David-Olivier |
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HK film expert
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Dragon
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Moi, j'ai arrêté de lire les Cahiers du Cinéma lorsque je ne comprenais plus ce que je lisais... |
Ca remonte à quand, pour avoir une idée? (parce que si c'est avant 2003, je te conseille pas de jeter un coup d'oeil sur ce qui s'est fait ensuite...)
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Je les achetais tous les mois en fin de lycée, prépa, école et à l'armée (normal, j'étais au Cinéma des Armées ! ) ; un peu moins ensuite. Ca remonte donc à avant 2003 ! J'ai tout de même acheté quelques numéros par la suite, mais je préfère de loin Positif. J'ai l'impression qu'ils ne se coupent pas les cheveux en 4, j'adore leurs grands dossiers, je les trouve moins "supérieurs" et apprécie le format de la revue. Au passage, je comprends les critiques que j'y lis ! En revanche, j'ai énormément, dans ma bibliothèque, de livres issus de la collection des Cahiers.
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Par exception, ne constituent pas des informations pour le besoin des présentes, toute information déjà tombée dans le domaine public ou devenant accessible au public autrement que par un manquement de l’une des Parties à ses obligations contractuelles et toute information que l’une des Parties possédait avant de les recevoir de l’autre et à condition qu’un tel fait puisse être établi par tous moyens.
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Tipee |
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Rognure de Jackie Chan
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Dragon
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Les cahiers, tout comme Positif par ailleurs, est une institution, une réfèrence qui fait vivre la pensée cinéphilique, et c'est sans doute pour ça qu'il ne cherche pas à caresser les certitudes populaires, mais veut plutôt pousser les gens vers le haut. On ne comprend pas toujours tout dans les cahiers, parce qu'il y a un effort à fournir, il y a une marge de progression quelque part pour le lecteur et c'est ça qui me plaît. Je suis jeune, et j'ai toujours un désir inassouvable d'en découvir plus, et les cahiers me servent.
Le reste des magazines généralistes, c'est du prêt à consommer, prêt à oublier, avec des textes sans ambitions que tout le monde peut faire et des pages entières de photos, ou des interviews plates et inintéressantes d'acteurs grand public. Pas d'ambition, pas de réflexion poussée: à l'heure d'internet, je trouve ça ridicule, pour moi la presse doit justement servir de guide, doit se distinguer du reste par sa qualité. Si on perd les cahiers, on perd un des pilliers, avec Positif, qui soutenait la réflexion cinéphilique... Ce qui est franchement pas souhaitable. Sinon je trouve qu'avec internet on a perdu aussi une certaine curiosité: on reste dans ce qu'on connaît, on ne cherche pas à élargir le champs. C'est assez paradoxal. Avec un magazine et ses sujets divers, on peut à l'occasion d'un article découvir des choses qu'on ne connaissait pas.
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David-Olivier |
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HK film expert
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Dragon
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Les cahiers, tout comme Positif par ailleurs, est une institution, une réfèrence qui fait vivre la pensée cinéphilique, et c'est sans doute pour ça qu'il ne cherche pas à caresser les certitudes populaires, mais veut plutôt pousser les gens vers le haut. On ne comprend pas toujours tout dans les cahiers, parce qu'il y a un effort à fournir, il y a une marge de progression quelque part pour le lecteur et c'est ça qui me plaît. Je suis jeune, et j'ai toujours un désir inassouvable d'en découvir plus, et les cahiers me servent.
Le reste des magazines généralistes, c'est du prêt à consommer, prêt à oublier, avec des textes sans ambitions que tout le monde peut faire et des pages entières de photos, ou des interviews plates et inintéressantes d'acteurs grand public. Pas d'ambition, pas de réflexion poussée: à l'heure d'internet, je trouve ça ridicule, pour moi la presse doit justement servir de guide, doit se distinguer du reste par sa qualité. Si on perd les cahiers, on perd un des pilliers, avec Positif, qui soutenait la réflexion cinéphilique... Ce qui est franchement pas souhaitable. Sinon je trouve qu'avec internet on a perdu aussi une certaine curiosité: on reste dans ce qu'on connaît, on ne cherche pas à élargir le champs. C'est assez paradoxal. Avec un magazine et ses sujets divers, on peut à l'occasion d'un article découvir des choses qu'on ne connaissait pas. |
Je suis d'accord avec toi sur le fait que perdre les Cahiers serait une tragédie, même si j'avoue ne plus lire la revue. (Je m'intéresse désormais plus au cinéma d'hier que d'aujourd'hui qui me passionne moins et préfère donc lire des livres que des revues, exception faite de Positif.) Elle a formé ma cinéphilie et j'ai lu et relu certains numéros (cf. celui avec James Stewart en couverture lors de la ressortie des westerns Mann-Stewart au milieu des années 90). On peut d'ailleurs parler de véritable institution avec Positif. Les autres revues n'ont pas le même caractère "historique", la même force de frappe. Je ne parle même pas des revues pour ado type Mad Movies (je lisais ça au collège et encore, c'était la "bonne époque" de Mad !) ou pour salles d'attente de médecin type Première.
En revanche, je ne suis pas du tout d'accord avec ta remarque "avec internet on a perdu aussi une certaine curiosité" : c'est tout le contraire !!! Sans Internet et ses forums spécialisés (celui de dvdclassik, par exemple), je n'aurais jamais entendu parler de Béla Tarr, serais passé à côté de Soy Cuba (OK, il est depuis sorti en France), etc. Si l'on est curieux, Internet est plutôt un piège : il m'arrive de passer des heures dans l'imdb à naviguer de fiche en fiche, à croiser les critiques avec celles que je peux trouver dans les livres de ma bibliothèque, etc.
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china |
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Super Inframan
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Dragon
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On ne comprend pas toujours tout dans les cahiers, parce qu'il y a un effort à fournir, il y a une marge de progression quelque part pour le lecteur et c'est ça qui me plaît. Je suis jeune, et j'ai toujours un désir inassouvable d'en découvir plus, et les cahiers me servent.
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On peut être accessible tout en étant intelligible, et le défaut du Cahier depuis quelques temps c'est son égo, une fierté cinéphilique loin de servir le magazine...
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Sinon je trouve qu'avec internet on a perdu aussi une certaine curiosité: on reste dans ce qu'on connaît, on ne cherche pas à élargir le champs. C'est assez paradoxal. Avec un magazine et ses sujets divers, on peut à l'occasion d'un article découvir des choses qu'on ne connaissait pas. |
Ca ne serait pas plutôt le contraire ? Pourquoi les magazines succombent un à un ? c'est parce qu'internet propose une rapidité, une facilité, une accessibilité de l'information cinématographique que les mags ne peuvent plus concurrencer. Il y a certains site comme le hkcinémagic, qui par leur dossier, sont bien plus compétents que lesdits magazines. Un dossier comme les polars de Positif en reprenant Infernal Affairs en couv' bof bof non ? Là où ça devient intéressant c'est dans le témoignage de réalisateur comme JZK, Assayas mias pas plus.
Force estde constater que les magazines de niche sont les seuls à survivre.
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I ♥ CHINA
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David-Olivier |
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HK film expert
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Dragon
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On ne comprend pas toujours tout dans les cahiers, parce qu'il y a un effort à fournir, il y a une marge de progression quelque part pour le lecteur et c'est ça qui me plaît. Je suis jeune, et j'ai toujours un désir inassouvable d'en découvir plus, et les cahiers me servent.
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On peut être accessible tout en étant intelligible, et le défaut du Cahier depuis quelques temps c'est son égo, une fierté cinéphilique loin de servir le magazine...
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Sinon je trouve qu'avec internet on a perdu aussi une certaine curiosité: on reste dans ce qu'on connaît, on ne cherche pas à élargir le champs. C'est assez paradoxal. Avec un magazine et ses sujets divers, on peut à l'occasion d'un article découvir des choses qu'on ne connaissait pas. |
Ca ne serait pas plutôt le contraire ? Pourquoi les magazines succombent un à un ? c'est parce qu'internet propose une rapidité, une facilité, une accessibilité de l'information cinématographique que les mags ne peuvent plus concurrencer. Il y a certains site comme le hkcinémagic, qui par leur dossier, sont bien plus compétents que lesdits magazines. Un dossier comme les polars de Positif en reprenant Infernal Affairs en couv' bof bof non ? Là où ça devient intéressant c'est dans le témoignage de réalisateur comme JZK, Assayas mias pas plus.
Force estde constater que les magazines de niche sont les seuls à survivre.
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voilà, c'est dit
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Par exception, ne constituent pas des informations pour le besoin des présentes, toute information déjà tombée dans le domaine public ou devenant accessible au public autrement que par un manquement de l’une des Parties à ses obligations contractuelles et toute information que l’une des Parties possédait avant de les recevoir de l’autre et à condition qu’un tel fait puisse être établi par tous moyens.
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Tipee |
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Rognure de Jackie Chan
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Dragon
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Pour les cahiers ou pour Positif, je n'achète pas tous les numéros, parfois je fais un petit tour à la bibliothèque municipale pour me prendre des numéros Mais j'y reste assez attachés. Pour ma remarque, la curiosité, les cinéphiles continuent à la partager et internet est en effet un très bon vecteur pour en découvrir davantage. En fait, je parlais surtout de ceux qui débutent, à la jeune génération, qui je pense restent restreints à un domaine particulier, et même si internet le permet, ne s'ouvrent pas vraiment à autres choses. Pour découvrir avec internet, il faut faire l'effort de chercher et savoir quoi chercher. La presse, et je ne parle pas que des cahiers, permet justement de proposer un choix de sujets plus larges, et au détour d'un article qui nous intéressait à la base, on peut découvrir d'autres choses. La presse joue aussi un rôle de guide, quelque part, parce qu'avec internet on peut se sentir perdu. Internet est un très bon outil, mais qu'il faut apprendre à utiliser. Je ne fait pas du tout son procès...je crois en fait qu'il y a une complémentarité.
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P'tit Panda |
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God
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Dragon
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Même dans les bibliothèques publiques, on a de plus en plus de mal à trouver des revues de qualité comme Positif. Je me souviens de la biblio qui était à côté de chez moi dans le 19e, qui avait du jour au lendemain décidé d'arrêter l'abonnement à Positif - ils n'ont pas osé touché aux Cahiers - sans raison valable. Par contre, des conneries de la presse people et mag féminins, on en trouve de plus en plus !
Je me souviens d'une excellente revue qui s'appelait LA REVUE DU CINEMA : on apprenait beaucoup sur le cinéma d'ici et d'ailleurs sans se masturber le ciboulot. Il y a avait d'excellents dossiers. On y critiquait les films B ou Z, mais aussi les pornos (à l'époque, il restait quelques salles X à Paris). Les films de karaté n'étaient pas oubliés. Le cinéma dit "populaire" ou "de genre" n'était pas traité avec condescendance. Cette revue savait nous communiquer la passion pour Pialat ou Pascal Thomas mais aussi le cinéma fantastique américain, les bisseries italiennes, etc. Ce mag, animé par des profs pour la plupart, était quelque chose de rêvé : entre Positif et les Cahiers.
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其实人在小时候就已经养成看待世俗的眼光,只是你并不自知。(侯孝贤)
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David-Olivier |
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HK film expert
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Dragon
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Je ne parle même pas des revues pour ado type Mad Movies (je lisais ça au collège et encore, c'était la "bonne époque" de Mad !) |
Je suis pas ado et pourtant j'adore (même si le mag a baissé il est vrai). Mais bon, il y a quand même de très grands rédacteurs qui font partie du mag (Cédric Delelée, Julien Sévéon...). Et puis leurs HS ne sont absolument pas l'oeuvre d'ados |
J'aime beaucoup leurs numéros HS (enfin, ceux que j'ai achetés), mais j'ai de plus en plus de mal à lire le magazine. Je ne l'achète que lorsqu'il y a un film DVD qui m'intéresse. Il n'y a quasiment jamais d'analyse dans leurs critiques, ils parlent (avec humour, certes) de films débiles qui ne sortiront jamais chez nous et qu'ils n'ont pas vu (les premières pages), s'excitent pour d'autres qui sortiront chez nous mais qu'ils n'ont également pas vu (faire 4 pages de critique sur un film sans l'avoir vu, j'avoue que c'est fort), etc. Parfois, on y trouve des choses intéressantes comme les interviews carrière. Mais dans l'ensemble, cela frise l'amateurisme, la déconnade entre potes.
Comme tu le dis, les numéros HS ne collant pas à l'actualité, sont plus analytiques et moins branchouilles.
Mais je persiste, leur cible principale, ce sont les ados.
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hellrick |
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Super geek
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Dragon
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Je ne parle même pas des revues pour ado type Mad Movies (je lisais ça au collège et encore, c'était la "bonne époque" de Mad !) |
Je suis pas ado et pourtant j'adore (même si le mag a baissé il est vrai). Mais bon, il y a quand même de très grands rédacteurs qui font partie du mag (Cédric Delelée, Julien Sévéon...). Et puis leurs HS ne sont absolument pas l'oeuvre d'ados |
J'aime beaucoup leurs numéros HS (enfin, ceux que j'ai achetés), mais j'ai de plus en plus de mal à lire le magazine. Je ne l'achète que lorsqu'il y a un film DVD qui m'intéresse. Il n'y a quasiment jamais d'analyse dans leurs critiques, ils parlent (avec humour, certes) de films débiles qui ne sortiront jamais chez nous et qu'ils n'ont pas vu (les premières pages), s'excitent pour d'autres qui sortiront chez nous mais qu'ils n'ont également pas vu (faire 4 pages de critique sur un film sans l'avoir vu, j'avoue que c'est fort), etc. Parfois, on y trouve des choses intéressantes comme les interviews carrière. Mais dans l'ensemble, cela frise l'amateurisme, la déconnade entre potes.
Comme tu le dis, les numéros HS ne collant pas à l'actualité, sont plus analytiques et moins branchouilles.
Mais je persiste, leur cible principale, ce sont les ados.
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Le pire avec Mad c'est quand ils défendent un an à l'avance un film sur le nom du réalisateur et quand le film sort et qu'il est nul ils n'arrivent même pas à reconnaitre leur tort...A l'inverse ils descendent des films sur des présupposés
C'est la seule revue que je lis, pourtant...mais je lis pas mal de bouquin de ciné par contre
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Siu Keung |
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Little brother
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Dragon
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Sans Internet et ses forums spécialisés (celui de dvdclassik, par exemple), je n'aurais jamais entendu parler de Béla Tarr, serais passé à côté de Soy Cuba (OK, il est depuis sorti en France), etc. |
Je te trouve un peu dur. Etant moi même un lecteur de mad movies, j'ai pourtant pas eu besoin du net pour voir Soy Cuba et du Bela Tarr. Ok ils en parlent pas dans la revu mais comme quoi, passer au filtre toute les chaines ciné, jour apres jour (les ciné cinéma, TCM, ciné FX, polar et cie) depuis quelques années suffit largement à palier les lacunes cinéphiliques de n'importe quel cinéphile (hormis concernant le ciné HK je doit bien l'avouer).
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ex Jubei Yagyu.
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David-Olivier |
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HK film expert
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Dragon
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Sans Internet et ses forums spécialisés (celui de dvdclassik, par exemple), je n'aurais jamais entendu parler de Béla Tarr, serais passé à côté de Soy Cuba (OK, il est depuis sorti en France), etc. |
Je te trouve un peu dur. Etant moi même un lecteur de mad movies, j'ai pourtant pas eu besoin du net pour voir Soy Cuba et du Bela Tarr. Ok ils en parlent pas dans la revu mais comme quoi, passer au filtre toute les chaines ciné, jour apres jour (les ciné cinéma, TCM, ciné FX, polar et cie) depuis quelques années suffit largement à palier les lacunes cinéphiliques de n'importe quel cinéphile (hormis concernant le ciné HK je doit bien l'avouer).
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C'est vrai que les chaînes cinéphiles du câble sont un excellent moyen de se faire une belle culture ! De mon temps, il n'y avait que le Cinéma de Minuit de FR3 et le Ciné-club d'Antenne 2 pour voir des classiques en VO !!!
Mes propos étaient en réaction à cette phrase écrite plus haut : "Sinon je trouve qu'avec internet on a perdu aussi une certaine curiosité"
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P'tit Panda |
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God
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Dragon
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D'ailleurs P'tit Panda, la Revue du Cinéma a abrité quelque temps de futurs noms des Cahiers, comme J-M Lalanne ou Bernard Bénoliel (qui était sur scène lors de la 1ère soirée Johnnie To à la Cinémathèque). Je l'avais déjà dit ailleurs, mais c'est aussi dans cette revue que ce dernier a consacré l'un des 1ers articles sérieux à John Woo (ce qui au fond n'a rien d'étonnant, car c'était à l'époque où Brenez tentait d'imposer Woo en France, or Bénoliel est un ami de Brenez). Les autres gens étaient pour la plupart issus de revues un peu moins connues que Positif ou les Cahiers, comm Cinéma ou Image et Son. Rappelons qu'Image et Son est peut-être la 1ère à s'être sérieusement penchée sur le cinéma de kung-fu, à une époque où ceux-ci déferlaient toutes les semaines sur les écrans des cinémas de quartier, et étaient alors largement méprisés. L'un des types qui y bossait et qui a ensuite travaillé à la Revue du Cinéma était François Chevassu. |
Je crois que IMAGE ET SON était l'ancêtre de LA REVUE DU CINEMA, justement J'avais vraiment pas de bol : quelques jours après mon abonnement, ils ont déposé le bilan ! Pas mal d'anciens de La Revue ont rejoint Positif je crois. Il y en a un qui écrit dans... Première, à présent
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P'tit Panda |
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God
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Dragon
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Je ne parle même pas des revues pour ado type Mad Movies (je lisais ça au collège et encore, c'était la "bonne époque" de Mad !) |
Je suis pas ado et pourtant j'adore (même si le mag a baissé il est vrai). Mais bon, il y a quand même de très grands rédacteurs qui font partie du mag (Cédric Delelée, Julien Sévéon...). Et puis leurs HS ne sont absolument pas l'oeuvre d'ados |
J'aime beaucoup leurs numéros HS (enfin, ceux que j'ai achetés), mais j'ai de plus en plus de mal à lire le magazine. Je ne l'achète que lorsqu'il y a un film DVD qui m'intéresse. Il n'y a quasiment jamais d'analyse dans leurs critiques, ils parlent (avec humour, certes) de films débiles qui ne sortiront jamais chez nous et qu'ils n'ont pas vu (les premières pages), s'excitent pour d'autres qui sortiront chez nous mais qu'ils n'ont également pas vu (faire 4 pages de critique sur un film sans l'avoir vu, j'avoue que c'est fort), etc. Parfois, on y trouve des choses intéressantes comme les interviews carrière. Mais dans l'ensemble, cela frise l'amateurisme, la déconnade entre potes.
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Perso, j'ai toujours eu du mal avec les mag comme Mad Movies ou l'Ecran Fantastique, avec leur pagination gore, sanglante... Une affaire de goût sans doute.
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