que les Cahiers du Cinéma ont été un "acteur majeur de la vie culturelle française depuis leur création en 1951."
Ecran Total attend son futur repreneur
Le magazine Ecran Total connaît également de graves ennuis financiers. Placé en liquidation judiciaire le 20 mars dernier, le "magazine de tous les professionnels de l'audiovisuel" intéresserait quatre sociétés, qui se seraient portées candidates à sa reprise. Trois entreprises auraient été retenues par l'administrateur judiciaire, la quatrième ne proposant de reprendre que trois des vingt-six salariés d'Écran Total. La première serait les Editions Larivière (Moto revue, Rock & folk), qui publient aussi des titres professionnels comme Musique Info Hebdo ou Fashion Daily News. La seconde serait la Financière des Loisirs, qui a repris l'édition du mensuel de cinéma L'Écran Fantastique en septembre 2007. Enfin, le cabinet de conseil spécialisé sur le secteur audiovisuel NPA Conseil aurait également formulé une offre. Le choix du repreneur devrait être annoncé par le Tribunal de Commerce de Nanterre le 24 avril prochain.
Aline Honigmann avec AFP et Imédias
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Super Inframan
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Dragon
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Sur le site suisse 24heures http://www.24heures.ch/pages/home/24_heure...contenu)/224296Cahiers du cinéma: un projet de reprise interne reçoit le soutien de cinéastes Un projet de reprise interne des Cahiers du cinéma, dont le groupe le Monde souhaite se séparer, a reçu mercredi le soutien d'une cinquantaine de personnalités de la culture et du septième art, dont les cinéastes Quentin Tarantino et Hou-Hsiao-Hsien. PARIS (AFP) - 07 mai 2008 | 23H02 Emmanuel Burdeau et Thierry Lounas, respectivement rédacteur en chef et membre du comité de rédaction, ont élaboré un projet de reprise, soutenu à la fois par la rédaction et le conseil éditorial du titre. "Ce projet entend assurer la pérennité de l'entreprise dans toutes ses composantes, tout en l'adaptant aux enjeux présents et futurs", soulignent des personnalités de la culture et du cinéma dans un texte de soutien signé notamment par Laure Adler, Chantal Akerman, Xavier Beauvois, Barbet Schoeder, Hou-Hsiao-Hsien et Quentin Tarantino. L'objectif de ce projet est à la fois de "redresser les comptes" et de "réinventer les Cahiers" tout en "s'inscrivant dans la continuité éditoriale" de la revue, a indiqué M. Lounas. Ce projet a été présenté à la direction du Monde, a-t-il précisé, sans dévoiler le nom des partenaires financiers qui y sont associés. Dans un entretien à paraître dans Politis, M. Burdeau estime que Les Cahiers du cinéma doivent "élargir franchement leur champ critique : internet, fictions télévisuelles, littérature romanesque, art contemporain" et être une "revue de plaisir et de combat". Sur le plan financier, l'objectif est d'amener les Editions de l'Etoile, qui regroupent l'ensemble des activités des Cahiers (revue, livres, internet, photothèque...) à l'équilibre pour les soixante ans de la revue en avril 2011, indique-t-il, rappelant que le titre a été, à quelques exceptions près, "déficitaire tout au long de son histoire". "Il y a des mesures d'économies à prendre, sans fragiliser l'équipe, et de nouvelles recettes à développer", ajoute-t-il, citant une "campagne d'abonnements liée à la relance" et estimant "inévitable pour les Cahiers de devenir un acteur de la diffusion des oeuvres". Selon la lettre spécialisée Presse News, l'hebdomadaire culturel Les Inrockuptibles et le producteur Alain Kruger auraient également manifesté leur intérêt pour le titre.
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Dragon
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les cinéphiles ont de moins en moins le temps de lire entre 15 sorties cinéma par semaine, les bouquets de chaînes cinéma, les DVD à la pelle, le VOD, les festivals, les cinémathèques qui se multiplient (et tous ces grands musées qui se mettent à projeter des films!), le téléchargement, l'Internet... et les autres occupations plus terre à terre, où trouver le temps de lire les analyses approfondies ? j'achète les Cahiers et Positif tous les mois, il est rare que je les lise en entier : je pense qu'en moyenne, je lis à peine 20% de leur contenu... j'avoue aussi de moins en moins concerné par certains thèmes traités, très conceptuels. j'ai la désagréable impression que ceux qui écrivent ces longs papiers sans doutes très pertinents le font plus pour épater la galerie (d'autres confrères ou le milieu des intellos parisiens) que pour le lecteur moyen... Je pense que la relance des Cahiers doit passer par une nouvelle politique éditoriale, et pas seulement viser les cinéphiles hardcore. (pourquoi pas intégrer une rubrique spécial cinéma asiatique, qui va du cinéma d'auteur au cinéma bis, tiens ?! ) encore que les mag comme les Cahiers ou Positif bénéficient des subventions pour survivre. d'autres titres, moins connus, naissent et meurent dans le silence...
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其实人在小时候就已经养成看待世俗的眼光,只是你并不自知。(侯孝贤)
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Pti denis |
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Dragon
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Moi c'est Mad movies, même si la qualité a baissé, pour moi ca reste toujours une référence. Ma ptite femme a par son CE Ciné Live, elle l'emprunte et me l'amène chaque mois, c'est correct, sans plus. Heureusement il y a Marc Toullec dedans, génial ce Toullec quand même. Sinon j'adorais lire Impact (RIP ) ainsi que Mad Asia. Fantastika était bien aussi. Après je n'aime pas Première, Studio, Les cahiers du cinéma, L'écran fantastique. Brazil, Positif et Climax semblent pas trop mal, mais j'arrive pas à accrocher totalement.
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Tao Pai Pai "quand on aime les films de kungfu, on ne peut pas passer à côté de ceux du Sifu"
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Little brother
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Dragon
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Il me paraît indispensable que les Cahiers changent de politique éditoriale: regardez l'avant dernier numéro avec le Doillon en couverture, je l'ai seulement feuilleté (alors que je suis abonné). Je n'ai RIEN lu dedans. Et ça fait plusieurs numéros qu'il n'y a plus grand chose à lire, et que ce qu'on lit s'avère très décevant. Souvenez-vous du 1er numéro de la nouvelle formule, avec Election de Johnnie To en couverture: le "dossier" sur To était vraiment pitoyable, en plus il y avait des erreurs. Selon moi, le principal problème des Cahiers actuellement réside dans sa rédaction: il n'a y a actuellement aucun grand critique dans la revue, encore que j'aime bien Vincent Malausa, voire J-P Tessé. Frodon est assez insupportable de conformisme et de raideur universitaire (toujours ce ton ultra-sérieux, et cette manie d'approuver tout film estampillé Cahiers du Cinéma ou Nouvelle Vague), Burdeau, Aubron et Thirion sont illisibles, Delorme est parfois simpliste, Bégaudeau (qui, heureusement, s'est cassé) rejette tout film qui ne soit pas un rapport sur le monde, etc etc... Le rare apport bénéfique de Frodon à la revue (des textes très théoriques, publiés entre 2004 et 2005) a depuis disparu. Je viens de recevoir le dernier numéro, et qu'est-ce qu'il y a à lire? Pas grand chose. Ces défauts sont d'autant plus flagrants qu'ils suivent l'une des grandes périodes de la revue, marquée par le couple Tesson-Lalanne. Il y avait alors toute une poignée de bons voire excellents critiques (même Burdeau était largement plus lisible à l'époque). Il y avait les bons critiques, sans génie, mais clairs et pertinents: Olivier Joyard, Erwan Higuinene, Clélia Cohen. Il y avait les grands critiques capables de dire beaucoup de choses passionnantes sur un film, avec dans chque texte une idée forte sur le cinéma: Charles Tesson, Jean-Marc Lalanne. il y avait les originaux, qui ne sont pas moins grands: Jean-Sébastien Chauvin, Sébastien Bénédict. On pourrait continuer encore longtemps comme ça. Durant cette période, on a eu droit à des critiques inspirées, à des petites notules consacrées à la télévision, aux clips, aux jeux vidéos, au sport, aux livres sur le cinéma (tout cela a disparu depuis)... Il y avait l'envie de sortir un peu du domaine du cinéma, tout en ne le perdant jamais de vue. Il y avait aussi de grands et denses entretiens (remember celui avec Blake Edwards). Voilà une période qui a largement contribué à façonner ma cinéphilie. Mais je ne vois pas en quoi la formule actuelle des Cahiers peut favoriser le maintien et le développement d'une certaine cinéphilie. Le problème vient avant tout de la clarté des textes. Quand on lit les Cahiers actuels, il arrive souvent qu'on ne comprenne rien au début. Il faut y revenir plusieurs fois pour comprendre quelque chose; ce n'est pas un progrès (rien à voir avec certains textes anciens, parfois difficiles, mais réellement pertinents). Par ailleurs, il est sûr qu'aujourd'hui tout le monde se contrefout de la critique de cinéma, la vraie. On cherche avant tout un conseil, un avis rapide. De ce point de vue, il est compréhensible que Première, Studio, Ciné Live, focntionnent (relativement) bien. Et si on veut lire quelque chose d'un peu développé, on ava plutôt voir dans Télérama que dans Les Cahiers ou Positif. Il s'agit d'une évolution (pas très récente, mais progressive), et je pense que ça va être dur à changer. Il va malheureusement falloir s'y adapter. Concernant Positif, j'ai quand même du mal. Il ya quelques bons critiques qui y écrivent, mais beaucoup de textes sont d'une grande pauvreté. Et regardez comment débute la critique de Filatures par Adrien Gombeaud: par une allusion à Tintin et le Lotus Bleu, désolé mais je trouve ça assez ridicule. Michel Ciment est un vieux papy gâteux qui célèbre le cinéma de papa sentant le rance et la naphtaline. Sa réaction au livre Le Cinéma et la Shoah, dirigé par J-M Frodon, était totalement pitoyable et montre bien qu'il n'a rien du grand intellectuel que certains croient voir en lui. D'ailleurs, il s'en prend systématiquement aux Cahiers du Cinéma, comme si la vieille guéguerre des débuts durait toujours (alors que les Cahiers s'en foutent, et depuis longtemps). L'un des points négatifs de Positif (ah ah ah) réside aussi dans son comité de rédaction: nombre de ses critiques étaient déjà la dans les années 60, voire avant. Ca sent un peu le soufre là-dedans! Le prix de la revue n'ajoute rien, ainsi que son refus de faire avancer la théorie du cinéma (à l'inverse les Cahiers en font trop, avec leurs concepts foireux de cinéma subtil, de films mineurs, etc...). Sans parler du bloc-note revenant sur des évènements survenus deux mois auparavant, ce qui esta ssez ridicule à l'heure d'Internet et de la diffusion instantanée des informations. Cette notule est assez révélatrice de l'immobilisme qui touche Positif. Bref, voilà une revue que je suis loin d'adorer, malgré certaines qualités (la partie Dossier, notamment, est souvent intéressante). Pour les Cahiers, je ne pense pas que ce soit la fin. Je ne l'espère pas, car ils continuent d'éditer des livres très intéressants sur le cinéma, et richement illustrés. D'une certaine façon, je suis même content qu'ils aient des problèmes, car j'espère que ça va faire gicler les mauvais critiques au profit de nouvelles plumes plus intéressantes. j'espère sincèrement que Frodon va sauter, et qu'une nouveau comité va se mettre en place, plus proche de la période Tesson/Lalanne (ou pas, du moment qu'elle est intéressante). Ps: "very nice" ton avatar, DOV
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Dieu voulait créer l'univers en 10 jours. Chuck Norris lui en a donné 6.
Dieu dit : "Tu ne tueras point" Et Chuck Norris répondit : "on parie?"
On n'achète pas Chuck Norris. Pour tout le reste, il y'a EuroCard MasterCard.
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Little brother
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Dragon
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Parce qu'au fond ils s'en foutent de dire si le film est bon ou pas, ce n'est pas le plus important. Ils le font bien savoir si c'est un petit film qui a peu de chances de marcher, afin que cela attire les gens en salle. Souvent, une seule phrase peut suffire à comprendre l'avis du rédacteur. Sur tout ça, je vous recommande de lire la récente table ronde entre les rédacteurs de la revue, que l'on doit trouver sur le site Internet. Seven Swords, par exemple, a une seule étoile de la part des Cahiers selon Allociné, alors qu'en vrai le rédacteur a adoré et lui a même mis 4 points dans le "Conseil des Dix". Ca prouve bien que les critiques peuvent paraître ambigue spour qui les lit peu attentivement. A force, on finit par comprendre comment ça marche, on finit par comprendre qui aime quoi, et pourquoi. C'est nettement plus facile pour savoir quel film il faut aller voir selon les goûts qu'on a. Mais je le répète, la prescription n'est pas le but de l'activité critique des Cahiers: leurs textes s'adressent plutôt à des gens qui ont déjà vu les films (idem pour Positif, d'où parfois le dévoilement des fins de film). Ou alors, à des gens qui s'en foutent des films mais qui veulent lire une vraie critique (dans l'idée qu'une bonne critique peut valoir pour elle-même, pour les idées fortes qu'elle délivre sur le cinéma en général, et non forcément par rapport au film concerné). Le "Conseil des Dix" sert juste à indiquer rapidement quel film valent en gros le coup d'oeil.
Par ailleurs, le passage aux étoiles n'est pas une nouveauté des Cahiers: il existait déjà dans les années 50-60, et a disparu lorsque la revue est devenue plus austère et plus orientée politiquement. Moi j'aime bien parce que ça permete de voir qui aime quoi, et surtout de comprendre que les Cahiers sont loin d'être parfaitement unis sur tout.
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